Et hop, une nouvelle crise de paréidolie!

Les chercheurs n’ont pas encore trouvé de vaccin et je continue à vivre ces épisodes, heureusement plus drôles que douloureux, de manière épisodique.

Impossible pour moi de ne pas voir des “visages”, des “animaux”,… dans plein d’objets étranges…

Je vous montre ci-dessous.

A votre avis, est-ce grave? Et vous, voyez-vous aussi ces drôles de petites têtes?

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Des frites?

Bon, je ne vais pas faire un caprice comme les membres de la famille Tuche…

…mais, comme le savent la plupart d’entre vous,  je suis Belge et chez nous les frites c’est sacré 😋.

La preuve:

Je viens même de voir en vitrine des chaussettes brodées d’un cornet de frites!

Mais si je vous en parle aujourd’hui, c’est que je suis tombée sur cet article qui me prouve une fois encore que les Etats-Uniens n’ont pas toutes leurs frites dans le même sachet (en français: il leur manque une case 😉).

Ils viennent en effet de créer un parfum…à la frite!

Un parfum à la frite, vous le croyez ? Cela existe pourtant bel et bien : le flacon “Frites by Idaho” est l’œuvre de l’Idaho Potato Commission (États-Unis), composée de passionnés qui ne manquent pas d’idées et il est collector.(source)

Ce qui me console un peu, c’est qu’ils parlent de French fries (frites françaises). Ouf! l’honneur des Belges est  sauf!

Si je vous ai vraiment donné envie, même sans parfum, je vous invite plutôt à visiter le musée de la frite à Bruxelles😊.

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Faut rigoler…

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Bon, ça fait déjà un moment que le ciel nous est tombé sur la tête mais ce n’est pas une raison pour arrêter de rigoler.

Il y a un moment que je n’ai plus compilé les photos de moments qui m’ont fait sourire. Par écran interposé je peux partager sans problème, ni gel désinfectant, ni masque ni distance ne sont nécessaires 😊.

Vous me suivez?

On a beau dire, ça ne doit pas être facile à porter tous les jours 😂.

Avec lui, les chantiers doivent bien avancer je suppose…

On sait tout de suite qu’il connaît son métier!

Euh, elle ne m’inspire pas trop moi cette rue… 😉

Bon, là on va peut-être être sauvés…

Je pense que tout le monde s’approche de cette fenêtre pour y lire l’écriteau “historique” 😊.

Voilà, c’est tout pour cette fois mais je continue à traquer ce qui peut faire sourire, ça ne fait jamais de tort! 😊

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Le temps des voeux

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Ce matin en parcourant le journal gratuit distribué dans ma région, je me suis surprise à sourire à plusieurs reprises devant les vœux formulés.

Je pense que l’auteur ne m’en voudra pas d’en reprendre une partie que je trouve pertinente d’autant plus que lui-même a utilisé quelques expressions qui ont déjà bien voyagé.

Voici quelques-uns de ses mots, en résumé:

J’aimerais en 2022

  • qu’on se rende compte que la connerie humaine est plus nocive et plus dangereuse que le virus
  • qu’on n’apprenne plus le passé simple aux enfants mais le futur compliqué
  • qu’on assène des vérités qui dérangent plutôt que des mensonges qui rassurent
  • qu’on fasse des feux d’artifice silencieux, voire invisibles (ça, ça ferait plaisir au moins à mon chat!)
  • que le clignotant ne soit plus en option sur certaines voitures
  • que nous sortions plus souvent que nos poubelles
  • que certains politiques ne confondent plus “culture du blé et de l’oseille” avec “culture générale”
  • que vous disiez à vos enfants que Dakar n’est pas en Arabie Saoudite
  • que personne ne regarde les matchs du prochain Mondial de foot en mémoire des milliers d’ouvriers décédés en construisant les stades au Qatar
  • que vous continuiez à lever le coude car c’est la meilleure façon de ne pas baisser les bras
  • que vous vous mettiez au courant avant d’acheter une voiture électrique
  • que l’on se rapproche des gens négatifs en s’éloignant des positifs (pour changer 😉)
  • que vous évitiez de pratiquer l’ultracrépidarianisme , d’autres s’en chargent très bien!

Et surtout, que vous vous rappeliez chaque jour qu’il n’y a pas de mal à se faire du bien 😊

Voilà, ces quelques mots recopiés je les ai choisis parce qu’ils me parlent et qu’ils correspondent assez bien à ce que j’avais envie de vous souhaiter pour cette année 2022 qui commence à peine et que nous espérons meilleure que les deux qui l’ont précédée…

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Solution du rébus d’hier

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Pour ceux qui n’auraient pas trouvé, voilà ce que je vous disais:

“Pierre fait la trêve des confiseurs alors qu’il était professeur. Étonnant non?”

J’évoque bien sûr un autre Pierre le regretté Desproges dont je vous offre une courte vidéo ci-dessous. En cette période de fêtes, l’actualité reste morose, autant essayer d’en plaisanter pour ne pas sombrer 😊. 

Mon seul souhait est de vous avoir fait démarrer la journée par un sourire…😊.

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L’intérim de Noël 🎄

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Le dimanche matin j’ai l’habitude d’essayer de résoudre le rébus proposé par Rotpier sur son blog.

Pour ceux qui ne le connaissent pas, il s’appelle Pierre mais ils se transforme parfois en vilain Rotpier (un peu comme Docteur Jekyll et Mister Hyde, vous voyez le topo? 😉) pour nous faire sourire de manière souvent peu académique 😂.

Comme il fait une petite pause jusqu’à mardi, j’ai eu envie, à mon tour, de vous proposer un court rébus qui se termine sur l’évocation d’un autre Pierre que les amateurs de bons mots identifieront sans peine…

Je vous donne rendez-vous demain pour la solution (les habitués trouveront en 30 secondes mais tout le monde n’a pas l’habitude des rébus).

Bon dimanche

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Apollinaire, le circuit de Spa-Francorchamps et le dessin de presse

Quelle drôle d’idée de mêler trois sujets aussi différents me direz-vous peut-être 😊.

Je vous raconte. Ayant fini récemment le roman “La dixième muse” d’Alexandra Koszelyk (la même qui organise tous les lundis l’atelier d’écriture en ligne sur Brick a book) j’ai été prise d’une furieuse envie d’aller enfin visiter le musée Apollinaire à Stavelot. Bien sûr je savais que le seul musée au monde consacré à ce poète se trouvait à 50 km de chez moi puisqu’il a séjourné en Belgique avec son frère, mais je n’avais jamais eu le déclic. 

Aussitôt dit aussitôt fait, une réservation en ligne et nous voilà partis à l’abbaye de Stavelot.

Le billet est combiné et permet la visite de 3 musées et d’une exposition temporaire.

Nous avons donc visité le musée Apollinaire et celui du circuit de Spa-Francorchamps (bien connu des amateurs de F1) ainsi que l’exposition très intéressante des dessins de presse du monde entier.

Et le troisième musée? C’est celui de la principauté de Stavelot-Malmédy que nous irons voir à notre aise une prochaine fois, les dessins de presse nous ayant retenu un temps certain.

 

L’abbaye de Stavelot

1. Guillaume Apollinaire

C’est en 1954 que l’Association Internationale des Amis de Guillaume Apollinaire inaugure le musée sous la présidence d’honneur de Jean Cocteau.

D’abord installé dans l’ancienne pension Constant, où résida le poète, il fut déplacé en 1961 dans l’Abbaye où  nous pouvons revivre le séjour effectué  par Guillaume et son frère.

Leur mère et son compagnon, qui s’étaient fait passer pour des aristocrates russes, les ont abandonnés plusieurs mois dans cette pension  tandis qu’ils allaient tenter leur chance au casino de Spa à quelque 15 kilomètres de là. Les deux jeunes gens n’eurent d’autre issue que de s’enfuir à la cloche de bois un jour d’octobre 1899.

Sans argent et désœuvré, c’est à Stavelot que Guillaume commencera à écrire sur tout ce qui l’entoure. C’est là aussi qu’il rencontrera son premier amour, Marie Dubois, à qui il écrira de très beaux acrostiches dont certains en patois de l’endroit.

C’est probablement la trahison de cette jeune fille qui provoquera chez lui le sentiment qui le suivra jusqu’à sa mort d’être le “mal-aimé”.

Pour voir quelques pièces présentes dans ce musée, je vous invite à cliquer, ci-dessous, sur le tableau réalisé par le peintre belge Pierre Alechinsky.

Les passionnés peuvent également trouver de nombreuses informations sur ce site consacré au poète.

Je vous parlerai de la visite du deuxième musée et de l’expo dans un prochain article.

A très vite 😀.

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Le poids des mots sans le choc des photos

Je pensais vous proposer un texte dans le cadre de l’atelier en ligne Brick a book mais Alexandra, probablement toujours occupée à corriger son nouveau roman, n’a pas posté de photo déclencheuse d’écriture pour ce lundi.
Pas de photo mais, comme c’est normalement jour d’écriture, je saisis l’occasion pour partager ces quelques mots et réflexions reçus dans ma messagerie.  Ces mots sont “en phase terminale” et deviendront peut-être un jour délicieusement “vintage” ou passeront à la trappe des nouveaux dictionnaires, va savoir!

Inculpation
A été expurgé du Code Pénal au profit de « mise en examen », cela afin d’éviter une infamante présomption de culpabilité.
– Être « en examen » ne présage pas du résultat de l’examen.
– Aujourd’hui quand quelqu’un est mis en examen, on doit toujours insister sur le fait que cela ne préjuge pas de sa culpabilité.
– Comme du temps où il aurait été « inculpé ».
Instituteur
– Longtemps remplacé par « Maître d’école ».
– Il tend à disparaître par sa dissolution dans le concept fourre-tout de l’enseignement, au bénéfice de « Professeur des écoles ».
Maîtresse
– Ne pas assimiler à la version féminine d’instituteur !
– Ce serait une « professeure des écoles ». Les maris n’ont plus de maîtresse mais une «amie»…
– Les épouses conservent parfois l’amant, mais seulement à cause de la connotation romantique. Les moins romantiques n’ont qu’un « ami » aussi !
Morale
– A force d’être inemployée, a disparu. Ne demeure que « ordre moral », mais attention : connoté de « fascisme ».
– Toutefois, personne ne se réclame du « désordre moral ». La morale n’est plus enseignée, elle est remplacée par l’ «éducation à la citoyenneté».
Mourant
– Il n’y a plus de mourant, mais des malades « en phase terminale ».
– Afin d’éviter une regrettable confusion, ne dites pas à votre fils qu’il est en terminale, mais qu’il va passer son bac !
– Pour désigner un mort doit-on parler d’un individu « en phase terminée »?
Patriote
– Totalement absent du vocabulaire politique et civique.
– Désigne aussi un bon citoyen américain, et un missile américain…
Pauvre
N’existe plus. C’est un « défavorisé », un « plus défavorisé », un « exclu », un « S.D.F. », à la rigueur un « laissé pour compte ».
– Dans les années 1980, il subsistait uniquement dans l’appellation «nouveau pauvre» ; ce fut le chant du cygne.
Province
– Dire désormais « en RÉGION ». On ne dit plus du « provincial », mais du « régional ».
Race
– A été abolie au profit d’ «appartenance ethnique». Sinon, vous êtes raciste, fasciste, nauséabond,
– On peut néanmoins dire « black » en anglais et en banlieue.
Servante / Bonne
– Se trouve dans les romans du XIXème siècle.
– Aujourd’hui, c’est une « employée de maison ».
– Quand elle s’occupe de vieux – pardon, de «personnes âgées» − elle devient une « auxiliaire de vie ».
Séquestré
– Aucun cadre, aucun chef d’entreprise n’est séquestré : il est «retenu contre son gré» !
Vandales
– A laissé place à « jeunes en colère », voire à « paysans en colère ».
– L’ampleur des dégâts distingue les vandales des autres.
Vol
– Terme réservé aux gagne-petit et aux obscurs.
– Pour les politiques, on parlera d’ «enrichissement personnel». Ce qui est condamné unanimement par les collègues, contrairement à l’enrichissement impersonnel, qui, lui, ne bénéficie qu’au parti…
– Mérite la compréhension, ce que les juges n’ont pas encore compris !
Voyou
– En voie d’extinction… On ne connaît que des individus «bien connus des services de police», des «récidivistes» et des «multi-délinquants».

Et les cons sont devenus des « mal-comprenants » ! (Jean d’Ormesson)

Et vous, que pensez-vous de cette transformation du vocabulaire? Attention, je ne suis pas du tout contre une certaine évolution mais je me demande si la différence de perception entre “djeun’s” et “personnes âgées” a été autant marquée à toutes les époques. C’est peut-être simplement le signe que je vieillis…😉

Allez, un peu d’humour pour terminer et illustrer l’écart entre générations, ça vous va? 😊

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L’agenda ironique de mars

En mars, c’est Joséphine du blog Nervures et entailles qui pilote l’agenda ironique mensuel.

Voici les consignes à suivre telles que je les ai comprises (mais le mieux est d’aller voir directement sur le blog de Joséphine 😉 )

  • Pour commencer, elle nous propose ce slogan du féminisme radical sud-coréen: «Nous sommes le courage l’une de l’autre».
  • Elle y ajoute quelques règles stylistiques : une ou plusieurs anaphores et voir s’entrelacer quelques chiasmes.
  • Pour finir, un autre slogan du même mouvement, également splendide et puissant, que nous pourrons aussi glisser entre nos lignes :

    «Nous ne sommes pas des fleurs, nous sommes un incendie».

Ceci étant dit, je vous propose le texte que j’ai  rédigé dans ce cadre. Je reviendrai donner les modalités de vote d’ici quelques jours. 

Pour donner le ton, je vous propose de commencer par le dessin ci-dessous du dessinateur belge Pierre Kroll (source).

Metoo ou mytho…

Bon, je ne vais pas vous faire l’offense de vous raconter l’histoire d’Adam et Eve. Nous la connaissons tous, que nous ayons été élevés dans un esprit religieux ou pas.

Et donc, pour résumer les choses, Adam s’ennuyait tout seul dans son paradis (tandis que le bon dieu s’énervait dans son atelier!) et « on » lui aurait créé une compagne à partir d’une de ses côtes. (Enfin ça c’est ce qu’on lit dans un bestseller mondial appelé la Bible et qui cartonne depuis plus de 2000 ans !)

Et donc la femme serait issue d’un morceau de l’homme ! Il n’y a qu’un homme pour avoir imaginé cette histoire qui a ainsi mis la femme en situation d’infériorité dès le départ. L’histoire commençait bien pourtant, le soleil, les petits oiseaux, la nature puis c’est parti en sucette. Si on poursuit la lecture on apprend que le créateur (que vous appellerez comme vous voulez) n’a interdit qu’une chose dans ce paradis c’est de croquer les fruits de « l’arbre de la connaissance ». Pas très fute-fute, Adam n’y voyait pas malice et se contentait de se laisser vivre. Eve, qui, bien que créée en deuxième lieu, avait été mieux assemblée (vu qu’elle avait son cerveau bien positionné contrairement à Adam😉), était curieuse d’acquérir la connaissance. C’est comme si une petite voix lui avait murmuré « Il y a plein de fleurs là-bas, là où c’est clair, pourquoi tu marches où il fait noir ? » (Han Kang). Bref, Eve a donc goûté au fruit étiqueté « défendu » et a entraîné Adam à faire de même ce qui aurait causé toutes nos misères. (Encore que pour le Covid on n’ait aucune certitude à ce jour…). Des années plus tard, en repensant à ce jour et en observant les femmes qui l’entouraient Eve s’est surprise à penser « mais nous ne sommes pas des fleurs, nous sommes un incendie ! » et c’est vrai qu’elle avait bien enflammé une situation au départ plutôt tranquille.

On ne saura jamais vraiment le fin mot de l’histoire mais l’occasion était trop belle et l’homme a sauté sur l’occasion en hurlant « à partir de maintenant c’est moi le chef et c’est moi qui décide. Toi, femme, tu es inférieure et tu devras te soumettre à ma volonté! ».

C’était parti, le conditionnement de toute notre société jusqu’à aujourd’hui était enclenché et l’homme se sentirait toujours supérieur en tout ! Toujours ? Non parce que très vite une  femme (qui avait génétiquement hérité de la connaissance) a trouvé cela injuste.
A deux on est plus fort c’est bien connu et, très vite, les femmes ont pris conscience que chacune d’entre elles était le courage  d’une autre.

Le problème, pour l’homme, c’est qu’il n’est pas facile de quitter une position dominante quand on la croit légitime !

Le bien-fondé de leur supériorité, certains y croient tellement qu’ils n’hésitent pas à harceler sexuellement les « femelles » qui passent à leur portée. Comme si d’occuper les plus hautes situations donnait le droit d’accomplir les plus viles bassesses. Depuis quelque temps des femmes courageuses ont osé parler, ne plus se comporter honteusement alors qu’elles étaient victimes. Le mouvement «Metoo» était né et il n’a cessé de s’étendre.

Comme piètre défense, les mâles dominants n’hésitent pas à clamer qu’ils n’y sont pour rien, que la dame a tout inventé et qu’il faudrait être fou pour imaginer que l’Homme se soit abaissé à de tels comportements. Mais bien sûr…

Mesdames, unissons-nous mais sans perdre ce qui fait notre nature, notre grâce et notre féminité,

Mesdames, restons debout, unies, et regagnons petit à petit la place dont nous avons été privées trop longtemps aux côtés de l’homme et pas plus bas,

Mesdames, usons de notre connaissance de la vie pour expliquer aux hommes (avec des mots qu’ils comprennent😁) que nous ne voulons pas  leur prendre le pouvoir mais le partager.

J’ai envie de terminer malgré tout sur une note rassembleuse en citant Musset qui avait tout compris 😊

« Tous les hommes sont menteurs, inconstants, faux, bavards, hypocrites, orgueilleux et lâches, méprisables et sensuels ; toutes les femmes sont perfides, artificieuses, vaniteuses, curieuses (…) mais il y a au monde une chose sainte et sublime, c’est l’union de deux de ces êtres si imparfaits et si affreux » .

Une approche un peu différente cette fois sur un sujet de société. J’ai eu beaucoup de mal à entrer dedans en essayant de ne pas écrire un discours syndical 😉 mais je n’aurais pas voulu déclarer forfait malgré tout. La cause est juste.

Je vous invite à lire les autres textes chez Joséphine 😃.

Je vous fixe rendez-vous en avril pour le prochain agenda ironique mais, avant de me sauver, je vous invite à écouter les paroles de cette chanson-hommage de mon chanteur préféré  😊.

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Cette fois ça y est, c’est le printemps!

Je n’ai pas l’habitude de publier le dimanche mais j’ai découvert la chanson ci-dessous hier chez les Caphys et elle m’a fait sourire. Comme, pour le moment, toute occasion est bonne à prendre j’ai eu envie de la partager avec vous 😊.

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