Journée internationale du droit des femmes 2024 ♀️

Les droits des femmes peuvent être exprimés de mille et une manières mais vous savez que j’ai un faible pour les fresques murales. Or il se trouve que depuis septembre dernier, une gigantesque fresque murale (300 m²) a été inaugurée à Liège et elle fait réfléchir les passants quant à la place des femmes, entre autres, dans la vie de tous les jours.  

Cette fresque conscientise, dans une ville faite par et pour des hommes, à la place des minorités dans l’espace public. L’idée de départ a été de remettre en question le modèle masculin pour arriver à une réelle mixité où tous se sentent bien. Sur cette œuvre, on voit que les rues portent des noms de femmes, les pères gardent les enfants, des femmes jouent au foot, sont ouvrières ou boxeuses. Elles investissent les rues, les bords de Meuse et les statues changent de sexe. Il n’est pas question de “supprimer” les hommes mais on les trouve là où on a moins l’habitude de les voir: dans les plaines de jeux, les crèches,…

Fresque Solidaris

Le Collectif 7ème Gauche à l’origine de ce projet a réalisé un livret explicatif et je le partage volontiers ici.

Pour terminer, si comme moi vous avez cherché l’origine de cette journée du 8 mars, je vous livre un article découvert ce matin qui sème le doute sur l’explication la plus courante 😉.

Le principal est que cette journée existe finalement.

Je souhaite donc une bonne journée à toutes les femmes et bien sûr aussi aux hommes qui auront lu mon article jusqu’au bout 😊.

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Voyage, voyage: Montréal (F)

Un peu d’histoire pour commencer grâce à un panneau explicatif:

Au 11ème siècle commença l’épopée d’une grande dynastie: la lignée des Anséric, seigneurs renommés, puissants vassaux des ducs de Bourgogne.

En 1228, les habitants de Montréal se voient accorder une chartre d’affranchissement et en 1255 le dernier des Anséric est condamné à l’exil. Montréal devient alors la propriété des ducs de Bourgogne.

En 1521, le roi François 1er séjourne à Montréal et confirme la chartre d’affranchissement. En 1599, le roi Henri IV fait raser les fortifications et, à partir de cette date, Montréal vit à l’écart des grandes pages de l’histoire et devient village. 

En 1900 Montréal comptait 595 habitants et en 2022, moins de 200 personnes y résidaient à l’année.

Et si vous en voulez encore c’est par ici 😊.

Et par contre si vous voulez faire la balade avec moi il faut cliquer juste en dessous.

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Voyage, voyage: Noyers-sur-Serein (F)

Je vais bien sûr partager avec vous ma découverte de ce charmant village de l’Yonne mais j’aimerais commencer par la raison qui m’a menée précisément là.

Il y a quelques mois, je participais régulièrement à l’atelier d’écriture en ligne du blog Brickabook. La photo proposée en février m’avait inspiré ce texte et j’avais eu envie de savoir où avait été prise la photo proposée. Ayant trouvé qu’il s’agissait de Noyers, j’avais noté le nom dans une liste d’endroits à voir un jour. Puis j’avais oublié… Jusqu’à ce que, en me baladant dans le village, je passe devant l’endroit d’où avait été prise la photo!👍

J’ignorais à l’époque que ce village avait souvent servi de lieu de tournage pour le cinéma et la télévision.

  • En 1946, André Berthomieu choisit Noyers-sur-Serein pour son film Amour, Délices et Orgues.
  • En 1966, la scène de l’auberge dans La Grande Vadrouille de Gérard Oury est tournée dans une maison de Noyers. Les personnages joués par Bourvil et Louis de Funès, en cavale, posent leurs bicyclettes contre un mur et se glissent dans une auberge en plein banquet de la Wehrmacht.
  • En 1982, une partie du feuilleton L’Esprit de famille, de Roland-Bernard, est tournée dans le centre du village, notamment devant la mairie et devant l’église, avec les acteurs Maurice Biraud, Véronique Delbourg et Érik Colin.
  • Début 1984, le clip de la chanson New Moon on Monday du groupe anglais Duran Duran est tourné dans les rues du village.
  • En 1986, Giorgio Treves tourne à Noyers quelques scènes de son premier long métrage, Le Mal d’aimer.
  • En 1988, pour Antenne 2, Josée Dayan installe sa caméra à Noyers pour réaliser Le Chevalier de Pardaillan, une série télévisée en quinze épisodes.
  • En 1990, une partie du téléfilm L’Enfant des loups est tournée dans le village.
  • Pendant l’été 2006, le petit bourg médiéval se transforme en décor de cinéma le temps de quelques jours. Un retour en l’année 1645, de la terre battue dans les rues : c’est Molière de Laurent Tirard qui y est tourné, avec Romain Duris, Fabrice Luchini, Laura Morante, Édouard Baer et Ludivine Sagnier. La même année, Hollywood pose aussi ses caméras à Noyers, pour les scènes du village dans le film Stardust, le mystère de l’étoile de Matthew Vaughn avec Robert De Niro et Michelle Pfeiffer.
  • En 2009, Noyers sert de décors pour la huitième saison d’Une famille formidable, diffusée sur TF1. En 2011, trois épisodes de la neuvième saison de la série sont également tournés, en juin, à Noyers. En 2012, la production y pose aussi ses valises pour y tourner une partie de la saison 10.(Source)

Bref, nous avons pris beaucoup de plaisir à parcourir les rues de ce village hors du temps où il fait bon vivre. Les maisons anciennes à colombages, les ruines du château, les charmantes petites boutiques où on est bien accueilli,…tout concourt à un sentiment de bien-être.

Vous pourrez découvrir mes photos en cliquant

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Et si on lavait notre linge sale?

Hier j’ai partagé des photos du village de Lessive pour le défi de Ma et j’ai aussi apprécié un article de Chinou qui évoquait, entre autres, les anciens lavoirs.

De là à me souvenir de photos prises en vacances cet été il n’y avait évidemment qu’un pas que j’ai franchi allégrement.

J’aime ces traces du passé, ces endroits où se partageaient des secrets entre femmes et où on lavait son linge sale, pas forcément en famille d’ailleurs.

Pour voir mes quelques photos de lavoirs clic sur l’image ci-dessous.

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Gare à la couleur! 👍

Mais en fait c’est plutôt “couleur à la gare” que j’aurais dû écrire 😉. En effet, la magnifique gare de Liège dont j’ai parlé au tout début de mon blog (mars 2016) est actuellement parée d’un éventail de couleurs.

A l’origine, cette gare a été voulue par l’architecte Santiago Calatrava comme une sorte de cathédrale blanche. Actuellement, et pour une période de un an, elle a subi une transformation remarquable imaginée par le plasticien Daniel Buren (oui, oui, celui des colonnes 😉): 5000  vinyles de teintes jaune, bleue, orange ou rose, posés par les grimpeurs d’une société belge, colorent les quais, les rails et les usagers de la gare.

Vue depuis l'extérieur

D’après Buren, ce n’est pas le nez en l’air qu’il faut  regarder le spectacle des couleurs mais c’est vers le sol qu’il faut porter le regard pour en voir l’effet mouvant au gré des ombres et des saisons. Malgré tout, moi j’ai choisi de photographier la tête en l’air 🙃.

Assez bavardé, je vous montre mes photos ci-dessous.

Cette gare, qui comporte un espace muséal hébergeant des expositions internationales (la dernière que j’y ai visitée est toujours en cours et s’appelle “I love Japan“), a déjà été l’objet d’une décoration au mois de mars dernier. Cette décoration était différente de l’actuelle puisqu’il s’agissait de dizaines de mètres de ruban adhésif rouge collés sur le sol devant la gare.

Il s’agissait d’une œuvre éphémère de l’artiste bruxelloise Sophie Whettnall réalisée dans le cadre de son travail “Recording the light” et réalisée avec les élèves de l’Athénée de Fragnée, à l’initiative du Théâtre de Liège, dans le cadre d’EUROPALIA.

Pour réaliser cette performance, il a fallu 5 heures pendant lesquelles l’artiste a surligné au tape grenat les ombres créées par la verrière de la gare. (Source)

Ma photo de cet évènement

Sophie Whettnal est fortement influencée par le paysage. Son matériau principal est la lumière et ses effets insaisissables, désorientants et séduisants.

Initialement commissionnée par la Ville de Barcelone et la Fondation pour l’Architecture, l’oeuvre était donc cette fois « performée » sur l’esplanade des Guillemins. (Source)

Bref, je suis très contente de voir vivre cette gare et le quartier qui la jouxte d’ailleurs. J’y suis passée maintes et maintes fois dans ma jeunesse et, même si c’est un peu perturbant, j’aime voir les importantes rénovations. Je vous montre une dernière photo d’un bâtiment dans la rue face à la gare. Sa géométrie me plaît bien, et vous, ça vous plaît?

Je ne dis pas que j’aimerais vivre là, je parle du point de vue graphique bien sûr 😉.

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Sortie en boîte

Aujourd’hui je vous invite à une sortie…en boîte-aux-lettres 😊.

En effet, si pour certains, cet objet de moins en moins utilisé pour recevoir du courrier d’amis ne sert plus qu’à trouver la presse gratuite, des publicités ou quelques factures encore émises sur papier, quelques-uns ont suffisamment d’humour pour le personnaliser de manière artistique.

J’ai croisé quelques-unes de ces boîtes qui ont accroché mon regard et sa prolongation, mon appareil photo jamais bien loin 😉.

La première est une boîte publique vue en Allemagne que j’ai trouvée bien différente des boîtes classiques.

La suivante est une boîte classique du commerce customisée.

La suivante est une vraie création artistique…

Et la dernière, pour cette fois, est un véritable monument 😲.

Voilà qui termine notre petite sortie du jour.

Bonne semaine à tou(te)s.

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Balade dans le parc et les serres royales de Laeken 👑

La première fois que je vous ai parlé de Laeken, je vous avais emmenés voir le magnifique cimetière (pour les distraits vous pouvez revoir cet article ici).

Pour ce nouvel article sur Laeken,  je vous propose une visite des serres royales qui ne sont ouvertes au public que trois semaines chaque année. Elles ne l’étaient d’ailleurs cette année que sur réservation d’un créneau horaire. De plus, en raison de la crise sanitaire, certaines serres moins vastes étaient fermées au public mais, en contrepartie, certaines allées du parc étaient exceptionnellement accessibles. (250 m dans les serres et 2 km dans le parc).

Source

La première chose qu’on voit en arrivant au parking c’est le monument de la dynastie érigé en l’honneur du premier roi des Belges, Léopold 1er.

Le monument à la Dynastie est un monument en l’honneur du roi Léopold Ier de Belgique dans le parc de Laeken à Bruxelles. Le monument est situé sur la place de la Dynastie au sommet d’une colline de 50 mètres de haut. Le monument termine l’axe monumental qui part du portail du château de Laeken et qui mène au monument après avoir traversé l’avenue du parc royal via l’avenue de la Dynastie.

Et dès qu’on se retourne, on découvre le château qui est le principal lieu de résidence du couple royal et de ses enfants.
NB: le château de Schoenenberg a été construit à l’initiative des Archiducs autrichiens et Gouverneurs généraux des Pays-Bas, Marie-Christine d’Autriche et Albert de Saxe-Teschen, entre 1781 et 1785. Ce château fut sauvé de la destruction par Napoléon Bonaparte en 1803 (bien avant la défaite de Waterloo 😉) et devint la résidence du premier roi des Belges en 1831 à la création du pays.

Pour la visite des serres et du parc (les photos s’entremêlent forcément) je vous invite à découvrir le montage de mes photos en cliquant

N’hésitez pas à laisser un commentaire ci-dessous si vous avez apprécié…ou pas 😉.

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Voyage, voyage: La chapelle impériale de Biarritz (F)

Au cours de l’été 2020, en vacances au Pays Basque, nous apprenons que des visites guidées sont organisées dans la chapelle impériale construite au XIXème siècle à la demande  d’Eugénie de Montijo, épouse de Napoléon III.

Il est à noter que…

En raison de la régence qu’elle exerça au cours de la guerre de 1870, elle est la dernière femme à avoir gouverné la France avec les prérogatives d’un chef d’État (source)

Comme il y a longtemps que nous ne sommes plus allés à Biarritz et que nous fuyons le côté trop touristique de la ville, nous décidons de nous inscrire à cette visite.

Un peu d’histoire

Enfant, la petite Eugénie, découvre Biarritz en compagnie de sa mère, la comtesse de Montijo. Elle y reviendra plus tard, sur les conseils de son médecin, pour des bains de mer. A cette époque, Biarritz ne comptait qu’environ 300 habitants vivant essentiellement de la pêche.

Le destin d’Eugénie est modifié quand  la reine d’Espagne, dont  elle était la dame de compagnie, lui présente Napoléon. Ce dernier lui fera la cour pendant quatre ans avant de l’épouser. C’est dans la maison prêtée par le maire de Bayonne, que le jeune couple passera son voyage de noces. Eugénie est tellement attachée à la région (et comme je la comprends!) que, en 1855, Napoléon fait construire la villa Eugénie à Biarritz .

Jusqu’en 1870, la cour impériale ne manqua que peu de rendez-vous d’été à Biarritz et attira à sa suite le gotha international. La Reine Isabelle d’Espagne, le Roi de Wurtemberg, Léopold II de Belgique, les souverains du Portugal, le Prince Jérôme Bonaparte, le Prince Albrecht de Bavière, le Prince Walewski, les Princes de Metternich, le Chancelier Bismarck, les écrivains Prosper Mérimée et Octave Feuillet s’y succédèrent au fil des années. (source)

En 1863, Eugénie exprime le souhait de faire construire une chapelle dans le jardin de sa villa. Elle s’en ouvre à Prosper Mérimée qui lui conseille l’architecte qui a imaginé la flèche de la cathédrale de Bayonne.

Le 5 mars 1865, la première messe est célébrée dans la chapelle impériale.

La chapelle impériale

Comme Eugénie est originaire de Grenade, il n’est pas étonnant que sa chapelle soit construite dans un style mêlant roman-byzantin (dorures) et hispano-mauresque. Elle est dédiée à la vierge noire mexicaine Notre-Dame de Guadalupe (en souvenir de la guerre que la France menait alors dans ce pays).

Suivant les vœux d’Eugénie, il y a toujours quatre messes par an célébrées dans la chapelle:

  • Le 9 janvier pour l’anniversaire de la mort de Napoléon III
  • Le 1er juin pour celui de la mort du prince Impérial
  • Le 11 juillet pour celui de l’Impératrice Eugénie
  • et le 12 décembre pour la fête de Notre-Dame de Guadalupe.

J’espère que vous aurez pris plaisir à me suivre dans cette visite qui sort un peu des clichés liés à Biarritz 😊.

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Ted Nomad, mon coup de 💖

Pour terminer le partage de mes photos de Street Art City, j’ai souhaité donner une place de choix à un artiste qui a su m’émouvoir. Ses visages terriblement expressifs m’ont touchée plus encore que les œuvres des autres artistes. Ça ne s’explique pas, c’est comme ça et peut-être ne partagerez-vous pas mon sentiment mais au moins vous saurez que cette personne existe et c’est le principal.

Comme il le dit “Juste exister en exultant une puissante étincelle de vie dans chaque portrait qui s’offre au spectateur. Les regards se croisent, s’épousent ou se fuient, bouleversant les émotions les plus profondes”.

Ted Nomad est né sur la route…

Sa peinture est instinctive, jetée comme une nécessité, une urgence.
Il puise son inspiration dans ses émotions et recentre le regard de l’être humain avec force et réactivité face aux phénomènes sociétaux qui l’interpellent.
Figures anonymes ou célèbres naissent de ses pochoirs au gré de ses rencontres.
En exigence de précision, il affine, il peaufine. Chaque pochoir est minutieusement « sculpté », découpé dans le vif du papier, destiné à ne vivre qu’une seule fois malgré les heures de travail, la peinture est appliquée à la bombe aérosol.

Ted Nomad a toujours dessiné, sans début ni fin, le dessin est son mode d’expression essentiel depuis ses souvenirs les plus lointains. (source)

Plus que jamais j’ai trouvé la présentation Sway adaptée à ce que je souhaitais dans le sens où elle permet de cliquer sur chaque photo pour la voir en plein écran 🧐 .

Dites-moi votre ressenti. Vous a-t-il touché également ou pas du tout? Que pensez-vous de la technique des portraits que j’appelle “à livre ouvert”?

J’attends vos commentaires…

Un petit bonus fourni par Géhèm dans son commentaire:

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Les cris des murs (3)

Voici le troisième et dernier article regroupant mes photos de Street Art City, parfois justement appelée “Villa Médicis de l’art urbain”. Il sera moins dense et moins cohérent que les deux premiers mais j’y ai placé ce qui a accroché mon regard. 

Pour commencer, je partage des photos d’oeuvres diverses faisant l’objet d’une exposition d’artistes de Street Art qui ont exercé leur talent sur des supports mobiles mis en vente.

Vous reconnaîtrez peut-être au passage des styles déjà rencontrés en extérieur ou dans l’Hôtel 128.

La toile suivante, “Abbut”, est de l’artiste Grec Simple G. Elle est entièrement réalisée par un nombre impressionnant de  traits de marqueurs sur la toile pour aboutir à ce photoréalisme. Vous avez déjà vu son style dans la chambre “Welcome to my house” dans l’hôtel 128 (article précédent).

Je termine cette expo par le coin consacré à Kelkin dont j’ai déjà dit tout le bien que je pensais.

Pour suivre, nous avons eu droit à une exposition de Zeso qui a revisité à sa manière, le thème de la nature morte  Pour vous le situer, c’est lui qui a réalisé la fresque géante d’Alice à l’extérieur.

Dans les quelques photos de natures mortes présentées, je trouve que la dernière est très parlante et illustre plutôt bien le terme de “nature qui se meurt”, comme le dit l’artiste, hélas…

Pour davantage de détails sur Zeso et les natures mortes proposées, vous pouvez cliquer ici.

Comme je ne tiens pas à vous assommer par trop de photos en une fois, je parlerai prochainement de Ted Nomad (mon coup de coeur) dans un article qui lui sera réservé.

Je suis consciente qu’on peut aimer ou pas ce travail. Certes, je n’apprécie pas tout avec la même intensité mais je garde un souvenir émerveillé de ma visite à Street Art City en regard du travail exceptionnel réalisé par les artistes qui y ont mis leur âme.

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