Voyage, voyage: La Haye (NL)

Après Schiedam et Delft, nous avons poussé jusqu’à La Haye. Malheureusement nous n’avons pas eu le temps de bien visiter la ville ni d’aller à la Mauritshuis voir le vrai tableau de Vermeer « La jeune fille à la perle ».

Malgré tout nous nous sommes baladés dans la ville et ce qui m’a le plus frappée c’est la présence de nombreux immeubles modernes que j’ai trouvés très beaux.

Le logo de la ville

L’arrivée d’Anton Corbijn en tant que graphiste, le 1er novembre 2006, ne s’est pas déroulée comme prévu. Assis aux côtés du maire de La Haye, le célèbre photographe a présenté le logo de la ville qu’il avait conçu, lors d’une conférence de presse difficile. Une présentation peu glorieuse ; le design avait déjà fuité avant le dévoilement officiel, et le coût de l’accompagnement (190 000 euros) avait suscité une vague de protestations.

Le design de Corbijn a également reçu un accueil critique. Que représentaient ces quelques traits de feutre aux allures de gribouillis ? Le designer est resté assez vague : « Un cerf-volant, une flèche, un spermatozoïde… » Et : « Tout cela représente l’espièglerie, la sécurité, le progrès et la vie.» Ce logo, destiné au tourisme, n’était certainement pas le premier graphisme de Corbijn. Mais qui savait qu’il ne se contentait pas de photographier et de filmer ? Son exposition rétrospective au Musée municipal de La Haye est en partie consacrée à cette facette méconnue de son art. Sa collaboration avec Depeche Mode y est notamment présentée.
Corbijn est le directeur visuel de ce groupe britannique depuis des années. Il réalise non seulement des clips vidéo, mais conçoit également les pochettes de leurs albums et les décors de leurs tournées. (Source)

La Haye ( en néerlandais : Den Haag, diminutif de ‘s-Gravenhage — littéralement « Haie du Comte ») est une commune et ville néerlandaise, siège du gouvernement des Pays-Bas et chef-lieu de la province de Hollande-Méridionale. Elle n’est cependant pas la capitale, qui est Amsterdam.

Outre les États généraux, la Cour suprême et le Conseil d’État, La Haye accueille plusieurs institutions, pour la plupart internationales, ce qui lui vaut d’être surnommée la « capitale du monde légal » par le sixième secrétaire général des Nations unies, (Boutros Boutros-Ghali). La Cour internationale de justice (CIJ), la Cour pénale internationale (CPI), la Cour permanente d’arbitrage (CPA), EuropolEurojust, la Commission internationale pour les personnes disparues, l’Organisation pour l’interdiction des armes chimiques (OIAC) et le Mécanisme pour les Tribunaux pénaux internationaux sont basés dans la ville, tout comme les résidences officielles du roi et du Premier ministre des Pays-Bas , ainsi que les ambassades.

Bien que La Haye soit la troisième ville des Pays-Bas en nombre d’habitants, elle conserve de relativement vastes espaces naturels grâce à ses nombreux bois et dunes sur la côte de la mer du Nord. (Source)

Si vous souhaitez voir mes photos d’une petite partie de la Haye, il vous suffit de remonter un peu et de cliquer sur le logo de la ville 😊.

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Voyage, voyage: Delft (NL)

C’est après avoir regardé le film « La jeune fille à la perle » que nous avons décidé d’aller visiter cette ville qui semblait agréable à parcourir.

Ville élégante alliant l’histoire à l’innovation moderne, Delft invite les visiteurs à découvrir son riche passé et son présent dynamique. Connue pour ses canaux pittoresques et ses façades historiques, la ville est un musée vivant de l’histoire et de la culture néerlandaises. Delft n’est pas seulement le lieu de naissance des célèbres faïences bleues de Delft, mais aussi la ville où l’influence du célèbre peintre Johannes Vermeer est encore perceptible.(Source)

C’est l’occasion de vous rappeler, ou de vous apprendre si vous l’ignoriez, l’origine de la devise des Pays-Bas.

« Je maintiendrai » est la devise nationale du Royaume uni des Pays-Bas depuis 1815, puis des Pays-Bas après l’indépendance de la Belgique du 4 octobre 1830, en français dans le texte. « Je maintiendrai Châlon » était la devise de Philibert de Chalon-Arlay, qui cède son titre de Prince d’Orange à son neveu René de Nassau à condition, entre autres, qu’il reprenne celle-ci. Elle devient ensuite « Je maintiendrai Nassau », puis simplement « Je maintiendrai », alors que Guillaume Ier d’Orange-Nassau, stadhouder (gouverneur) de Hollande et de Zélande, succède à son cousin René de Nassau.

Dans une lettre de janvier 1565, Guillaume Ier d’Orange-Nassau donne les explications suivantes à sa devise « Je maintiendrai » :

« Je maintiendrai la vertu et noblesse.  
Je maintiendrai de mon nom la haultesse.           
Je maintiendrai l’honneur, la foi, la loi    
De Dieu, du Roi, de mes amis et moi. »

En 1565, Guillaume d’Orange était encore catholique et fonctionnaire du roi Philippe II d’Espagne, mais le premier hémistiche du dernier vers de ce quatrain allait bientôt prendre un sens ironique lorsque les exactions menées aux Pays-Bas espagnols par le duc d’Albe amènent Guillaume à prendre la tête du parti protestant contre les Espagnols dans la guerre de Quatre-Vingts Ans et conduit les Provinces-Unies à l’indépendance. Il est, de ce fait, surnommé Le père de la Patrie, par le peuple néerlandais. (Source)

Vitrail dans la Nouvelle église
Vitrail dans la Nouvelle église

Et comme bien sûr mon appareil photo n’a pas chômé lors de cette découverte, vous pourrez voir ce que je partage en cliquant sur la taque d’égout ci-dessous.

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Une journée à Ostende (B) sous le soleil

Je n’ai pas oublié Rhodes dont les photos viendront bien un jour futur mais, entretemps, je continue à circuler et à accumuler des photos que j’ai envie de partager directement. 

Ainsi cette semaine, une escapade d’un jour à la mer du Nord à Ostende plus précisément sous un soleil éclatant.

La côte belge, d’une longueur de 65 km de sable fin,  se situe en Flandre-Occidentale (Source).

Carte

Lors de cette journée nous avons vu des fresques peintes, des oeuvres urbaines, des bateaux,… et je vous livre le tout plus ou moins en vrac mais un minimum organisé quand même 😉.

Et c’est bien sûr en cliquant ci-dessous.

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Street Art: trois artistes

Vous savez que j’aime les fresques murales et tout ce qui décore les murs extérieurs dans les endroits où je vais.

Je suis bien sûr curieuse également quant aux artistes qui ont réalisé ces ajouts qui embellissent les murs et attirent immanquablement mon regard et le viseur de mon appareil photo.

  1. Stork

Le premier artiste dont je vais vous parler est Stork (cigogne en alsacien). Il place ses créations en hauteur pour qu’elles ne puissent pas facilement être dégradées. Le Strasbourgeois d’adoption a cherché un truc bien à lui qui le représenterait et a, tout naturellement, opté pour les cigognes.
Celles que je partage ne viennent pas de Strasbourg mais  des endroits où je suis allée récemment en Alsace.

2. IPDO

Le deuxième projet est celui d’IPDO.

« I Pixel di Oplontis (ou IPDO) est un collectif mené par Francesco et Bruno. Les deux amis découvrent en 2018 les mosaïques d’Invaders, et l’application qui permet de les chasser à travers le monde. 

Si Bruno s’occupe de la réalisation technique des œuvres, c’est Francesco le créatif du duo. C’est à son initiative que le collectif est baptisé I Puffi di Oplontis (les Schtroumpfs d’Oplontis), en hommage au nom romain de sa ville de naissance Torre Annunziata en Italie et à la création de Peyo, dont il est fan depuis toujours. En tout ce sont plus de 350 mosaïques qui ont été créées par le duo« . (Source)

Les mosaïques des Pixels d’Oplontis (IPDO) ne sont pas de simples œuvres d’art, mais de véritables interventions urbaines qui dialoguent avec l’architecture des villes où elles sont installées.

3. Thomas Iser

En mai 2016, Thomas Iser lance son projet « Universal Humanity » dont l’objectif est de dresser un portrait de l’humanité et de célébrer la diversité du monde. Il demande aux participants de tenir devant leur œil droit une carte représentant son œil, lorsqu’il était peint en noir avec des brisures dorées à l’effigie du Kintsugi, tout en leur demandant quel est leur rêve. De cette sorte, il espère partager sa vision d’un monde sans frontières où l’humanité est unie et d’inspirer les gens à utiliser leurs souffrances pour trouver la force de réaliser leurs rêves

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Balade au Luxembourg: fresques, etc.

Le Grand-Duché de Luxembourg est un petit pays voisin et ami de la Belgique mais dont on ne parle pas très souvent. Je vous emmène aujourd’hui dans ce qu’on appelle le Gutland qui signifie « Bon Pays » en luxembourgeois, région couvrant le centre et le sud du pays. Le Gutland est une région agricole et fertile (d’où son nom). (Source)
C’est aussi la région la moins peuplée de tout le Luxembourg. Les villages sont petits et agricoles, avec de grandes granges et des étables, mais peu d’infrastructures pour la population. Les champs sont labourés et, sur les routes secondaires, on trouve plus souvent des chevaux ou des tracteurs que des voitures ou des bus. C’est un territoire en quelque sorte perdu dans le temps. (Source)

A un jet de pierre de la frontière belge on trouve le village de Kahler (Koler en luxembourgeois): une rue principale, quelques ruelles adjacentes, environ 300 habitants… et des fresques murales. La promenade vaut le coup d’œil grâce à l’artiste muraliste Alain Welter.

« À Kahler, le cinéma est particulièrement apprécié, d’où mon idée de créer l’installation en bois des cinq lettres de ma localité pour faire un clin d’œil à Hollywood. En 2022, en collaboration avec le « Club des Jeunes Koler », j’ai ajouté à l’enseigne trois corneilles que j’ai dessinées avec la bombe de peinture pour célébrer leur 50ème anniversaire ». (Source)

A l’entrée du village, un orchestre, composé de sept singes musiciens vêtus d’habits, accueille désormais les habitants ainsi que les visiteurs avec saxophone, trompette et tambour. « D’origine italienne, les habitants de la maison sont d’ailleurs des musiciens talentueux. L’œuvre s’inspire de la vidéo de musique « Alles neu » de Peter Fox, dans laquelle les musiciens d’orchestre portent un masque de singe. (Source)

Sur le mur d’entrée du cinéma « Kinoler » sont immortalisés des personnages cultes du cinéma.

A proximité, les piles du pont de l’autoroute sont aussi très bien décorées.

« Pour le portrait de Felix Jemming, ancien bourgmestre de Garnich, Alain Welter a rendu visite à sa famille pour avoir accès à ses photos. » (Source)

Sur la façade latérale de la maison de ses parents, Alain a peint une grenouille en style hipster. « Je voulais mettre en valeur l’embouchure de la piste cyclable qui se trouve juste à côté de la maison ».(Source)

D’autres fresques du village…

Au Luxembourg, les maisons sont rarement en briques comme chez nous mais elles sont par contre très colorées.

Continuant la balade, nous nous arrêtons à Mersch où se trouve un château qui sert également de mairie.

Vu sur le chemin du retour vers la Belgique…

Une belle balade et une belle fin de journée ☺️.

A bientôt pour d’autres balades ☺️.

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Découverte: l’église de Sillegny (F)

Sillegny est une commune française située en Lorraine, dans le département de la Moselle. Nous y avons découvert une église très différente de celle de Bennwihr mais intéressante aussi par son histoire.

L’Église Saint-Martin, surnommée « la Sixtine de la Seille »dont la nef fut édifiée au XVe siècle. Cette église classée, de style gothique, possédait une tour massive et fortifiée qui servait à protéger les habitants dans les temps troublés.

Ce sont des fresques religieuses qui font la richesse de l’édifice, couvrant murs et voûtes intérieurs. Ces fresques anonymes, représentant des scènes religieuses, des saints et des saintes, sont datées du deuxième quart du XVIe siècle (c.1540). Sur le mur Nord du chœur, un Arbre de Jessé est particulièrement impressionnant. (Source)

Cette église fortifiée de style gothique flamboyant, vous invite à découvrir un véritable trésor. Des peintures murales exécutées à la détrempe datant de 1540, qui furent, à une époque inconnue, recouvertes d’un badigeon, les protégeant ainsi des effets du temps. Ce n’est qu’en 1845 lors d’un grattage de l’abside, qu’elles furent découvertes et remises à jour par l’Abbé SCHNABEL, curé de la paroisse de 1840 à 1891. (Source)

D’après une étude, menée en 1992, ces fresques, qui recouvrent la totalité de l’église, ont été réalisées avec des extraits de plantes, métaux, or et lapis-lazuli mélangés avec des œufs et de la colle. Pendant la Première Guerre mondiale, l’édifice n’a souffert que de l’humidité. Tous les chéneaux en cuivre ont été enlevés par les Allemands pour en faire des douilles d’obus. Le second conflit sera plus désastreux : une bombe tombe sur le clocher alors que les Allemands installent la Kommandantur dans la maison des religieuses. En 1944, pour chasser l’occupant, les Américains pilonnent le village qui est détruit à 95 %. L’église échappe de justesse aux bombardements. Hormis le presbytère et quelques maisons, tout a été pratiquement rasé pour n’être reconstruit que dans les années 1950. Une nouvelle restauration, menée de janvier 2002 à décembre 2004, a permis de redonner tout leur faste à ces peintures qui ont été totalement nettoyées.(Source)

Les religieuses faisaient les patrons des dessins en carton (pochoirs).
Les petits personnages sont les donateurs du village qui ont aussi hébergé les peintres pendant leur travail.

🔎 Vous pouvez voir de nombreuses autres photos ici et 😉.

Nous voici arrivés presque au terme du partage de mes photos de ces quatre jours passés en Alsace mi-décembre. Quatre jours riches en découvertes et merveilles vues qui nous laisseront de très beaux souvenirs 👍.

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Et on lève la tête!

J’ai quelques photos de girouettes ou garnitures de toit à partager mais aussi un « zieuteur » repéré dans ma commune en me déplaçant dans une rue le nez en l’air comme d’habitude 🙄.

Voilà, c’est tout pour aujourd’hui, je passe à d’autres occupations…

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Découverte: l’abbaye Maria Laach (D)

La dernière curiosité de l’Eifel volcanique dont je souhaite vous parler est un lieu historique, il s’agit de l’abbaye de Bénédictins Maria Laach (Sainte-Marie du Lac).

L’activité volcanique au cours du temps

Au plus profond de la terre, il y a un grondement. On entend un grondement sourd. C’est de plus en plus fort. La terre tremble. De plus en plus. Il se gonfle jusqu’à ce que soudain une énorme explosion creuse un profond cratère dans le paysage au nord de l’actuel Mendig. Une énorme colonne de cendres obscurcit le ciel. Pendant des jours, il pleut de la pierre ponce et des cendres sur toute l’Europe, puis de la lave rougeoyante qui se déverse sur les vallées et les villages environnants. Là où poussaient autrefois des pins, des bouleaux et des peupliers, il ne reste plus qu’un paysage lunaire stérile.

C’est ainsi que cela devait être il y a 12 900 ans, lorsque les dernières éruptions volcaniques de l’Eifel ont laissé leur empreinte et détruit toute vie dans la région. À l’époque, le volcan Laacher See a craché à plusieurs reprises des gaz, de la pierre ponce et des débris rocheux dans l’air après que le magma ascendant a touché des couches aquifères à une profondeur de trois kilomètres. Si cela avait été le cas, le lac Laacher See n’aurait probablement été qu’un maar (lac volcanique), comme il en existe encore aujourd’hui environ 70 dans l’Eifel. Mais la terre ne s’est pas reposée. Les colonnes de cendres se sont effondrées et des braises chaudes atteignant 500 degrés Celsius ont rempli les vallées vers Brohltal et Pellenz.

Plus tard, au cours de milliers d’années, l’énorme cratère s’est finalement rempli d’eau et le lac Laach s’est formé. Avec une superficie d’environ 3,3 kilomètres carrés et une profondeur d’eau de plus de 50 mètres, c’est le plus grand lac de Rhénanie-Palatinat et une destination populaire pour les baigneurs, les campeurs et les personnes à la recherche de loisirs, ainsi que pour les visiteurs de l’abbaye bénédictine voisine de Maria Laach, dont les propriétés comprennent le Laacher See. En outre, des oiseaux aquatiques rares peuvent être observés chaque année dans les zones de rivage couvertes de roseaux, qui sont parsemées de nénuphars.

L’éruption du volcan Laacher See, il y a 12 900 ans, a été la dernière de l’histoire de l’Eifel volcanique. Depuis lors, il n’y a plus eu de grondement sous la surface de la terre. Sur la rive orientale du Laacher See, cependant, les rameurs et les promeneurs observent à plusieurs reprises un bouillonnement trompeur. Des dioxydes de carbone, appelés mofettes, remontent régulièrement à la surface ici. Car les volcans n’ont pas disparu. Ils ne font que « dormir ». (Source)

Le lac et l'abbaye Maria Laach © GmbH, Dominique Ketz

L’abbaye bénédictine de Maria Laach est située dans une caldeira, une chambre magmatique qui s’est effondrée. En dessous de la réserve naturelle, à près de 45 kilomètres de profondeur, commence ce que l’on appelle l’Eifel-Plume.  (Source)

Vue de l'abbaye quand on arrive sur le site

L’histoire de l’abbaye en quelques dates

  • 1093: le comte palatin Henri II de Laach fonde l’abbaye
  • 1156: la consécration de l’église
  • 1220: la construction du parvis (« Paradis »)
  • 1802: sécularisation, l’abbaye est fermée
  • 1863: les Jésuites allemands s’établissent au monastère pour y fonder le Collegium Maximum
  • 1892: les Bénédictins de la congrégation de Beuron reprennent possession de l’abbaye
  • 1932: dans la cour intérieure du parvis, les artisans de Laach créent la Fontaine des Lions
  • 1933: Konrad Adenauer trouve refuge à l’abbaye pour se protéger des Nazis
  • 1993: fête des 900 ans de la fondation de l’abbaye et élargissement du nombre de cloches passant de 6 à 12. 12 est très rare dans l’art campanaire et ces cloches ont été créées par les Fonderies Causard (détails pages 7 et suivantes)

Avant l’église se trouve ce que l’on surnomme le Paradis, un atrium presque carré du XIIIe siècle, composé de trois ailes avec des arcades ouvertes. Il s’agit du seul paradis de ce type qui soit encore conservé au nord des Alpes. Au centre de la cour intérieure se trouve un petit jardin et la bouillonnante fontaine du Lion, créée en 1928 par le frère Radbod Commandeur. (Source)

Le parvis, appelé "Paradis"
Fontaine des Lions (inspirée de celle de l'Alhambra de Grenade)
Côté nord de l'église abbatiale
Tour nord du massif occidental
Chapelle St Johannes, en montant vers le cimetière
Cimetière en forêt
Deux stèles discoïdales comme au Pays Basque!
Une pierre tombale étonnante!

Nous terminons notre visite du côté de la ferronnerie de l’abbaye: créative, variée et avec beaucoup d’amour pour le détail. Le jardin accessible montre des objets de cuivre, de bronze, de fer forgé et acier alliés au verre, au bois et à la pierre.

C’est sur les photos de ces jolies oeuvres que nous terminons notre petite exploration de l’Eifel.

Bonne journée 😊.

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