Découverte: les Hautes Pyrénées

Quant on parle des Hautes Pyrénées, on pense plutôt stations de ski mais on peut aussi apprécier l’endroit en été, ce que j’ai fait.
Partant de la petite ville de Saint-Lary-Soulan, on peut rejoindre un des plus beaux villages d’Espagne nommé Ainsa (province d’Aragon), en empruntant le tunnel transfrontalier d’Aragnouet-Bielsa qui relie la haute vallée d’Aure à la vallée de Bielsa.

La découverte d’Ainsa

La première chose qui nous impressionne est la Plaza mayor, vaste place trapézoïdale bordée de maisons à arcades des 12ème et 13ème siècles.

On a vraiment l’impression de faire un bond dans le passé en arrivant dans ce bel endroit 

Le restaurant que nous avions choisi nous a maintenus dans cette ambiance résolument ancienne.

La construction de l’église locale, de style roman, a commencé à la fin du 11ème  siècle et s’est terminée dans la seconde moitié du 12ème siècle.

Si on est courageux, on peut monter dans la tour afin de profiter d’une vue intéressante sur le village.

Le cloître a une structure originale: il fallait bien s’accommoder de la place disponible. Pendant très longtemps, il fut enclos de murs et de verrières ce qui lui permettait d’avoir des autels avec leurs retables. Ils disparurent pendant la guerre civile de 1936-1939.

D’autres vues…

De là, on peut profiter d’une vue sur les hautes montagnes qui nous font face…et se sentir tout petit!

En pénétrant un peu plus dans l’Espagne nous arrivons au vieil ermitage de San Urbez au dessus du village de Nocito.

Le moment est venu de reprendre le chemin dans l’autre sens pour regagner la France 

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Bientôt le printemps! 🌼

Et pour vous donner un avant-goût, j’ai ressorti quelques photos prises il y a quelques années dans le parc floral de la source du Loiret 

Un peu d’histoire…

Pour certains historiens, la source du Loiret et des terres voisines entre Loire et Loiret auraient été offertes en 510 par Clovis aux moines de l’Abbaye de Micy. Entre 1427 et 1950, le domaine connaît de nombreux propriétaires qui façonneront son visage : canalisation du cours d’eau, aménagement de jardins à la française puis à l’anglaise, modifications du château…

Dans les années 60, le domaine de la Source, est acquis par le Département du Loiret et la Ville d’Orléans qui portent un grand projet d’urbanisme comprenant un campus universitaire, un quartier et un parc, à la fois lieu de détente et vitrine de la profession horticole, sur les 35ha restants autour de la Source du Loiret : le Parc Floral de la Source était né.(source)

Commençons par le beau bâtiment du château de la Source (17ème) Il est situé le long du cours du Loiret, en surplomb du miroir d’eau, à 250 mètres de sa source appelée « Le Bouillon », à proximité du parc floral.

Vue de l’étang depuis le château 

Un arbre dont j’aimais la silhouette

J’ai aimé photographier les dahlias et les papillons dans la serre qui leur est destinée. Ce sont surtout ces photos que je souhaite partager.

Quelques-uns des dahlias que j’ai photographiés (il y en a évidemment beaucoup plus mais je ne faisais pas le catalogue Rustica non plus 😉 )

Ci-dessous, je vous montre quelques-uns des 🦋 qu’on peut presque toucher dans la serre, c’est assez amusant. Je vous demande juste un peu d’indulgence, ces photos sont anciennes et ont été réalisées avec un appareil assez modeste:

J’espère vous avoir donné un aperçu qui vous fera envie d’aller voir sur place ce bel endroit…

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Du côté de chez Ma

Cette semaine, le thème proposé par Ma est “s’asseoir”. Alors bien sûr on a le choix de s’asseoir comme on veut. 

On peut, comme ce jeune homme…

 

…ou comme Souchon, s’asseoir par terre

Mais il est quand même plus confortable de s’asseoir de manière plus conventionnelle par exemple sur un banc comme Bocuse et Freud à Lyon, ou ces inconnus à Hasselt (B), voire même…

 

…comme Renaud et son mistral gagnant

On peut aussi s’asseoir n’importe où comme la statue de ce pauvre Job…

 

Mais honnêtement, ce que je préfère pour m’asseoir ou pour les admirer, ce sont les chaises, les vraies, les belles comme celles-ci et leurs messages:

 

Les photos des chaises-poèmes ci-dessus ont été prises à Québec et à Charleville-Mézières mais sont du même sculpteur québécois Michel Goulet.
Et pour terminer, en guise de clin d’œil, j’ai pensé au groupe “Daran et les chaises” bien sûr… (même si je ne suis pas trop fan)

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La vie de château

Ne vous réjouissez pas trop vite et surtout n’ayez pas la folie des grandeurs parce que les châteaux dont je vais vous parler aujourd’hui sont des châteaux…d’eau.

Un château d’eau est une construction destinée à entreposer l’eau et est placée, en général, sur un sommet géographique pour permettre de la distribuer sous pression.
La réserve d’eau joue un rôle de tampon entre le débit demandé par les abonnés et le débit fourni par la station de pompage. Il permet ainsi d’éviter de démarrer trop souvent les pompes et de les protéger. Une telle réserve permet également de faire face aux demandes exceptionnelles en cas d’incendie et de manque d’eau.(source)

Autant dire que c’est bien utile pour notre vie de tous les jours. La plupart de ces constructions sont assez grises, moches et n’embellissent pas vraiment notre environnement.
Sauf ceux qui sont décorés bien sûr! Je n’ai pas suffisamment de photos pour faire un montage mais j’ai quand même envie de partager les quelques oeuvres qu’il m’est arrivé de croiser en chemin et que j’ai pu photographier (parfois c’est juste impossible de s’arrêter ou de trouver un angle de prise de vue correct).
Le premier que je vous présente se trouve à Douvrin, dans le Pas de Calais (F):

Le deuxième est à Tarnos dans les Landes (F): 

Quant au 3ème et dernier, il se trouve à Toul, en Meurthe et Moselle et je vous en propose deux vues différentes.

Même s’il est un proverbe qui dit : “L’eau fait pleurer, le vin chanter”, nous avons tous besoin d’eau pour vivre et nous sommes bien heureux d’en avoir toujours à disposition dans nos habitations.

L’eau : n’en perdez pas une goutte le 22 mars, pour la Journée mondiale de l’Eau.

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Découverte: la ville de Louvain (4)

Comme promis, nous allons aujourd’hui clore la découverte de la ville belge de Louvain (Leuven) par un moment de détente dans le jardin botanique classé dont les bâtiments sont de style néo-classique.

Comme il est un peu excentré, avant d’y arriver, nous admirons encore quelques endroits remarquables de la ville.

De ci de là nous voyons des bacs à plantes qui attirent bien le regard: nous sommes sur la route des mosaïques. Depuis 2017, on a vu fleurir des mosaïques sur des bacs contenant des arbres et une promenade permet de voir toutes les oeuvres de ce projet de ville. Nous ne la ferons pas cette fois puisque nous connaissons déjà notre but et qu’elle nous en écarterait.

 

Encore quelques petites choses remarquées en regardant en haut ou en bas, en cliquant juste ici et comme annoncé, une petite balade bien agréable en regardant cette petite vidéo “Home Made” bien sûr…

Je vous invite à mettre la vidéo en plein écran et à vous laisser guider par la musique 

Nous quittons cette fois Louvain pour d’autres découvertes à venir…

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Du côté de chez Ma

Je prends rarement des photos de personnages, sauf de ma famille. Mais je me suis donné pour principe de ne pas divulguer ce type de photos qui doivent, à mon avis, rester dans la sphère privée. Difficile donc pour moi de proposer un “portrait”… qui est le mot que Ma nous demande d’illustrer cette semaine.

A moins que! Si je détourne un peu le thème je peux quand même répondre au défi de ce samedi. Il ne sera pas dit que je resterai le bec dans l’eau si je puis dire et justement, voilà à quoi j’ai pensé.

Pour faire le portrait d’un oiseau – Jacques Prévert

Peindre d’abord une cage
avec une porte ouverte
peindre ensuite
quelque chose de joli
quelque chose de simple
quelque chose de beau
quelque chose d’utile
pour l’oiseau

Placer ensuite la toile contre un arbre
dans un jardin
dans un bois
ou dans une forêt
Se cacher derrière l’arbre
sans rien dire
sans bouger…
Parfois l’oiseau arrive vite
mais il peut aussi bien mettre de longues années
avant de se décider
Ne pas se décourager
attendre
attendre s’il le faut pendant des années
la vitesse ou la lenteur de l’arrivée de l’oiseau
n’ayant aucun rapport
avec la réussite du tableau
Quand l’oiseau arrive
s’il arrive
observer le plus profond silence
attendre que l’oiseau entre dans la cage
et quand il est entré
fermer doucement la porte avec le pinceau
puis
effacer un à un les barreaux
en ayant soin de ne toucher aucune des plumes de l’oiseau
Faire ensuite le portrait de l’arbre
en choisissant la plus belle de ses branches
pour l’oiseau
peindre aussi le vert feuillage et la fraîcheur du vent
la poussière du soleil
et le bruit des bêtes de l’herbe dans la chaleur de l’été
et puis attendre que l’oiseau se décide à chanter
Si l’oiseau ne chante pas
c’est mauvais signe
signe que le tableau est mauvais
mais s’il chante c’est bon signe
signe que vous pouvez signer
Alors vous arrachez tout doucement
une des plumes de l’oiseau
et vous écrivez votre nom dans un coin du tableau.
Ouf! Grâce à un de mes poètes préférés (et ce ne sont pas des Paroles en l’air) j’ai pu participer cette semaine encore au défi de Ma. En complément, oserai-je vous conseiller de voir, si ce n’est déjà fait, le très beau film d’animation “Le roi et l’oiseau“? Ce film est de Grimault et Prévert.

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Découverte: la ville de Louvain (3)

Nous poursuivons la visite de cette ville riche en belles surprises et arrivons à labbaye du parc. En 1129, des chanoines prémontrés (Norbertins) venant de Laon, dans le Nord de la France, s’installent sur des terres offertes par Godefroid le Barbu, duc de Brabant. Au XIXème, l’abbaye se trouve amputée d’une bonne partie de son territoire et ne dispose plus «que » de 42 hectares au lieu de 3 500 hectares auparavant.

Il se rattache à l’abbaye du Parc de grands souvenirs historiques, puisqu’à différentes époques, le duc d’Albe, le prince d’Orange, Érasme, Guillaume III roi d’Angleterre, Louis XV roi de France y séjournèrent. Échappant aux vicissitudes de la Révolution française, elle resta entre les mains des chanoines prémontrés qui y continuent leur ministère dans les paroisses des environs.(source)

Nous pénétrons par une entrée gardée par deux lions de pierre (1725). Suit ensuite une drève arborée qui mène à la porte de Sainte-Marie. Celle-ci est la première véritable porte-bâtiment. Elle servit d’habitation au gardien de l’abbaye du parc.
La répartition en zones est propre à la construction des abbayes. La porte de Sainte-Marie donne accès à la zone extérieure ou, dans le sens contraire, isole cette zone des champs avoisinants. Dans la zone extérieure se trouvent les champs, les domaines et les étangs.
Cette zone verte par excellence est aujourd’hui destinée aux promenades, aux activités récréatives et à la nature.

Nous apercevons ensuite le moulin à eau (1534). Derrière le moulin se trouvait la forge. Les Norbertins louaient le moulin à un laïc chargé de moudre le blé, le seigle et l’orge pour l’abbaye et également pour les paysans de la région.
On n’a plus moulu dans l’abbaye depuis la mort du dernier meunier (1963).

Près du moulin on voit une partie d’étang. En fait, quatre étangs ont été creusés et étaient utilisés pour la pisciculture. De nos jours, les 12 ha d’étangs de l’abbaye servent de lieu de repos et d’incubation pour les oiseaux. Au sud des étangs serpente le ruisseau du Leibeek. Il s’agit d’un ruisseau biologiquement pur qui prend sa source au sud-est du site abbatial et se jette dans le Molenbeek non loin de la porte Sainte-Marie.

Porte de Saint-Jean et zone de la basse-cour

La porte de Saint-Jean est la seconde porte-bâtiment de l’abbaye. Cette porte isole la zone extérieure de la zone de la basse-cour qui était le centre des activités économiques de l’abbaye et reliait l’abbaye aux champs.

Porte de Saint-Jean

Dans la deuxième partie du 17ème siècle, le vieux complexe à colombages et en briques a été remplacé par les beaux bâtiments actuels de style rustique avec du grès et de la brique traditionnelle ponctué d’éléments décoratifs baroques.

Le petit cimetière proche de l’église abrite des sépultures de personnages publics belges.

A cet endroit, une sculpture magnifique a attiré mon regard curieux, c’est celle du monument funéraire de Fryda Van Damme (1947-1995) atteinte d’un cancer.
Son mari Edward de Maesschalk (qui a étudié l’histoire à Louvain et à Paris et a obtenu un doctorat en philosophie et littérature en 1977), lui a consacré un livre accrocheur “Sterven is een kunst” (Mourir est un art), une histoire qui ne laisse personne froid, une bataille de 10 ans contre une maladie persistante et l’acceptation du destin.

Les Norbertins du Parc ont construit l’église abbatiale au sommet d’un coteau naturel. Sous le chœur, non loin du maître-autel, une crypte a été construite pour les abbés.

Aujourd’hui, l’abbaye est encore un haut-lieu de la culture religieuse dont la bibliothèque collabore avec la KUL. En outre, des expositions sont organisées dans le musée de l’abbaye. 

Ne ratez pas le prochain article qui nous emmènera dans le magnifique jardin botanique…

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Bric à Book

Si vous vous souvenez, j’ai décidé de commencer un nouveau projet cette année en adhérant à l’atelier d’écriture en ligne Bric à Book.

Le principe est simple, une photo nous est proposée chaque mois comme déclencheur et le défi est d’écrire une histoire d’environ une page A4 au départ de ce cliché.

La photo de l’atelier d’écriture 323 est celle-ci

©Steve Ramon

Et voici l’histoire qu’elle m’a inspirée 

Le jeune voleur

Depuis toujours il voyait des choses que les autres ne devinaient même pas. Dès qu’il entrait dans un local, les nombreux faisceaux infra-rouges des détecteurs antivol devenaient comme des néons devant ses yeux d’un bleu tendant vers l’héliotrope. C’en était parfois gênant mais, avec le temps, il s’y était habitué. Aucun médecin n’avait jamais pu expliquer ce que lui-même ne décrivait d’ailleurs que de manière très évasive. Quand il en parlait, ses parents pensaient qu’il avait une imagination débordante et cela ne les inquiétait pas trop, tant que ses résultats scolaires restaient corrects. Quant à lui, il pensait bien qu’un jour ce don l’aiderait à réaliser un coup d’éclat. Depuis quelques années, il n’en avait plus parlé à qui que ce soit, espérant ainsi que le souvenir de cette particularité s’estomperait peu à peu dans l’esprit de ses proches.

Le samedi soir, ses parents avaient l’habitude de sortir en amoureux. C’était le bon moment pour s’éclipser discrètement sans devoir prétexter un devoir à finir chez un copain. Le musée n’était pas trop loin de son domicile et, en enfourchant son vélo, il y arriverait en dix minutes à peine. Il lui suffirait alors de se faufiler à contre-sens dans la foule des visiteurs pressés de sortir et de gagner les toilettes pour s’y cacher. Son plan fonctionna à merveille et il arriva enfin devant la salle qui l’intéressait. A quinze ans à peine, il s’était accoutumé à subir ces visions en bien d’endroits mais jamais encore il n’avait vu pareil entrelacement de cadres. Et pourtant il s’était bien juré de parvenir à entrer dans la salle du musée où était exposée cette énorme pépite d’or. Oh, il n’en avait pas réellement besoin et d’ailleurs il ne saurait qu’en faire mais pour briller aux yeux de Callista il était prêt à toutes les folies. Peut-être ne le regarderait-elle plus comme un gamin s’il réussissait.

Après avoir déposé son sac au sol, il se positionna devant le premier cadre et étudia le maillage lumineux qu’il était seul à voir sans accessoire. Ses entraînements de gymnastique lui donnaient une grande souplesse et il passa sans difficulté le premier piège de faisceaux. Les suivants, fort proches, lui donnèrent un peu plus de fil à retordre et il dut se contorsionner pour ne pas déclencher l’alarme. Il voyait à présent clairement briller la pépite dont le présentateur du JT avait dit que c’était la plus grosse jamais trouvée. Son pouls s’accéléra encore en approchant du but. Une dernière glissade sous un faisceau et il prit enfin l’or dans ses mains. Quelle chance quand même il avait de voir luire ces rayons alors que n’importe qui d’autre aurait déjà déclenché l’alarme par un seul petit geste. Il lui restait simplement à faire le chemin en sens inverse, à poser la pépite dans son sac à dos et à rentrer chez lui sans précipitation pour ne pas attirer l’attention des passants.  Il se prit à  rêver à la tête que ferait Callista en voyant son trésor. C’est sûr, elle ne pourrait que craquer devant son audace et l’admirer pour les risques qu’il aurait pris juste pour l’épater.        
Il reprit sans soucis le chemin inverse et ses yeux performants lui évitèrent de se faire détecter par les faisceaux que tout le monde pensait invisibles. Poussant un ouf de soulagement, il se surprit à siffloter tant il était heureux. Enfin il allait impressionner la belle Callista et rendre jaloux tous ses copains.               
Il se dirigea le cœur léger vers la sortie, empoigna le bouton de la porte principale, le fit pivoter et, tout à coup, une sonnerie stridente traversa ses tympans qui eux n’avaient rien d’exceptionnel ! En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, le gardien engoncé dans son uniforme surgit devant lui en brandissant un index menaçant. 
Si le jeune homme comprit directement que, comme Perrette et son pot au lait, son rêve venait de brutalement s’achever, ni le gardien, ni le directeur du musée ne comprirent jamais comment le garçon avait pu déjouer les pièges du système antivol sophistiqué ! L’histoire dit qu’ils cherchent toujours…

Si vous avez lu jusqu’au bout et que vous avez aimé, ou pas, dites-le moi sans crainte, ça m’intéresse.

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Du côté de chez Ma

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Le mot que Ma nous demande d’illustrer cette semaine est le mot “choix“.

Pour ce faire, j’ai décidé de vous emmener au Maroc et de vous laisser le choix dans différents domaines. Le Maroc étant un gigantesque marché à ciel ouvert, j’espère que vous ne serez par déçu(e)s par les choix que je vous propose aujourd’hui.

Pour commencer je vous propose, pour vous mettre à l’aise, de choisir une belle paire de babouches et je vous laisse le choix du modèle et de la couleur.

Bon maintenant que vous êtes bien dans l’ambiance, allons acheter un petit panier pour y déposer nos autres achats. Là aussi bien sûr vous avez le choix. Vous pouvez même choisir un chapeau si vous craignez le soleil.

Pour remplir nos paniers, que diriez-vous de prendre quelques oeufs, au choix bien sûr, et des épices?

Si vous craignez le piquant des épices, optez pour un bon jus frais avec la possibilité de choisir les oranges…

Et si nous choisissions une barque, bleue bien sûr vu que c’est ma couleur préférée, pour aller nous balader un peu après les courses… Je sais, le choix est difficile dans ce cas. Hmmmh, laquelle prendre? 

Et si en rentrant de promenade vous avez mal aux dents, pas de soucis, pour ça aussi vous aurez le choix et vous pourrez même essayer sur place en choisissant vos dents préférées.

Alors, elle est pas belle la vie quand on a le choix? 

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Découverte: la ville de Louvain (2)

Je vous avais promis de reparler de la KUL, l’université de Louvain. Je devrais plutôt dire Leuven puisque cette université est issue de la scission, en 1968, de la plus ancienne université de Belgique en deux parties suite à laffaire de Louvain.  La partie néerlandophone est restée à Leuven tandis qu’une partie francophone a été créée dans le Brabant wallon à Louvain-la-Neuve (ville créée à cette occasion). C’est une histoire belge et ça ne s’invente pas…

Je vous invite donc à regarder quelques photos de la KUL et du grand béguinage de Leuven. Le béguinage étant formé par l’ensemble de petites maisons où vivent les béguines. Pour rappel, une béguine est une femme, le plus souvent célibataire ou veuve, appartenant à une communauté religieuse laïque sous une règle monastique, mais sans former de vœux perpétuels (source).

Vous connaissez la chanson, il faut cliquer

ici

pour voir mes photos personnelles.

A bientôt pour la suite de la visite de Louvain.

 
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