Ce samedi le thème proposé par Ma pour que nous l’illustrions avec une photo personnelle est
“animal”.
Ayant toujours en tête un des mots proposés dans le cadre de l’Agenda ironique de mai (bec à foin), j’ai repensé à ma photo prise au parc Pairi Daiza d’un étrange animal appelé bec-en- sabot.
C’est cet animal que j’ai choisi de vous montrer aujourd’hui.
Je vous invite à passer chez Ma voir les autres interprétations du thème.
Si je ne réponds pas rapidement à vos commentaires ou si je ne passe pas immédiatement chez vous c’est que j’ai (encore 😂) une très bonne raison: j’aurai le plaisir de participer au premier festival du Lirécrire organisé dans ma commune 👍.
Ce qui ne m’empêche pas de vous souhaiter un très bon week-end 😊.
Bon, il semblerait que les soucis de mon hébergeur soient réglés et donc actuellement on peut dire que
En espérant que ça dure!
Ce qui me permet, comme chaque samedi, de jouer avec Ma en illustrant par une photo personnelle le mot ou groupe de mots de la semaine.
Il s’agit cette fois
des animaux de la maison.
Depuis que nous sommes installés dans notre maison proche de la nature nous avons toujours eu au moins un chat. Je dis bien au moins parce que nous en avons eu jusqu’à trois en même temps. Actuellement nous n’en avons plus qu’un, je devrais plutôt même dire une en fait adoptée dans une famille d’accueil. Heureusement qu’il existe des gens formidables qui volent littéralement au secours de petites peluches innocentes comme la nôtre, lâchement abandonnée à l’âge approximatif de six mois avec ses chatons. Je vous présente donc Shiva, la petite croisée birmane qui anime nos jours avec bonheur.
Son activité principale est plutôt…calme 😊. Peu importe le support, elle a l’art de bien se poser 😸. Un bel exemple que nous devrions suivre bien plus souvent…
Quand on a eu la chance d’avoir un chat à la maison, je pense qu’on ne peut plus s’en passer et ce n’est pas l’autre chat de la maison qui dira le contraire 😉.
Je vous invite à me suivre chez Ma pour faire connaissance avec les animaux de la maison des autres participant(e)s.
Nous avons profité de notre récent séjour au Pays Basque pour participer à une balade guidée par un accompagnateur de Mendi Gaiak.
Celui-ci, très compétent, a attiré notre attention sur diverses choses rencontrées en chemin (animaux, plantes, mines de fer,…). La balade a été fort agréable et instructive même si le démarrage, tout en montée sous un soleil de plomb, m’a paru un peu pénible 😅.
Le thème du jour était d’aller à la rencontre des vautours fauves sur le massif de Larla qui surplombe la vallée de la Nive au dessus de Saint-Martin-d’Arrossa (Arrosa). En chemin nous avons vu des mines de fer qui nous ont rappelé celles de Banca déjà découvertes précédemment.
Notre guide nous a appris que:
Le vautour fauve a une taille d’environ 1 mètre, une envergure d’environ 2,80 mètres, vit entre 30 et 40 ans et a un plumage de couleur roux-orangé.
Les vautours volent en rond et sont très grégaires: si un vautour plonge sur une proie, les autres le suivront.
Il a une vue jusqu’à 2 ou 3 kilomètres.
Les vautours ne migrent pas vraiment. Les jeunes vautours se déplacent parfois pendant 3 ou 4 ans en Espagne puis reviennent s’installer sur leur lieu de naissance.
Les rapaces se reconnaissent par leurs silhouettes, essentiellement la forme de la queue et du bout des ailes:
Je n’y peux rien mais dès qu’on parle de vautour c’est immédiatement celui de Lucky Luke qui me vient à l’esprit.
« Le grand art du jardin est ce par quoi une civilisation cherche, non point à copier la nature mais à se servir des éléments qu’elle fournit pour exprimer sa conception la plus haute du bonheur. »
Nous faisons nôtre cette belle définition que Jacques Benoist-Méchin donne du jardin dans son livre «L’homme et ses jardins ou les métamorphoses du paradis terrestre ». Dans quel jardin s’imaginer le plus heureux si ce n’est au paradis ? En remontant aux origines de notre civilisation, le nom le plus ancien qui désigne le paradis est précisément « Pairi Daiza », qui signifie en vieux persan « jardin clos » ou « verger protégé de murs».(source)
Si vous passez par la Belgique et que vous aimez les animaux bien traités dans un environnement grandiose, ne ratez surtout pas le parc zoologique Pairi Daiza. Ce parc est situé sur les lieux de l’ancienne abbaye de Cambron. L’abbaye est en ruine de nos jours mais c’est sur son site et suivant les anciennes recettes qu’est produite la bière de l’abbaye.
Ce n’est pas du tout un zoo comme les autres, même si les espèces d’animaux qu’on y trouve sont très nombreuses et, pour certaines, très rares. Les animaux sont installés on ne peut mieux dans desmondesdont les éléments de construction sont originaires des pays qu’ils représentent. Ce parc est d’une telle qualité qu’il est un des 17 endroits au monde à s’être vu prêter par la Chine un couple de pandas géants. Un bébé panda est même né le 2 juin 2016 à Pairi Daiza.
J’ai fait une sélection parmi les nombreuses photos d’animaux que j’ai prises dans ce parc et je les partage volontiers avec vous ci-dessous.
J’espère que cette balade, différente de mes voyages habituels, vous aura intéressé également tant la nature a de belles choses à nous montrer, parfois tout près de chez nous. (et je précise que ceci est une publicité gratuite )
S’il y a un endroit à ne pas rater dans la région du lac Saint-Jean c’est le zoo de Saint-Félicien.
Ce zoo sauvage existe depuis 1960 et, contrairement aux autres zoo, ici ce sont les visiteurs qui sont derrière les barreaux du petit train qui les emmène à travers les animaux en liberté avant de parcourir, à pied, l’espace où se trouvent des animaux moins voraces
Depuis 2001, ce zoo sauvage s’est transformé en une structure unique au monde : le Centre de Conservation de la Biodiversité Boréale (CCBB). En présentant les animaux de la Boréalie dans leur globalité (interaction de l’animal avec son environnement), le Zoo sauvage remplit sa mission.
Pour le visiter à son aise, environ 7 heures sont nécessaires, mais quelle belle journée! Surtout quand le soleil est de la partie également…
C’est un peu impressionnant de se trouver à ses côtés, sans protection…
Ce vaste complexe animalier de 485 hectares offre un contact privilégié avec plus de 1000 animaux, dont 75 espèces, et l’opportunité d’explorer la grande nature boréale. Le Zoo accueille maintenant des espèces exotiques telles que le macaque japonais, le tigre de l’Amour et le chameau de Bactriane provenant de la Mongolie. Le Parc des sentiers de la nature, sillonné par un train, promène les visiteurs sur un parcours de sept kilomètres où cohabitent les grands mammifères nord-américains en liberté dans le parc. (Source)
Dans ce zoo, on découvre presque toute la faune de la forêt canadienne, les caribous, les orignaux, les loups, les ours noirs, les bisons, les bœufs musqués ou encore le harfang des neiges, l’oiseau national du Québec.
Vous l’aurez compris, je n’aime pas le néant mais le nez en l’air ça ça me plaît bien. C’est souvent comme ça que je me balade, appareil photo à l’affûtce qui ne m’empêche nullement de voir ce qui se trouve au sol même en n’étant pas atteinte de strabisme
Cette fois je vais partager une partie de ma collection consacrée aux animaux en tous genres, domestiques ou sauvages, réels ou imaginaires…