Sortez couverts 😷

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On entend beaucoup dire que nous vivons une situation exceptionnelle voire inédite.
A l’échelle d’une vie, c’est vrai mais si on fouille un peu dans le passé on se rend compte que nos ancêtres ont également été confrontés à des épidémies qui leur imposaient de porter le masque, tout comme nous aujourd’hui.

Il y a un siècle, à la fin de la première guerre mondiale, la grippe espagnole fit des millions de morts parmi lesquels Guillaume Apollinaire et Edmond Rostand. 

J’ai trouvé, grâce à un ami, un site fort intéressant où on peut voir des photos d’époque.

Et il se trouve que ce site porte un nom qui me va comme un gant (ce qui, vous en conviendrez, tombe plutôt bien par les temps qui courent 😊) puisque c’est “tous les jours curieux“. Il propose des photos et des mots sur différents thèmes variés, bien au-delà des épidémies bien sûr 😉

Je vous invite à découvrir l’article complet sur la grippe espagnole et je vous propose une des photos de cet article ci-dessous.

Sur la pancarte portée par la femme à droite on peut lire «Portez un masque ou vous irez en prison»

Influenza Epidemic, Mill Valley, California, 1918 (C.Raymond)

Et même si L.F. Céline disait que “l’histoire ne repasse pas les plats”, il semble quand même que l’histoire ne soit  jamais qu’un éternel recommencement… 

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Brick a book 367 ✍🏻

Le lundi on écrit avec la photo proposée sur le blog Brick a book comme déclencheur d’écriture. Ça tombe bien, on est confinés mais pas déconfits et l’écriture est un bon moyen pour s’évader agréablement sans sortir de chez soi. La lecture aussi bien sûr mais c’est un autre sujet.

Voici donc la photo proposée ce lundi et, juste en-dessous, l’histoire qu’elle m’a soufflée en respectant la distanciation sociale recommandée bien sûr😷 .

©Gian Paul Guinto

Jayson s’appliquait depuis le matin. Il s’était levé à l’aube pour pouvoir terminer la mise en place des décorations lumineuses de la fête en un seul jour. Les énormes papillons scintillants déployaient leurs ailes dans le noir de la nuit déjà tombée depuis au moins une heure. Il mettait la dernière touche à l’un d’entre eux quand il entendit crier son nom. L’obscurité l’empêchait de voir qui l’appelait ainsi mais il lui semblait bien avoir reconnu la voix de Kim. Rien qu’en évoquant ce prénom son coeur se mit à battre plus vite, plus fort… Pour peu, il l’imaginait scintiller lui aussi comme ces grands papillons qui feraient briller les yeux des enfants et des jeunes gens lors de la fête.

Tout à ses pensées, il n’entendit pas les pas s’approcher et il sursauta quand Kim, car c’était bien elle, lui toucha le bras en souriant.  Il avait beau avoir largement dépassé la trentaine, il était comme un adolescent dès qu’il voyait sa bien-aimée et rougissait aussitôt comme un gamin. Il l’aimait tellement et n’en revenait pas qu’elle ait posé les yeux sur lui alors que d’autres jeunes gens plus fortunés la courtisaient. Bien sûr les parents de la jeune fille ne voyaient pas d’un très bon oeil cette relation mais Kim avait du caractère et elle suivait les chemins de son coeur. Elle savait que Jayson était travailleur, courageux et honnête et surtout qu’il la vénérait.

“Viendras-tu me faire danser demain à la fête”, demanda-t-elle avec une lueur malicieuse dans le regard. Elle était sûre qu’il ne perdrait jamais une occasion de la faire tournoyer et que sa longue journée de mise en place était comme un cadeau qu’il lui faisait. Il savait qu’elle aimait cette ambiance joyeuse avec toutes ces immenses décorations .

Un grand sourire éclairait son visage quand il se retourna pour lui répondre. Il la raccompagna chez ses parents avant de rentrer enfin reposer son dos fort sollicité tout au long de cette journée de travail.

Il voulait pouvoir lui faire tourner la tête demain, tout le temps que durerait le bal…

Je vous invite à me suivre sur le blog Brick a book pour découvrir les autres textes inspirés par cette photo.

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Du côté de chez Ma

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Le groupe de mots proposé par Ma ce samedi pour que nous l’illustrions en photo est fête foraine.

Il va falloir faire appel aux archives parce que ce n’est pas la saison chez moi. Depuis que je suis toute petite, je sais que la foire de Liège a lieu chaque année au mois d’octobre.

La foire de Liège, ou foire d’octobre, créée en 1594, est la plus ancienne kermesse belge toujours en activité. À l’origine organisée en novembre, elle se tient en octobre depuis 1871. Elle est aussi la plus grande fête foraine du pays quant au nombre de forains présents avec plus de 170 attractions et établissements de restauration. La longueur totale des exploitations, mises bout à bout, avoisine les deux kilomètres.

Il en va aussi de même quant à la fréquentation, avec un nombre annuel de visiteurs supérieur à 1 500 000 au XXIe siècle. (source)

C’est à cette occasion que j’ai pris les photos ci-dessous.

Et chez les autres participants, comment est représentée la fête foraine? C’est ce que vous verrez en allant jeter un oeil sur le blog de Ma.

Je vous souhaite un excellent week-end en restant prudent 😷 et je vous propose un peu d’humour en musique avant de nous quitter parce que c’est bon pour le moral😊

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Brick a book 366 ✍🏻

Confinement oblige, c’est deux fois par semaine que le blog Brick a book nous invite à laisser le champ libre à notre imagination au départ d’une photo.

C’est celle-ci-dessous qui nous est proposée cette fois. Ce qu’elle m’a inspiré se trouve juste en-dessous.

© MHM / CH
© MHM / CH

“Il arrive beaucoup de choses entre la bouche et le verre.”
(Antoine Furetière)

  • Non mais qu’est-ce qui t’est arrivé?
  • A moi, pourquoi cette question?
  • Ben, tu es devenu tout pâle quand elle s’est levée. Juste avant, tu étais comme moi, le teint bien rosé puis quand elle s’est levée tu es devenu blanc comme un linge.
  • Tu ne te rends pas compte, elle a posé ses lèvres sur moi, a soulevé mon pied à hauteur de son nez…puis m’a brusquement reposé sur la table! Y a de quoi pâlir non?
  • Bah elle aura pensé à autre chose, c’est pas grave.
  • Pas grave, pas grave, je suis tout en émoi, elle m’émoustille, me regarde pétiller puis me laisse comme une vieille chaussette. Je suis quand même un Bollinger rosé, on ne me traite pas comme un banal mousseux moi Môssieu!
  • Oh ça va, ne le prends pas mal, d’ailleurs la voilà qui revient.

La demoiselle s’assied, l’air contrarié, empoigne son verre, le regarde, fait la grimace et appelle le serveur en lui montrant le liquide incolore d’un air mécontent.

Le verre se fait tout petit mais le serveur l’empoigne sans état d’âme et part le vider pour le remplir à nouveau de champagne rosé.

Ayant retrouvé ses couleurs le verre se pâme attendant d’être à nouveau saisi par le pied et porté à la bouche. Le moment est fugace, la fille est pressée et contrariée et très vite le verre se retrouve vide alors qu’il pensait très fort “verre, j’espère”.

Ainsi va la vie 🍸

Et maintenant? Bah, maintenant on va lire les autres textes sur Brick a book en prenant un verre…ou pas 😉

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Balade en confinement 😊

Et donc, j’ai pris la liberté de vous inviter à une balade dans les bois proches de mon domicile. Le moment m’a paru opportun, même si j’ai encore dans mes archives photos largement de quoi alimenter quelques articles, puisque  les voyages sont suspendus actuellement. 

Quelques lotissements bordent le bois, c’est la raison pour laquelle on peut parfois apercevoir un bout de construction. Au départ du petit film ci-dessous, j’ai placé quelques photos pour terminer par une courte vidéo qui vous donnera bien l’ambiance des lieux.

Vous me suivez?

J’espère que vous aurez apprécié la balade 😊.

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Brick a book 365 ✍🏻

Comme tous les lundis, je m’essaye à l’écriture grâce à la photo proposée sur le blog Brick a book.

Aujourd’hui, c’est la photo ci-dessous qui doit servir de déclencheur d’idées et, juste en-dessous, vous trouverez le texte que cette photo m’a soufflé.

©Snaps by Dark

Les visages géants avaient directement accroché mon regard quand j’étais arrivé dans la ville. Je cherchais un parking et, quand je vis ces visages inexpressifs, je sus que je l’avais trouvé. Ce serait là et nulle part ailleurs que je laisserais la voiture que j’avais volée le matin même.

Inexpressifs, ils l’étaient de prime abord mais en y regardant de plus près, ils semblaient un peu tristes aussi voire blasés mais, heureusement, pas désapprobateurs. Ma conscience n’était pas tranquille depuis que j’avais crocheté la serrure de ce véhicule mais je n’avais pas vraiment eu le choix. Je devais quitter la ville de toute urgence et mes maigres moyens ne me laissaient aucune alternative.

Je m’arrangeai pour garer la voiture dans un coin sombre afin que les caméras de surveillance ne puissent pas donner matière aux forces de l’ordre à faire de moi un portrait trop précis.

Je quittai nonchalamment le parking après avoir jeté le ticket pris à la borne d’entrée en dissimulant au maximum mon visage sous ma casquette.

Je me tournai une dernière fois vers les visages, leur adressai un signe de connivence et disparus dans les méandres de cette autre ville où mon avenir allait se jouer…

Si vous avez aimé l’exercice, ou pas d’ailleurs 😊, je vous invite à aller lire les autres textes initiés par la même photo sur ce blog.

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Du côté de chez Ma

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Le samedi on joue avec Ma et son défi d’illustrer en une ou plusieurs photos un mot ou groupe de mots proposé.

Je vous invite à deviner le thème de cette semaine grâce aux photos que j’ai choisies pour l’illustrer:

Mon premier se plaît beaucoup les pieds dans le tas de fumier 😂

Pour mon deuxième, l’ambiance reste parfumée puisque juste à côté on rencontre un beau bouc 😏

Mon troisième ne détonnera pas avec les précédents malgré son teint  de rose 🐷

Mon quatrième a décidé de fermer ses oreilles à tous les bobards 🐰

Mes cinquièmes, regroupés au bar, observent avec intérêt les 4 premiers et cancanent à qui mieux mieux  

Mon tout est le thème de cette semaine: les animaux de la ferme.

Je vous invite à aller chez Ma voir les autres participations à ce Projet 52 et je vous souhaite un excellent week-end.

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Brick a book 364 bis ✍🏻

Quelques adaptations bien compréhensibles ont été apportées sur le blog Brick a book qui essaye de continuer à nous divertir en ces temps si particuliers.

Voici les mots d’Alexandra sur cette nouvelle mouture:

Après quelques essais d’un texte en mode « cadavre exquis » où chacun mettait sa petite touche personnelle, je sais que certains n’y trouvent pas leur compte, aussi voilà ce que je vous propose : le mardi et le vendredi, je poste une photo, et vous écrivez chacun votre texte (que vous postez dans les commentaires.) Il s’agit des règles habituelles de l’atelier d’écriture, sauf que là, sa fréquence est doublée (d’une fois par semaine, nous passons à deux.), puis le mercredi et dimanche, je posterai le début d’un texte et ce sera à vous de le poursuivre en participant chacun votre tour.

Vous trouverez ci-dessous la photo proposée pour ce premier vendredi d’écriture suivant la nouvelle organisation et, juste en-dessous, le texte qu’elle m’a inspiré.

©MHM / CH

Mais qu’est-ce qui m’avait pris de l’écouter! Mon amie Martine m’avait raconté qu’elle avait été faire une visite insolite au Musée de la Boverie à Liège: le sujet de l’expo semblait intéressant mais la particularité était surtout que, lors de cette séance, les visiteurs étaient nus comme des vers.

Cette expérience l’avait tellement enthousiasmée qu’elle m’avait invitée à faire partie du groupe qui organisait une visite du Paris souterrain dans le même accoutrement ou plus exactement sans accoutrement. Et moi, comme une idiote, par bravade peut-être, j’avais répondu “pourquoi pas?”

L’entrée se faisait par la descente vers les toilettes publiques et de là un portillon nous donnait accès au Paris souterrain.

Afin de nous mettre “dans l’ambiance” nous avions commencé à nous dévêtir dès le départ. Nos grosses vestes avaient été déposées sur la rambarde qui surplombait les escaliers qui conduisaient au ventre de Paris. Je croisai discrètement les doigts en espérant retrouver la mienne à la sortie parce qu’un petit vent frisquet m’avait déjà fait frissonner.

Arrivés au sous-sol, nous envoyions tous valser tous les textiles que nous portions et, un peu gênés quand même, nous nous préparions à l’aventure sous les yeux amusés de Monsieur Pipi.

Notre progression commença en silence et puis un rire s’échappa, puis un autre, puis un soupir, puis quelques remarques fusèrent. L’ambiance se dégelait peu à peu entre nous. Mais il n’y avait qu’elle parce qu’un méchant courant d’air nous entourait désagréablement. J’espérais ne pas m’enrhumer en plus.

Heureusement la visite ne dura pas trop longtemps et nous reprîmes bien vite le chemin des toilettes par où nous étions arrivés.

Jamais plus je ne me laisserais embarquer dans pareille aventure, Martine l’avait bien compris qui m’offrit d’aller boire un chocolat chaud pour me réconforter et accrocher à nouveau un sourire à mes lèvres presque gercées.

Voilà, c’était ma participation à ce projet bihebdomadaire. Je verrai si je tiens le rythme mais, quoi qu’il en soit, je vous encourage à aller lire les textes nés de cette photo. Certains sont drôles, d’autres émouvants et ils se trouvent juste ici.

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Voyage, voyage: la Bavière, Berchtesgaden

Plus vous saurez regarder loin dans le passé, plus vous verrez loin dans le futur (W. Churchill)

Interprétant cette pensée de manière très personnelle 😄, je continue à partager des photos  de vacances passées tout en rêvant aux vacances futures…confinement oblige.

Et comme j’aime vraiment beaucoup la Bavière et que nous l’avons bien quadrillée, c’est à Berchtesgaden que je vous propose de m’accompagner cette fois.

Cette commune est située dans les Alpes bavaroises, à l’extrême sud-est de l’Allemagne et de la Bavière, à 30 km au sud de Salzbourg (Autriche).

Cette ville  est essentiellement connue pour avoir été le lieu de villégiature d’Adolf Hitler dès les années 1930. Sa résidence, le Berghof, fut détruite par les Alliés en 1945. 

Mais ce n’est pas du tout de ça que je souhaite vous parler mais plutôt des beautés trouvées dans cette région. C’est sûr que si vous n’aimez pas les façades décorées et les clochers à bulbe vous risquez d’être déçu 😑.

Mais pour les autres, le sens de la promenade vous est montré ci-dessous.

J’espère que cette découverte vous aura plu autant qu’à moi parce que je n’en ai pas encore fini avec cette belle région 😃.

A bientôt, prenez soin de vous 😷.

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Brick a book ✍🏻

Période de confinement oblige, les règles restent modifiées sur le blog Brick a book. Actuellement c’est toujours le texte à la chaîne qui prévaut et je vous invite à passer voir les productions originales et humoristiques qui découlent des participations de personnes ayant des sensibilités et des approches différentes 😀

Pour garder une certaine continuité et une sorte de routine malgré la période, je conserve le lundi comme jour consacré à l’écriture sur mon blog.

Aujourd’hui c’est la photo ci-dessous qui sert de déclencheur d’écriture avec comme incipit la phrase suivante: “Tu vois, ma bonne amie, que je te tiens parole, et que les bonnets et les pompons ne prennent pas tout mon temps ; il m’en restera toujours pour toi” (Choderlos de Laclos).

Je vous propose mon texte, sous la photo, en essayant bien sûr d’éviter les liaisons dangereuses dans l’écriture 😉

©Andrei Bocan

J’étais bien. Tout simplement bien. Un vieux vinyle crachotait un peu sur la platine, le café tiédissait dans le récipient et moi j’étais au fond de mon canapé, soigneusement lovée dans un plaid moelleux. Si le paradis existait, il devait ressembler un peu à ça je crois… J’avais l’air d’un nem avec une tête hirsute qui en émergeait mais je m’en moquais, je profitais d’un instant de béatitude absolue.

Mes idées s’évadaient, loin dans le passé, du temps de ma jeunesse. Je ne tenais pas en place, toujours à voyager à gauche et à droite, à fureter, à faire mille choses à la fois, à n’en finir aucune. Je changeais de boulot tous les six mois. Quand je m’étais lassée des tâches routinières, des gens qui affichaient toujours la même tête et des cons qui empoisonnaient mon existence, je démissionnais et allais voir ailleurs si la vie y était plus palpitante.

Puis vint la maturité, la vie de couple, les enfants, la fin du couple, le départ progressif des enfants, la vie quoi.

Le temps a passé, insidieusement, les premières rides et les premiers cheveux blancs ont fait leur apparition, sans effet d’annonce, les lâches.

J’ai fini par trouver l’apaisement mais aussi la solitude, parfois difficile après l’agitation quotidienne d’une vie familiale bien remplie. 

Et puis, enfin, la retraite tant attendue avec de nouveau des rêves d’évasion mais aussi de nouvelles obligations familiales liées aux petits-enfants “qui aiment tant venir loger chez Mamy”… Des amours, c’est vrai mais aussi une grande fatigue quand ils sont là avec leurs sollicitations permanentes et l’envie d’être une Mamy modèle pour eux.

Et ce soir, après leur retour chez eux, cette solitude savourée comme il se doit, le calme après la tempête.

Soudain, les paroles de la chanson me rappellent la promesse d’écrire à ma plus vieille amie, celle avec qui on rigolait à vingt ans en s’imaginant comme deux mémés tricotant des bonnets à longueur de soirée.

Je pris alors ma plus belle plume et commençai ainsi mon message: 

“Tu vois, ma bonne amie, que je te tiens parole, et que les bonnets et les pompons ne prennent pas tout mon temps ; il m’en restera toujours pour toi”

Le café sera froid et le disque fini quand j’aurai fini mon message mais je salive déjà à l’idée de préparer un nouveau café, de retourner le disque sur la platine et de me réenrouler dans mon plaid pour replonger dans mes rêves.

Je vous dis à lundi prochain pour un nouvel écrit et, d’ici là, prenez soin de vous et de vos proches.

Continuer la lectureBrick a book ✍🏻