Nous poursuivons notre découverte de la côte Cantabrique, commencée ici, en allant vers le village biscaïen de Berméo.
En chemin, nous faisons un arrêt et une petite balade en pleine nature à Gautegiz Arteaga. Cette commune biscaïenne est ancrée dans la Réserve de la Biosphère d’Urdaibai et il n’est pas étonnant d’y trouver l’Urdaibai Bird Center, centre consacré à la recherche et à la découverte scientifique des oiseaux, à leurs migrations et à leurs habitats. Le long de notre balade nous faisons des pauses dans les observatoires à oiseaux. Tout est calme autour de nous, c’est un moment un peu hors du temps et de la civilisation.
Ci-dessous, l’aéroport international pour oiseaux, rien que ça. Un lieu accueillant avec un grand choix de documentation et de livres sur…les oiseaux.
Nous poursuivons notre chemin jusqu’à Berméo dont nous ne visiterons qu’une partie de l’importante zone portuaire.
En circulant autour du port nous voyons deux scuptures assez imposantes.
La première s’appelle “Olatua” (“La vague”) et a été réalisée par le profilique artiste basque Nestor Basterretxearen
Un peu plus loin, c’est la seconde sculpture qui nous impressionne. Elle est d’Enrique Zubia et s’appelle “La dernière vague, le dernier souffle” et elle représente l’image d’un naufrage, avec un jeune homme et un chien.(Source)
En nous tournant vers les maisons de pêcheurs, nous sommes étonnés par les nombreux escaliers sinueux qui partent à l’assaut d’autres quartiers. Nous aimerions les découvrir de plus près mais nous avons d’autres projets pour la journée…
Les maisons sont joliment colorées et l’endroit est vraiment plaisant.
En quittant la ville de Berméo, nous voyons, à environ 10 km, le cap Matxitxako. Cet endroit abrite deux phares du même nom, un phare ancien désormais inutilisé et le nouveau qui est en fonctionnement. Le lieu offre de belles vues sur toute la côte biscayenne et on peut même parfois apercevoir des cétacés. (Source)
Nous quittons Berméo pour atteindre notre prochaine destination qui a été le déclencheur de la matérialisation de notre envie de découvrir enfin cette côte…
Un peu de patience 😉
Bonjour Bernadette !
Je comprends que tu aies un gros vague à l’âme pour ce magnifique pays !
Superbes les statues !
Bon lundi et bonne semaine !
Pierre
Merci Pierre. Tu as compris que j’aime bien ce coin-là et ce n’est pas pour aller me dorer au soleil parce que le climat y est assez capricieux, comme en Bretagne.
Bonne semaine itou.
Bonjour Bernadette,
merci pour ton article et tes photos parfois surprenantes!
Bon après-midi,
Mo
Avec plaisir Mo. Pourquoi surprenantes? Tu m’expliques?
Bonne fin de journée.
Oso polita. Eskerrik asko !
J’ai commencé par le traditionnel My tailor is rich, et donc Nire jostuna aberatsa da !
Ce qu’il ne faut pas faire quand même !
Ongi etorri Eric. Je suis ravie pour ton tailleur mais ne te sens pas obligé, je ne parle pas le basque et la partie de ce pays que je connais le mieux parlerait plutôt gascon. Nous logeons depuis longtemps en pays charnegou.
Par contre j’ai constaté que la partie espagnole est beaucoup plus tranchée sur la question de l’autonomie. On y parle surtout le basque et très peu l’espagnol alors qu’en France on parle surtout le français. Pour entendre le basque en France il faut connaître les endroits
De belles maisons colorées avec des oriels ( oui , j’ ai retenu le mot ! ) . Bonne fin d’ aprzs- midi sous les giboulées.
C’est sûr qu’il faisait meilleur (heureusement) au bord de l’océan quand j’ai pris ces photos que chez nous aujourd’hui
Chouette les oriels
Bonne fin de journée.