Il y a peu nous nous sommes rendus à Saint-Amand-les-Eaux pour y voir un concert au casino.
Comme nous ne connaissions pas vraiment la région nous nous sommes un peu baladés dans le coin.
Saint-Amand nous a un peu déçus, c’était presque une ville morte en ce vendredi et mis à part la tour abbatiale nous n’avons pas été séduits.
Je partage tout de même quelques photos ci-dessous.
Sur ce premier montage on voit la tour abbatiale, l’Échevinage de l’abbaye (qui constitue l’ancienne entrée principale de l’abbaye, construite en 1632, qui contenait les salles de réunion du magistrat, les salles de justice et les prisons) et un détail de la tour abbatiale.
Un peu plus loin nous avons vu le bâtiment qui fait fonction de salle des fêtes et de théâtre.
Mais aussi la statue de Saint-Amand, évêque de Maastricht, mais surtout évêque missionnaire et fondateur d’abbayes qui, vers l’an 633-639, reçut du roi Dagobert ” un lieu situé entre les deux rivières de la Scarpe et de l’Elnon afin d’y étendre le culte libre ” ( charte de fondation de l’abbaye ) Amand y éleva deux oratoires puis un monastère qui prit le nom d’Elnon où il mourut vers l’an 660-675. Dans un pays de marécages et d’épaisses forêts, les moines poursuivirent leur œuvre de défricheurs et de bâtisseurs, cependant que quelques vilains venaient construire leurs cabanes au pied même de l’abbaye, lieu de protection efficace contre les fréquentes incursions de pillards. (Source)
La dernière photo prise dans cette ville est celle de cette jolie sculpture représentant un grand livre ouvert devant une école d’arts. Elle porte quelques paroles de la chanson de Jean Ferrat “J’imagine”.
“J’imagine Un peuple dynamite et pourtant sans défense Tout en lui ne serait qu’amour et transparence J’imagine Un hiver tout de neige et fleurissant quand même Pour des femmes-chansons pour des hommes-poèmes”
Un peu déçus par cette ville nous avons été au Vieux Condé tout proche. Même déception sauf du coté de l’étang d’Amaury où nous avons découvert un lieu naturel chargé d’histoire. ainsi que nous l’apprend le panneau explicatif.
Sur la rive droite de l’Escaut, à moins de 4 km de la frontière belge, Amaury étend ses 170 hectares de nature dont 60 de plan d’eau.
L’origine du site est à chercher sous la surface du sol où le charbon fut découvert au 18ème siècle. L’arrêt progressif de l’exploitation a provoqué l’affaissement des galeries souterraines et des affaissements de terrain en surface, très souvent submergés par les nappes phréatiques superficielles. C’est ainsi que l’étang d’Amaury a vu le jour jusqu’à atteindre les 60 hectares qu’on lui connait aujourd’hui.
Le site d’Amaury est un des éléments du bassin minier Nord/Pas de calais inscrits au patrimoine mondial de l’UNESCO au titre de paysage culturel évolutif.
Même la citerne est décorée dans l’esprit de ce lieu qui invite à la promenade au bord de l’eau.
C’est ici que se termine, en beauté, la balade dans cette région que je viens de découvrir.
C’est samedi alors je me creuse les méninges pour trouver une photo afin d’illustrer le thème proposé par Ma cette semaine.
Il s’agit cette fois de trouver au moins une photo montrant ce qu’il y a
dans les environs.
Comme j’ai la chance d’habiter à côté d’un grand bois, en cette saison quand on se balade nos narines s’emplissent de l’odeur d’ail des ours. Il faut dire que les côtés des chemins en sont bien remplis ainsi que tous les talus. Et, par facilité, j’en ai planté aussi dans mes bacs potagers parce que j’aime beaucoup cette plante qui permet de donner du goût facilement en cuisine.
On raconte que son nom vient d’une légende selon laquelle, après l’hibernation, les ours se mettent en quête de ces feuilles pour se purger. Par chance il n’y a pas d’ours à proximité de ma maison 😊.
Y a-t-il également de l’ail des ours près de chez vous et, si oui, l’utilisez-vous en cuisine?
Je vous souhaite de passer un excellent week-end après avoir été voir comment sont “les environs” des autres participant(e)s chez Ma.
Aujourd’hui c’est le jour de la Terre. On peut donc s’attendre à entendre beaucoup parler d’environnement et de nature. C’est agréable, indispensable à la vie et ça nous change des statistiques de contaminations au Covid 19😊.
Comme j’aime bien la petite présentation offerte par Google à l’occasion de cette journée, j’ai eu envie de la partager.
C’est l’occasion de reparler d’un article qui date d’il y a déjà 5 ans mais que certaines vues au JT d’hier m’ont rappelé fort agréablement. Et puis, recycler c’est aussi protéger l’environnement non? 😄
Je vous invite à me suivre pour une balade très fleurie et parfumée, enfin je vous laisse l’imaginer😉 (je n’ai pas encore trouvé le truc pour faire passer des odeurs sur mon blog et si je pense à certains articles de Rotpier, c’est peut-être une bonne chose tout compte fait, chaque médaille ayant son revers😆) Il suffit de cliquer ci-dessous et de descendre dans l’article pour être entouré par des fleurs sauvages…
Que faire de mieux par une belle journée d’automne que d’aller se balader dans la nature? La balade choisie aujourd’hui nous a emmenés du côté de Fallais, à proximité du village du saule.
Cette réserve naturelle, formée d’une zone humide, occupe la plaine alluviale de la Mehaigne, entre les villages de Latinne et Fallais. C’est un milieu devenu rare dans cette région.
Notre balade démarre devant un bâtiment qui regroupe la franche taverne, la cour de justice (qui date de 1685 et où se réglaient les problèmes courants de la vie quotidienne) et le moulin banal de Hosdent.
A l’entrée, nous admirons cette décoration de saule tressé.
Ci-dessous, nous voyons une pierre armoriée qui surmonte la porte d’entrée. Elle porte les noms des seigneurs Salmier et Havrech qui firent construire ce bâtiment.
J’espère vous avoir suffisamment mis l’eau à la bouche pour que vous me suiviez dans cette balade champêtre. Pour que la magie opère, il suffit juste de
Continuant d’explorer mes photos d’archives, je vous emmène aujourd’hui dans un domaine provincial dont le nom Het Vinne fait référence à un fen (un étang naturel, une tourbière). Ce lieu de détente, balade et observation de la nature est constitué d’une zone de 100 ha asséchée par l’industrie et l’agriculture.
Situation
Jusqu’en 1841, la réserve naturelle provinciale Het Vinne était le seul lac naturel de Flandre.Depuis le Moyen Âge, la tourbe était extraite au bord de l’eau comme combustible et, jusqu’au 19e siècle, la fosse de 4 mètres de profondeur était constamment sous l’eau.Le «lac» se figeait chaque hiver et était ensuite transformé en une véritable foire avec des stands de glace, de boissons et de nourriture.En été, il était possible de pêcher ou de nager, et des bateaux faisaient traverser les visiteurs.(source)
Pour mieux vous rendre compte de la configuration des lieux, je vous propose de regarder le plan ci-dessous.
La balade à laquelle je vous invite a été faite en novembre. C’est un bel endroit où des aménagements permettent d’observer les oiseaux de manière fort agréable.
Selon les endroits, on marche sur la terre ou … sur l’eau 😉 en toute sécurité.
Faites défiler les photos ci-dessous grâce aux flèches blanches.
Précédent
Suivant
La bestiole ci-dessous se trouve dans la plaine de jeu à l’entrée du domaine. Heureusement que j’ai osé l’approcher sans crainte, malgré sa taille exceptionnelle de plus d’un mètre d’envergure, pour découvrir ce beau parc. 😏.
J’espère que vous vous serez bien aérés durant cette balade au bord de l’eau, très très près de la nature.