Comme chaque samedi je joue avec Ma et le mot à illustrer aujourd’hui est le mot panorama.
Pour ne pas me tromper, j’ai demandé à Wikipédia de me préciser ce qu’est un panorama et voici ce qu’il m’a dit:
Un panorama (mot anglais du 18e siècle, lui-même formé à partir des mots de grec ancien pan ou « παν », tout, et horama ou « ὅραμα », spectacle) est une vue en largeur d’un espace physique.
J’aime bien prendre de beaux endroits en grand angle et justement je vous propose d’admirer ce magnifique château néerlandais dont je ne vous ai pas encore parlé mais ça viendra bientôt, c’est promis 😉
Art Liberty rend hommage aux artistes précurseurs que se sont emparés du Mur de Berlin, symbole d’oppression, pour en faire un support de la liberté créatrice. Trente artistes d’art urbain ont chacun réalisé une oeuvre sur un fragment original du Mur.
En s’emparant des morceaux du Mur, les artistes composent un hymne aux valeurs qui fondent notre civilisation. Ces valeurs, ce sont celles que sont venus défendre les hommes tombés dans la neige de l’hiver terrible 1944-1945.
Un fil rouge relie les Ardennes et Berlin : la lutte pour la Liberté !
Je vous invite à méditer sur mes photos de quelques-unes des oeuvres exposées…
Keya TAMA alias Jack Fox, Wolf of Berlin (2014)
FIRE, Falling Man (2015)
Jim AVIGNON, All Inclusive (2014)
Jef AEROSOL, Sitting Kid (2014)
C215, Bons baisers de Russie (2014)
Jérôme MESNAGER, Corps blanc sur mur de Berlin (2014)
RUN, Le Passage (2014)
Pablo DELGADO, No, Man’s Land (2014)
Jean FAUCHEUR, Sans titre (2014)
MESA, Espoir? (2014)
Thierry NOIR, Mon dentiste habite de l’autre côté du mur, je dois improviser! (2014)
DSCREET, Between Us (2014)
John DOLAN, Love Shoreditch (2014)
Franck PELLEGRINO, Evasion (2014)
KING SONE, Hommage to Gorbatchev (2014)
PHA, 1989-2014 La Trace (2015)
Ch. E. BOUCHET, Les Clés de la Liberté (2014)
Peter UNSIKER, Chorus II (2014)
1UP (One United Power), Changement de climat (2014)
L7M, Paix, Amour: Le colibri blanc (2015)
DALEAST, Continental Climate C (2014)
GILBERT-MAZOUT, Sans titre (2014)
Abraham CLET, 7 janvier 2015 (2015)
Visible également, un grand fragment provenant du côté ouest du Mur où les street artistes Jef Aérosol et Jimmy C. ont peint les portraits des 3 pop stars mythiques : David Bowie, Iggy Pop et Lou Reed.
Peut-être avez-vous vu cette expo géante à d’autres endroits que Bastogne. Quoi qu’il en soit, j’ai été émue de ces témoignages et mes pensées reconnaissantes se sont envolées vers tous ceux qui, en donnant leur vie, nous ont donné la liberté. N’oublions jamais!
Qu’est-ce que la Journée mondiale des toilettes des Nations Unies?
L’Organisation mondiale des toilettes a été créée le 19 novembre 2001 et le premier jour du Sommet mondial des toilettes a eu lieu le même jour, le premier sommet mondial de ce type. Nous avons reconnu la nécessité d’une journée internationale pour attirer l’attention du monde sur la crise de l’assainissement. Nous avons donc créé la Journée mondiale des toilettes le 19 novembre. La Journée mondiale des toilettes a continué de gagner du soutien au fil des ans. Des ONG, le secteur privé, des organisations de la société civile et la communauté internationale se sont joints à cette journée mondiale.(source)
Je ne pouvais évidemment pas rater cette occasion de partager mes dernières découvertes en matière d’indication des lieux d’aisance 😉
Comme chaque lundi je participe à l’atelier d’écriture en ligne Brick a book.
Cette semaine, c’es la photo ci-dessous qui sert de déclencheur et il n’y a pas de contrainte thématique interdite. Youpie! 😊
J’avais retiré cette photo du tas de vieux portraits retrouvés dans une boîte métallique après le décès de mes parents.
Je me souvenais que, gamine, je ne comprenais pas que ma mère, qui me paraissait si vieille du haut de ses trente trois ans, ait pu être amie avec ces souriantes jeunes filles. Elle m’avait raconté que la photo avait été prise au lendemain de la guerre qui avait frappé si durement les Ardennes où elles vivaient. Les demoiselles avaient pris beaucoup de plaisir à poser pour cette photo où on les voyait déguster les chewing gum offerts par les Américains venus les libérer. C’était nouveau pour elles cette matière qu’on mâchait sans l’avaler pour ne pas “qu’elle reste collée partout dans le ventre”.
La guerre, encore une abstraction pour une petite fille… qui écoutait, avec incompréhension, raconter les privations, la peur, le froid mordant les jambes colorées à la chicorée et les galoches à semelles de bois.
Elle me parlait aussi de chacune d’entre elles: de Johanna partie au Mexique avec un soldat séduisant, de Jeanne et Joséphine, les deux sœurs célibataires qui vivaient toujours dans la maison de leurs parents et puis elle, à l’arrière. Elle regardait d’un air déjà méfiant ce qu’elle allait mettre en bouche. Cette habitude ne la quitterait jamais comme si le manque de tout durant presque cinq ans avait ancré cette nécessité de bien regarder, goûter, analyser ce qu’on mangeait pour en tirer un maximum de plaisir.
Aujourd’hui c’est à mon tour et ce sont mes petits-enfants qui ne me reconnaissent pas sur les photos du passé. Quant à la guerre… Les nombreuses vues présentées sur le petit écran la font entrer quotidiennement dans notre vie mais ça se passe toujours ailleurs, loin de nous, sans la force émotionnelle du récit d’un proche qui l’a traversée dans sa jeunesse.
Je vous invite, comme chaque lundi, à aller voir chez Brick a book ce que cette photo a inspiré comme beaux textes aux autres personnes 😊
C’est samedi aujourd’hui et que trouve-ton le samedi sur ce blog? Le défi en photo de Ma bien sûr!
Cette semaine Ma nous demande d’illustrer le mot ville ou village.
Aujourd’hui, j’ai donc choisi de vous montrer l’endroit où je vis. Pas ma maison évidemment, faut pas rêver, je tiens à préserver mon intimité 😎J’habite dans une commune qui compte en tout environ 14.000 habitants. Cette commune est elle-même issue de la fusion de deux plus petites communes d’égale importance ayant chacune leur centre de vie et j’habite dans l’une d’entre elles.
Armée de mon appareil photo, je me suis donc rendue sur une des deux collines qui entourent mon village au fond de la vallée (comme dans la chanson Les trois cloches).
Sur ma photo, vous verrez le centre du village avec l’église au milieu bien sûr et les commerces de proximité.
Comme d’habitude, je vous invite à aller voir chez Ma les villes et villages des autres participant(e)s.
Il pleut beaucoup ces derniers jours et donc, dès qu’il fait sec et que le soleil montre le bout de ses rayons, il faut en profiter bien vite. C’était le cas dimanche dernier lors d’une balade dans ma région, au départ de la commune d’Anthisnes située au sud-ouest de Liège.
Je vous propose quelques explications en bonus ci-dessous.
L’ancienne ferme Saint-Laurent
Édifiée sur le magnifique site du château de l’Avouerie, de l’ancienne Eglise Maximin et de la ferme Omalus, la ferme Saint-Laurent constitue le fleuron du patrimoine anthisnois. Initialement propriété de l’abbaye bénédictine de Waulsort en 946, elle fût entièrement rénovée au 17ième siècle par l’Abbé Guillaume Natalis qui en fit un remarquable ensemble architectural. Les passants peuvent admirer cette magnifique ferme en quadrilatère classée et son splendide tour-porche dont l’appartement prestigieux hébergeait l’abbé lors de ses visites. On peut aussi reconnaître les anciennes étables et écuries, le corps de logis, la grange ainsi que les vestiges de l’ancienne Eglise Maximin. Exploitée jusqu’en 1977, la ferme Saint-Laurent a été réhabilitée en logements sociaux. Et si on ne peut la visiter, sa cour intérieure est ouverte au public, pour le plus grand plaisir des yeux ! (source)
Les informations sur la devise proviennent de cette source.
Le château d’Ouhar
Situé à Anthisnes, dans la province de Liège (Belgique), le château d’Ouhar est une résidence privée (visites sur rendez-vous, sinon ne pas rentrer sur la propriété sans autorisation). L’édifice est magnifique. Au XIVe siècle, Ouhar est déjà signalé comme fief de l’avouerie d’Anthisnes. Un acte stipule qu’il s’agit d’une tour forte alors qu’elle appartenait à la famille de Soheit. La demeure est de style renaissance mosane. La tour principale est coiffée d’un bulbe. C’est une belle ajoute du XIXe siècle imitant l’ancien.(source)
J’espère avoir réussi à vous emmener avec moi dans cette agréable balade…
Comme chaque lundi, je participe à l’atelier d’écriture en ligne du blog Brick a book.
Cette semaine, c’est la photo ci-dessous qui nous est proposée comme déclencheur d’écriture et la contrainte est de placer dans notre texte le mot “chevillette”.
Ce sont ses chaussures colorées qui avaient d’abord attiré mon regard. On aurait dit qu’elle les avait choisies pour les assortir à sa couleur de cheveux. C’était étrange, cette dame au bord de l’eau ressemblait à un fantôme. Un peu floue et un brin diaphane, si on excepte sa chevelure et ses pieds, elle tenait son sac à main comme si sa présence élégante était normale à cet endroit…
Les gamins en haut jouaient à sauter dans l’eau et à recommencer encore et encore et elle, elle les regardait, impassible.
Personne n’imaginait que sa mission était d’enlever la chevillette afin de libérer les parois du barrage. Elle n’était pas là par hasard et ses projets n’avaient rien de bienveillants. Au contraire, elle se réjouissait du bon tour qu’elle allait jouer à ces gamins qui s’amusaient et riaient aux éclats alors qu’elle avait perdu le goût de vivre depuis si longtemps. Elle avait d’abord sombré dans l’alcoolisme puis était devenue le pantin d’une bande de voyous qui lui ordonnaient d’exécuter les pires bêtises tout droit sorties de leurs cerveaux dérangés en échange d’une bouteille de mauvais vin. Sa seule erreur avait été le choix de ses escarpins car c’est en les voyant que les gamins avaient commencé à l’observer. Comment allait-elle faire maintenant pour mener à bien la mission que son esprit dérangé se sentait obligée d’accomplir?
Elle frissonnait d’angoisse, triturait les anses de son sac, marmonnait toute seule. Les gamins eux riaient aux éclats en regardant cette vieille folle figée au sol. Elle n’avait plus aucune possibilité d’atteindre la chevillette discrètement et elle s’effondra en larmes au bord de l’eau comme une gamine désobéissante qui va être grondée…
Comme chaque semaine, je vous invite à aller sur Brick a book voir ce que cette photo a inspiré aux autres participant(e)s.
Ce samedi, le thème que Ma nous propose d’illustrer en photo est le noir et blanc.
Un clin d’œil belge gourmand pour commencer à illustrer le noir et blanc bien sûr.
Je ne fais pas souvent de photos sans couleurs mais il y en a pourtant quelques-unes que j’apprécie dans mes réserves et c’est évidemment celles-là que j’ai choisi de partager aujourd’hui.
Celles-ci ont été prises en Corse (Bavella)
Personnellement j’aime le noir et blanc pour certains portraits ou pour rendre une atmosphère un peu mystérieuse mais, en général, mes photos sont en couleur pour plus de vie. Mais ça n’engage que moi bien sûr
Je vous invite vivement à vous faire surprendre en allant chez Ma voir les autres illustrations du thème du jour.
Profitant récemment d’une belle journée ensoleillée nous avons décidé d’aller nous balader vers le Luxembourg et sa si belle Petite Suisse, le Mullerthal..
L’occasion était belle de faire une pause dans la ville de Diekirch, surtout connue pour sa brasserie, mais ayant d’autres curiosités à offrir aux touristes de passage.
Pour commencer, nous admirons la fontaine de l’âne aux ducats, symbole de Diekirch qui s’enorgueillit du titre de “cité des ânes“
Mais vous le savez, j’aime partager mes photos donc je vous invite à regarder le petit montage ci-dessous avant de me laisser un commentaire (ça fait toujours plaisir 😊) .