Je vous ai dit récemment qu’on reparlerait de Georg Christoph Lichtenberg. Je vous emmène donc à Göttingen où se trouve sa statue.
Dans sa carrière comme dans son œuvre, Georg Christoph Lichtenberg a été un être singulier. Il n’a cessé de combattre l’engouement de ses contemporains pour le génie original cependant que par ses études, ses voyages, son enseignement, sa vie très retirée, lui-même ne répondait à aucun modèle ordinaire, cela étant accentué par l’union d’un physique ingrat avec une redoutable acuité d’esprit. (source)
Lichtenberg est surtout connu pour ses citations et ses cahiers d’aphorisme. Goethe aurait dit de lui: « Les écrits de Lichtenberg peuvent nous servir comme de la plus merveilleuse lanterne magique : là où il rit, c’est qu’un problème se cache. »
Mais bon, Göttingen ne se résume pas à cette seule statue. C’est avant tout une ville universitaire assez plaisante où 42 Prix Nobel auraient étudié ou enseigné selon Wikipédia.
Quelques photos plutôt qu’un long discours vous feront mieux sentir l’atmosphère de la ville.
Ci-dessus, devant l’ancien hôtel de ville, la statue de Ganseliesel, jeune gardienne d’oies que tout étudiant fraîchement diplômé se doit d’embrasser sur les deux joues (nous sommes sur la route des contes des frères Grimm).
Les dorures de l’ancien hôtel de ville
Et puis, pour que cette fois encore, tout finisse par une chanson, je ne pouvais pas ne pas vous proposer celle-ci bien sûr…
Le bois de Païolive, forêt de roches pétrifiées et de chênes blancs, est un véritable labyrinthe naturel dans lequel la balade ombragée est fort agréable et les rencontres, à chaque tournant, de formes identifiables à des animaux fantastiques (il suffit d’un peu d’imagination) ne manquent pas d’étonner les promeneurs.
Malgré son nom, dont l’origine reste inexpliquée à ma connaissance en tout cas, le bois de Païolive ne contient pas d’olives mais est le deuxième site le plus visité en Ardèche (plusieurs milliers de personnes chaque année) après le Pont d’Arc.
Un petit clic sur les miniatures ci-dessous:
Le bois est un territoire naturel remarquable et possède une biodiversité exceptionnelle (arbres, flore, faune). Restez discrets lors de vos balades afin de ne pas trop perturber les différents habitants de cette zone naturelle sensible. Il est important de veiller à ne pas bouleverser ce que nous offre la nature.
L’alliance de la roche et du végétal dans ce lieu sauvage et mystérieux, suscite l’imagination chez les petits comme les grands… Façonnées par les eaux de pluie à l’époque jurassique et crétacée, les roches blanches du “Bois des fées” forment un chaos calcaire surprenant et mystérieux où vous aurez le plaisir de rencontrer une ” tortue “, un ” éléphant “, un ” ours ” ou encore un ” lion ” au cours de vos aventures (Natura 2000). Le Bois de Païolive fut sous Richelieu un refuge pour les protestants et les bandits de grand chemin. Gardez à l’esprit que vous vous trouvez sur un site classé et sur des propriétés privées, discrétion et respect seront votre meilleur pass.(source)
Je pourrais aussi chanter comme le grand Félix Leclerc “Moi mes souliers ont beaucoup voyagé…” alors je vous propose de poser vos pas dans les miens et de poursuivre la découverte de l’Ardèche commencée il y a quelque temps…
Aujourd’hui c’est à Banne que je vous entraîne. Ce village de caractère mérite un détour car il est très beau, comme souvent les villages ardéchois, mais aussi parce qu’il abrite les preuves d’une histoire très ancienne. Je vous propose de découvrir, à ma suite, les écuries du fort, des vestiges du château et l’église Saint-Pierre (12 ème s).
Je vous propose cette fois de me suivre à Aiguèze, un des plus beaux villages de France.
Les ruelles caladées de galets de rivière sont remplies de charme et c’est un vrai plaisir de s’y balader.
La chouette enseigne du café ci-dessous en convaincrait plus d’un de s’y rafraîchir un instant.
Nous poursuivons notre découverte du village avec la maison dite “l’Atelier du sculpteur”.
La plaque, sculptée elle aussi précise, Atelier d’Art Robert R. Wittelsbach de Traxel, Montespérant. Sur un parchemin, il définit Montespérant comme “patrie des hommes de toutes cultures, doués d’Intelligence, de Courage et de Cœur”.C’est un illuminé, mais on a bien envie d’être de sa patrie.(source)
NB: Il serait en fait un lointain descendant de l’impératrice Elizabeth d’Autriche (Sissi).
Comment ne pas évoquer également la très belle église dédiée à Saint-Roch?
La façade de l’église
Construite en même temps que le château à l’extrémité Sud du village fortifié, l’église constitua longtemps le prieuré Saint Denis avec la maison claustrale accolée. Le portail Renaissance date du XVIè siècle. Le clocher date de 1910, surmonté d’une pointe type “basilique de Lourdes” lors des travaux d’embellissementpar l’archevêque de Rouen, Mgr Fuzet, originaire d’Aiguèze et qui ne l’avait pas oublié. Il fera rajouter les statues de Saint Denis et de Saint Roch, un autel en marbre blanc de Carrare, des peintures dans le style Notre Dame de Paris. Il offrit 3 cloches sur les 4 installées, avec l’empreinte de saint Roch.(source)
Un peu plus loin, nous voyons cette rue au nom curieux…y aurait-il un lien avec cette anecdote:
Sur l’ancienne place de la ville fortifiée, une plaque murale commémore le séjour entre 1706 et 1777 d’Honoré Agrefoul, inventeur supposé de l’absintheet personnage fictif né de l’imagination d’un plaisantin d’Arles qui inaugura l’inscription en 1985 déguisé en François Mitterrand. (source)
Voici ce que j’ai pu trouver sur ce plaisantin qui a pour nom Michel Bertet:
“Je suis à l’origine, depuis une quinzaine d’années, de plusieurs gags et farces diverses, suivi par quelques amis humoristes pour les mises en scène. Pour l’histoire d’Agrefoul, le nom m’est venu comme ca, sans recherche spéciale, mais j’ai trouvé que le agr faisait bien terrien — agraire, agriculture. Ce n’est pas non plus en pensantspécialement à la Fée verte qui j’ai fait cela. Je me suis rendu compte après de l’erreur commise, car l’absinthe et le pastis n’ont rien à voir. Nous avons inauguré la plaque en 1985, un lundi de Pentecôte, à onze heures. Nous sommes arrivés avec une Citroën traction avant; j’étais assis à l’arrière déguisé en Mitterrand, avec un masque, petits drapeaux sur les ailes, numéros de l’Elysée sur les plaques, dépôt d’une gerbe, discours en imitant lePrésident, mains serrées. J’ai reçu un bouquet de fleurs, même une pancarte revendicatrice: Mitterrand, pas de discours, des sous!… Pour la petite histoire, un monsieur très âgé avait vu une affiche sur laquelle était inscrit que “Monsieur le Président de la République viendrait inaugurer une plaque destinée à un bienfaiteur de l’humanité”, et il nous a fallu user de beaucoup d’arguments pour le dissuader de venir. Je dois vous direque pour faire plus, la vrai, les gendarmes étaient là! Le hasard, à cette époque, a voulu que je sois un copain, du chef de brigade de Point-Saint-Espirit, et il m’a dit: – Je t’enverrai une 4L avec deux gendarmes, un de deux mètres et l’autre d’un mètre soixante-cinq. C’etait marrant. Ils étaient quand même assez éloignes de la plaque pendant la cérémonie, vu que ce n’était pas officiel, mais par contre ils étaient présents pour boire le pastis. Un an plus tard, pour Pentecôte, je me suis amusé àsculpter le buste. Chaque année depuis, on fête la Saint-Honoré, à des dates variables pour arranger chacun. Les gens d’Aiguèze et quelques autres des environs font un repas en commun sur la place où figure la plaque; nous sommes environ cent vingt et après le repas, chansons, contes, histoires de toutes sortes sont débitées, quelquesguitares, un tambourin, des harmonicas accompagnent le souvenir de l’homme qui n’a jamais existé.” (source)
Comme je suis Belge, et fière de l’être, le surréalisme je connais et, franchement, cette histoire me réjouit et j’irais volontiers participer à la fête.
J’ignore si c’est le même plaisantin qui a posé la plaque mentionnant “Andris Nali, Professeur d’Expansiologie, diplômé de Harvard”. Une discipline totalement fictive et un professeur dont l’identité est en fait l’anagramme du nom d’un habitant d’Aiguèze…
Plus sérieusement, parcourons d’autres rues du village…
Les ruines du château-fort d’Aiguèze dominent toujours les falaises. L’extérieur se visite mais l’intérieur est privé.
Si vous en voulez encore, je vous invite à vous rendre ici et, si vous souhaitez prendre de la hauteur, regardez ci-dessous 😉
Nous retournons en Ardèche pour ce qui fait la renommée principale de la région: les gorges de l’Ardèche.
N’étant ni sportifs ni casse-cous (un peu casse-c… parfois mais c’est une autre histoire 😂) nous avons sagement suivi la route qui permet de profiter de panoramas fabuleux sur ce site hautement touristique.
Nous empruntons donc la route des Gorges et, assez rapidement, nous voyons l’endroit qui a donné son nom à la ville de Vallon: le Pont-d’Arc, (60 m de long et 54 m de haut) arche naturelle enjambant la rivière Ardèche. Le site est classé depuis 1982.
Comme on le voit ci-dessous, de nombreux vacanciers pratiquent le kayak, même si tous n’osent pas la descente des gorges.
Nous commençons enfin à parcourir cette route où nous nous arrêtons très souvent pour ne rien perdre de la beauté qui est offerte à notre vue . De nombreux belvédères sont d’ailleurs aménagés pour les touristes et, nous avons de la chance, il n’y a pas foule.
On se sent tout petit devant une telle grandeur…
On suit bien les méandres de la rivière Ardèche.
La nature offre décidément de bien beaux cadeaux aux hommes qui la remercient bien mal en la saccageant trop souvent 😢
Ci-dessus on voit bien le cercle tracé par la rivière et qui forme le site du Cirque de la Madeleine, isolé et difficile d’accès. C’est en raison de cet isolement que, au XIIème siècle, une maladrerie y accueillait les malades de la peste revenus des croisades.
La vidéo suivante, trouvée sur Youtube, nous montre fort bien la grandeur du site.
Le Pont de la Madeleine nous amène au terme de notre balade du jour.
Au cours de mes recherches sur la région, j’ai trouvé ce site très bien fait et bien documenté, agrémenté de nombreuses photos. Je vous invite à passer y faire un tour…
Nous voilà arrivés au terme de ce séjour de rêve sur l’île de Santorin. Nous terminons par une visite culturelle sur le site des ruines de l’ancien Thira/Théra.
L’ancienne Thera est une ville et une capitale sur une crête de la montagne, à 360 m de Messa Vouno, à Santorin. Elle a été nommée d’après le souverain mythique de l’île, Theras, et a été habitée depuis le 9ème siècle avant JC jusqu’à 726 après JC. La ville ancienne était composée d’une rue de près de 800 m de long et particulièrement large pour son temps s’étendant dans une direction sud-est et contenant plusieurs bâtiments imposants.Un petit cul-de-sac se ramifie à angle droit et à son terme, au sommet de la montagne, était le siège d’une garnison stationnée dans la ville.Après environ 200 mètres de rue, la ville se développe pour couvrir une superficie d’environ 100 x 100 mètres sur un plateau exposé au-dessus de la côte rocheuse.Les zones résidentielles sont regroupées autour d’une agora qui se trouve en face d’un théâtre intégré dans la pente inférieure.Séparé et face à la mer à l’extrémité orientale du plateau il y a une petite région sacrée avec des terrains de temples et des installations publiques.Tous les bâtiments sont construits avec le calcaire local de la montagne elle-même.Le bois était rare dans l’île et rarement utilisé pour construire.(source)
Comme d’habitude sur cette île, nous devons monter pour accéder à ce site. Heureusement, une bonne partie se fait en voiture parce que, arrivé sur place, il faut encore monter et descendre. Il faut de bonnes chaussures de marche et de bons genoux pour visiter Santorin
Quelques photos de la visite du site
L’aigle de Zeus, gravé dans la pierre
Le théâtre
J’ai trouvéce site très bien faitpar un professeur que j’arrive pas à contacter. J’espère, s’il passe par hasard par ici, qu’il ne prendra pas ombrage du lien que j’ai déposé mais prendra cela comme une reconnaissance de la qualité de son article …
Avant de quitter l’île, je vous propose encore trois photos d’un endroit qui m’a particulièrement touchée car je n’avais jamais rien vu de tel: Monolithos. Malgré le caractère volcanique de l’île c’est une plage de sable fin plutôt tranquille en septembre. Ce n’est pas le côté plage qui me séduit mais l’arrière-plan avec ses parois de sable très hautes comme déchiquetées par le vent…
Nous terminons ici notre visite de cette merveilleuse île où les couleurs n’ont de cesse de nous rappeler celles du drapeau grec.
Vinezac, village d’origine médiévale, a obtenu le label “Village de caractère” en 2001. Son nom proviendrait de son activité principale: la fabrication du vin. Il fait bon s’y promener dans les rues anciennes en vieux pavés tout en passant sous les nombreuses arcades.
L’histoire du village, de la préhistoire à nos jours, vous est proposée ici.
Ci-dessus, Vinezac vu de plus loin
Il y a vraiment de chouettes rochers dans le coin…
Nous quittons Vinezac mais il reste encore pas mal de villes et villages ardéchois aussi charmants que je vous ferai découvrir bientôt.
L’île de Santorin, nommée Stroggylé dans le passé (la Ronde en grec), résulte en fait d’une longue et intense activité volcanique. En effet, pendant plusieurs millions d’années, des centaines d’éruptions eurent lieu, et crachèrent cendre et lave. Une ultime explosion, il y a 3600 ans fit éclater l’île, ne laissant plus apparaître sur la surface de l’eau que Santorin telle qu’on la connait actuellement : l’île principale de Thira (ou Santorin), et les deux îlots de Therassia et Aspronissi. Puis au fur et à mesure du temps et de l’activité tellurique, se formèrent deux autres îlots : Palea et Nea Kameni. Une des dernières grandes éruptions eut lieu en 1925 : un chapelet de cratères s’ouvrit (cratères de Daphni), et plus de 100 millions de m3 de lave en sortit. C’est aujourd’hui l’un des moments les plus forts de la visite de Kameni. D’autres éruptions, plus petites, eurent lieux jusqu’en 1950, mais depuis seules des fumerolles de gaz et les vapeurs qui jaillissent a 93ºC sur l’ile de Kameni laissent apparaître son activité.(source)
Après une longue descente des escaliers, à pied pour les courageux, sur une mule pour les aventuriers et en téléphérique pour les autres, on prend le bateau au port de Fira.
La vue depuis le bateau est magnifique! On voit bien toutes les maisons blanches construites tout en haut des roches.
Après environ 40 minutes de navigation on accoste sur le volcan.
A ce moment on suit le chemin jusqu’en haut et là chacun va voir les coins qui l’attirent.
Sur la photo ci-dessous, on voit bien le tracé en zig-zag du chemin qui mène de la ville au port…et qu’il faudra remonter à l’arrivée
Le rendez-vous est fixé au bateau pour aller un peu plus loin là où ceux qui le souhaitent peuvent nager dans les eaux chaudes qui sentent légèrement le soufre tandis que les roches sont de couleur jaune-orange.
Il est temps ensuite de penser à se sustenter dans un des nombreux endroits installés près de l’eau.
L’endroit est tout à fait charmant, on s’y sent vraiment bien
Les chats futés vont boire l’eau douce du bac à condensation du comptoir frigo
Il paraît que le meilleur resto se trouve plus haut mais la chaleur et les dénivelés déjà dans les genoux, ainsi que le délai relativement court avant de remonter sur le bateau, font que personne ne s’y risque, ce qui se comprend quand on voit le chemin d’accès sur la photo ci-dessous!
Après avoir très bien mangé, il est temps de remonter à bord pour rentrer au port après cette belle excursion. Sur la vue ci-dessous, on voit bien les roches rougeâtres sur lesquelles on a construit les villes de Santorin.
Comme nous sommes courageux mais pas téméraires, nous prenons le téléphérique (à gauche sur la photo) pour remonter vers la ville. C’est drôlement plus rapide qu’à pied, surtout que nous avons déjà mis presque 3/4 d’heure pour descendre…
Ce fut encore une bien belle journée, la pénultième, sur cette île paradisiaque.
A bientôt pour le récit de notre dernière journée à Santorin
Pour faire plaisir à Géhem, et j’espère aux autres visiteurs également, je vous entraîne à Montréal. Nous avons déjà été ensemble à Montréal au Québec mais cette fois nous allons visiter l’ardéchois dont vous pouvez consulter l’histoire si le coeur (fidèle, en souvenir d’Ardéchois, coeur fidèle) vous en dit…
Perché sur les crêtes du Mons Régalis (le mont royal) et dominant Largentière, Montréal, dans le Parc Naturel Régional des Monts d’Ardèche, est un petit village médiéval aux maisons bâties en moellons de grès.(source)
Je vous invite à cliquer juste ici pour voir la présentation de mes photos.
Nous continuons à parcourir les petits villages typiques de Santorin. C’est vrai qu’ils se ressemblent beaucoup entre eux mais j’ai adoré me perdre dans leurs rues entremêlées parmi les constructions qui semblent l’être tout autant. J’ai vraiment apprécié les maisons blanches et les nombreuses églises aux toits bleus, mes couleurs préférées. Et même si tout ça fait terriblement cliché, les moments passés sur cette île sont à ranger dans ma boîte aux souvenirs, du côté des plus beaux, esthétiquement parlant. Ces villages paraissent tellement “propres” et ceux qui sont ignorés par la masse de touristes n’en sont que plus précieux.
Pyrgos Kallisti (à 8 km au SE de Fira) est le village le plus élevé de l’île d’où l’ on peut voir la quasi totalité de Santorin. Il n’y a qu’environ 700 habitants dans cet endroit superbe, calme et pittoresque qui est également un repère d’artistes.
Au Sud de l’île, entre la plage de Périssa et Pyrgos, la vieille ville typique d’Emborio mérite un coup d’œil. Emborio vient du latin emporium qui signifie marché, commerce,… et date de l’époque où le village était un important comptoir à marchandises. Les ruelles très étroites forment un beau labyrinthe où on se laisse volontiers flâner au gré du vent…
Les photos de ces deux villages se trouvent ci-dessous, à votre tour de vous y perdre aussi, vous verrez, c’est agréable et charmant.
D’abord un petit arrêt pour profiter de la douceur de l’air marin et se rafraîchir au calme, seuls au monde ou presque…avant d’aller explorer les villages tout en montées…
Même les coussins des chats ne détonnent pas dans le décor!
Les mules servent au transport de toutes sortes de choses. Il faut dire qu’elles seules peuvent se déplacer facilement dans les ruelles étroites et dénivelées.
Et si vous en voulez encore, n’oubliez pas vos lunettes de soleil et plongez, ci-dessous, dans la vidéo que j’ai trouvée sur internet