Consoles, gargouilles et drôles de bouilles (12)
Quoi ma gueule? Qu’est-ce qu’elle a ma gueule?
La dernière “bouille” m’a très fortement impressionnée, j’ai cru que c’était un vrai personnage jusqu’à ce que je sois quasi tout près. Je suis peut-être un peu trop impressionnable…mais il était un peu plus grand que moi et très réaliste.
Consoles, gargouilles et drôles de bouilles (11)
Toujours chez moi cette même fascination pour toutes les représentations de visages ou de faces que l’on peut apercevoir en se baladant dans les rues et en levant la tête…
Et toujours également cette question sans réponse: les traits présentés appartenaient-ils à un être vivant ou sont-ils sortis de l’imagination de l’artiste?
Ci-dessous, un ornement avec un chien, là où on trouve plus souvent un lion…
Des ornements de coins de maison assez originaux
Si ça vous plaît de découvrir ces faces, dites-le moi, j’en ai encore beaucoup en réserve et, à chaque fois que je pars en balade, j’en trouve de nouvelles.
C’est assez incroyable ce qu’il y en a
Consoles, gargouilles et drôles de bouilles (10)
Vous en avez assez tous les matins en vous regardant dans le miroir de voir toujours le même visage?
Que diriez-vous si un jour vous voyiez dans votre miroir de salle de bain une des faces ci-dessous?
Et n’oubliez jamais qu’on n’est pas responsable de la tête que l’on a mais bien de la tête que l’on fait!
Aux grands mots, les grands remèdes…
Ah vous dites-vous, ça y est, on la tient cette fois, Photonanie a fait une monstrueuse faute d’orthographe dans le titre de son article! Horreur, malheur!
Que nenni! En fait j’ai découvert (grâce au copinaute Géhem) un site très complet sur la xyloglotte (la langue de bois). Comme j’adore la langue française classique mais aussi les jeux de mots, que j’ai la chance de ne pas avoir perdu tout mon latin et que je suis déjà allée à plusieurs reprises me faire voir chez les Grecs, je me suis dit que ce serait dommage de garder ça rien que pour moi alors que d’autres pourraient être intéressés/amusés/curieux de voir…(biffer les mentions inutiles).
Bon, trêve de billevesées, je vous indique le chemin, c’est ici. Que les puristes de la langue française veuillent bien passer leur chemin car le site où je vous envoie traduit “de jolies expressions dans un gréco-latin de cuisine des plus approximatifs“.
Quelques exemples au hasard:
- paludoludiverbisme : tendance à pratiquer le jeu de mots vaseux
- luthomiction : action de pisser dans un violon
- duracellopilosité : exactitude (pile-poil…)
- capillotracté : tiré par les cheveux.
- etc.
Je trouve l’exercice amusant, une belle gymnastique de l’esprit, de quoi agiter ses neurones…et vous, vous en pensez quoi? J’espère juste que vous ne me trouverez pas trop “orchidoclaste”
Les murmures des murs: version X
Vous savez maintenant combien j’aime les murs peints qu’ils soient ornés de trompe l’œil, de graffitis ou de scènes amusantes.
Et là, je me rends compte que j’ai omis de vous parler de fresques qui ont pourtant fait couler beaucoup d’encre et de salive ces derniers temps en Belgique (et ailleurs) en raison de leur caractère érotique. Vous en avez peut-être entendu parler…ou pas mais comme je ne voudrais pas passer sous silence une partie de la cul-ture belge, c’est le moment de les évoquer même si je ne suis pas allée moi-même à Bruxelles pour les photographier.
Le 21 septembre dernier, le dessin d’un pénis géant est apparu sur un mur de la commune de Saint-Gilles. Aussitôt certains ont poussé les hauts cris alors que des millions de touristes vont chaque année à Bruxelles pour voir le Manneken-piss. Serait-ce alors juste une question de taille?
Personnellement je ne vois pas où se situe le caractère érotique d’un pénis au repos…
[youtube https://www.youtube.com/watch?v=mdVWaI5o0kQ&w=560&h=315]
Ce qui est curieux, c’est que d’autres fresques, dont le caractère érotique est évident, sont présentes sur les murs bruxellois sans créer autant d’émoi.
[youtube https://www.youtube.com/watch?v=-BjrzJpBFtY&w=560&h=315]
Comme rien n’est jamais simple en Belgique, la commune de Saint-Gilles a décidé d’effacer le “zizi de Saint-Gilles” tandis que la responsable de la Culture à la Ville de Bruxelles a promis que la fresque de la pénétration ne serait pas effacée. Cherchez l’erreur…
Une dernière “oeuvre” en date va peut-être clore la liste de l’ “artiste” puisqu’il s’agit d’un “anus horribilis” (non, il n’y a pas de faute d’orthographe )
Si vous voulez aller vous rincer l’œil, bande de petits , les infos sont ici
Histoire cycladique
Est-ce l’arrivée de l’automne et l’envie de fuir la morosité, je ne sais pas mais aujourd’hui j’ai envie de décon…euh de m’amuser un peu.
Je viens de rentrer d’une semaine idyllique dans un endroit bleu et blanc, l’autre pays du moulin. Vous ne voyez pas? Bon, je vous aide un peu à la manière de Rotpier mais bien plus modestement que lui
Bon, peu importe si vous ne voyez pas où c’est, j’ai rapporté des dizaines de photos que je partagerai prochainement mais ce n’est pas le sujet du jour.
J’ai photographié sur le vif des enseignes, des messages ou des écritures et, plutôt que de les laisser dormir dans un dossier inutile, j’ai eu l’idée d’essayer d’en faire une histoire en images.
Bon, je me lance, l’exercice vaut ce qu’il vaut mais si vous avez d’autres suggestions au départ de mes photos, ça m’intéresse.
Je me baladais, le nez en l’air comme d’habitude quand j’ai rencontré ce bon viveur…
Je me suis demandé quel genre d’homme c’était quand j’ai vu ce message
Bizarre quand même non ce bon viveur qui “nick the grill” . A ce stade, j’avais juste une envie, lui demander
C’est vrai quoi, demander “are you happy” “au p’tit con” semblait la seule chose à faire…
Il me répond qu’il ne sait pas trop. Pour le réconforter je lui propose d’aller manger un bout ensemble. Il accepte mais affirme en bavant qu’il ne veut surtout pas aller au fast-food.
Je sentais que ça partait en
J’avais beau lui dire
Il ne voulait rien savoir!
Je lui ai alors proposé de louer un chat, il paraît que ça déstresse bien et c’est pas cher, je pensais que ça ne pouvait que lui faire du bien…
Il m’a dit, et pourquoi pas un bunny?
Il commençait à m’énerver ce bon viveur, c’est là que j’en ai eu assez, que je lui ai dit: j’étouffe, je vais prendre l’
Voyant que je le plantais là, il m’a saluée avec un étonnant
Finalement, ce fut une brève rencontre plutôt marrante, ça sert aussi à ça les vacances