Consoles, gargouilles et autres bouilles (2) Post published:30 mars 2016 Post category:Humour / Photos Post comments:0 commentaire Quoi ma gueule? Qu’est-ce qu’elle a ma gueule? Partager :TweetJ’aime ça :J’aime chargement… Articles similaires Étiquettes : bouilles Read more articles Article précédentLa Bohème, la Bohème,… Article suivantMontréal (1) Vous devriez également aimer Laisse les gondoles à Venise… 30 mai 2016 ⚠ Quelques panneaux de signalisation étonnants 24 août 2020 L’agenda ironique de février 2023 19 février 2023 Cet article a 0 commentaires rotpier27 30 mars 2016 Répondre Bonjour Bernadette ! J’avais déjà apprécié la première série et celle-ci est toujours aussi truculente ( comme on dit chez les poux ! ) Bon après-midi et … pas de grimaces aux collègues hein ! Pierre chargement… Photonanie 30 mars 2016 Répondre Merci Pierre, il y en a quand même qu’on préfère ne pas voir vivantes parmi ces bouilles chargement… Laisser un commentaire Annuler la réponseCommentEnter your name or username to comment Enter your email address to comment Enter your website URL (optional) Enregistrer mon nom, mon e-mail et mon site dans le navigateur pour mon prochain commentaire. Prévenez-moi de tous les nouveaux commentaires par e-mail. Prévenez-moi de tous les nouveaux articles par e-mail. Δ Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.
rotpier27 30 mars 2016 Répondre Bonjour Bernadette ! J’avais déjà apprécié la première série et celle-ci est toujours aussi truculente ( comme on dit chez les poux ! ) Bon après-midi et … pas de grimaces aux collègues hein ! Pierre chargement…
Photonanie 30 mars 2016 Répondre Merci Pierre, il y en a quand même qu’on préfère ne pas voir vivantes parmi ces bouilles chargement…
Bonjour Bernadette !
J’avais déjà apprécié la première série et celle-ci est toujours aussi truculente ( comme on dit chez les poux ! )
Bon après-midi et … pas de grimaces aux collègues hein !
Pierre
Merci Pierre, il y en a quand même qu’on préfère ne pas voir vivantes parmi ces bouilles