Balade hivernale (1): vers Montjoie (Allemagne)

Quand la météo annonce une journée froide mais très belle, il ne faut pas me demander deux fois si ça m’intéresse d’aller faire une balade dans les beaux paysages immaculés de l’est de la Belgique et même de faire une petite incursion dans l’Allemagne toute proche. Je suis très vite emmitouflée et prête à partir.

Si vous voulez m’accompagner, il suffit de cliquer  

ici  

(pour faire défiler vers le bas, la roulette de votre souris sera parfaite. Il y de petits ascenseurs sur le côté de certains textes pour pouvoir tout lire et les mots soulignés conduisent vers d’autres explications).

Voilà, j’espère que le début de la balade vous a plu parce que ce n’est pas fini 

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Le Rhin romantique et la légende de la Lorelei

Il y a quelque temps je vous ai montré le château de Stolzenfens mais le Rhin romantique comporte bien d’autres merveilles. Je vais en partager quelques autres aujourd’hui et vous raconter l’histoire de la Lorelei.

La journée s’annonce intéressante puisque nous voyons cette première construction médiévale qui semble être le château fort Reichenstein.

Nous voyons ensuite le château de Stahleck , un château fort du 12 ème siècle qui a subi bien des dégâts au fil du temps.

Wikipédia nous apprend que:

À partir de 1925, le château a été restauré sur les soubassements pour devenir une auberge de jeunesse. Sous le Troisième Reich le château a été transformé en camp de rééducation pour la jeunesse. Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, le château est à nouveau une auberge de jeunesse.

Tout en haut, au milieu des vignes, on aperçoit la forteresse Gutenfels qui domine le Rhin, une centaine de mètres au-dessus de la ville de Kaub, dans le land de Rhénanie-Palatinat.

La station de péage de Pfalzgrafenstein

Construit en 1328 par Louis de Bavière, le château fort Pfalzgrafenstein près de Kaub a servi de station de péage jusqu’en 1866. Pendant l’hiver de 1813/14 le château fort entrait dans l’histoire européenne. C’est ici que le feld-maréchal prusse Blücher a réussi à traverser le Rhin avec son armée, ce qui signifiait le début de la chute de Napoléon. De cet acte témoigne le musée Blücher à Kaub, qui mérite certainement une visite. La traversée à ce château fort jamais détruit sur une île dans le Rhin est une expérience qui vaut la peine (source).

Un autre château,  Schönburg,  qui est devenu un hôtel:

Les  photos suivantes nous montrent la charmante petite ville médiévale  d’Oberwesel .

Ci-dessus: La Ochsenturm (la tour du bœuf) se dresse comme une pointe à l’extrémité nord de la muraille de la ville. Elle montre, comme aucune autre tour, la puissance et la confiance en soi de la ville médiévale de Oberwesel (source).

Tout en haut de la photo (ci-dessous), on aperçoit le château du Katz. Je signale aux amateurs des BD’s de Yoko Tsuno  que ce château et ses environs ont servi de décor pourL’Orgue du diable 

Et bien sûr nous voyons enfin la statue de la belle Lorelei au pied du rocher!

Lorelei (Loreley, Loreleï ou Lorely) est le nom d’un rocher qui culmine à 132 mètres au-dessus du Rhin à proximité de Sankt Goarshausen (Saint Goarshausen en français) en Allemagne (Rhénanie-Palatinat).
C’est l’endroit le plus étroit du fleuve entre la Suisse et la mer du Nord. L’avancée du rocher réduit d’un quart la largeur du fleuve. Le courant très violent et les nombreux rochers immergés ont causé de nombreux accidents de navigation.
Lorelei est aussi le nom d’une nixe (nymphe de la mythologie germanique) qui attire les navigateurs du Rhin jusqu’à leur perdition par ses chants, comme les sirènes de la mythologie grecque ancienne.
Cette légende de la Lorelei sur son rocher a inspiré de nombreux artistes, dont le poète allemand Heinrich Heine qui écrivit en 1824 l’histoire Die Lore-Ley plus tard mise en musique et popularisée par le compositeur Friedrich Silcher (source).

Je vous invite à vous asseoir confortablement pour lire la légende complète sur Wikipédia, si ce n’est pas encore fait, puis pour regarder la vidéo ci-dessous.

Si vous en voulez encore, vous trouverez ici des informations détaillées sur les châteaux situés entre Coblence et Rudesheim.

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Voyage, voyage: le Pays Basque (12) Ossès

Ossès (900 habitants environ) est situé en Basse-Navarre à 10 km de Saint-Jean-Pied de Port et au nord-ouest de Jatxou.

La commune fait partie de la zone de production du vignoble d’Irouléguy, seul vignoble du Pays Basque français, et de celle de l’ossau-iraty, de quoi se rassasier agréablement 😋 même si, personnellement, je trouve l’Irouléguy très typé et à ne pas boire avec n’importe quel plat.

L’église d’Ossès

L’église Saint-Julien date des XIIe et XVIIe siècles. Vers 1556, sous Jeanne d’Albret, les habitants d’Ossès estimant « que ladite église paroissiale de Saint-Julien est petite et ruinée tellement qu’à cause de sa petitesse le peuple de ladite paroisse quand il y est assemblé pour entendre les offices ne peut y être commodément ni avec l’honnêteté nécessaire », demandèrent « que ladite église soit réédifiée et agrandie et ornée »(source).

Le cimetière champêtre se trouve au pied de l’église…

…et le fronton est juste à côté.

Ossès offre des vues magnifiques sur les reliefs avoisinants de toute beauté, mais non je ne suis pas partiale

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Voyage, voyage: Pays Basque (11) Jatxou

Jatxou est une petite commune d’un peu plus de 1000 habitants située dans la province basque du Labourd.

Ce qu’on voit en arrivant c’est la mairie qui ressemble en fait à une maison très simple.

Heureusement que la plaque apposée sur la façade nous renseigne!

Dans ce village, on trouve de grandes dalles de pierre beige utilisées comme clôture et parfois, comme celle ci-dessous, gravée de la croix basque ou lauburu

Origine de la croix basque

Ce que l’on sait aujourd’hui, c’est que la “croix basque” n’est pas… basque ! Il se trouve simplement que ce symbole s’est tellement bien acclimaté à la culture de ce pays qu’il fait à présent partie intégrante de son patrimoine et qu’il en constitue l’emblème principal.

Ce signe est déjà connu 2000 ans avant J.-C. dans la région de l’Indus, ce­pendant on le trouve aujourd’hui sur tous les continents et souvent depuis la plus haute antiquité.(source)

Incontestablement, autant la mairie m’a peu impressionnée, autant j’ai aimé l’église Saint-Sébastien et la paix du cimetière basque qui l’entoure. Je ne suis pourtant pas bigote mais un brin taphophile quand même, vous l’aurez remarqué si vous me suivez depuis un moment.

Ci-dessous, le monument aux morts, lieu de recueillement, devant l’église(sculpture de Régis Pochelu).

La montée vers l’église et quelques stèles discoïdales courantes au Pays Basque. 

Ci-dessous, le cimetière, si paisible sous le soleil…

Une sculpture représentant un labyrinthe assez symbolique trône dans ce cimetière.

Jatxou, l’espace de dispersion est un Tumulus, contenu dans un cercle de 3 m de diamètre, au centre duquel se trouve un amas de galets de la Nive, affluent de l’Adour, rappelant les eaux primordiales. Au-dessus, à 3 m de hauteur, on trouve un cercle de fer de 1,85 m de diamètre (référence au nombre d’or), y apparaît un Labyrinthe ajouré. Le Labyrinthe, c’est l’entrecroisement de chemins. Il amène la personne à regarder vers le ciel, à se rapprocher de Soi. Il conduit à l’intérieur de soi-même, sanctuaire dans lequel siège le plus grand mystère de l’âme humaine. (source)

Les stèles discoïdales, dont la plus ancienne date de 1597, portent différentes gravures personnalisées.

Nous pénétrons ensuite dans l’église très richement décorée. En entrant, on peut admirer le grand retable en bois doré dont le principal motif est le martyre de Saint-Sébastien qui y est représenté attaché à un poteau, le corps transpercé d’une flèche.
Sur le plafond peint (1752), on voit les 4 évangélistes (à gauche sur la photo ci-dessous, St-Mathieu et St-Jean et, à droite, St-Luc et St-Marc) qui entourent la Sainte Trinité.

Le fascicule disponible à l’entrée de l’église nous apprend que

De chaque côté du bas relief, s’élèvent richement décorées de grappes de raisin et de feuilles de vigne, deux colonnes torsadées au-dessus desquelles des angelots laissent surgir de la nuée Dieu le Père bénissant; il tient dans une main le globe terrestre et est entouré d’anges.
En-dessous, la colombe de l’Esprit-Saint surmonte un soleil reliquaire.

La partie inférieure du retable comprend le tabernacle: sur sa porte dorée, un ange tient le linge qui a essuyé le visage de Jésus pendant la Passion. Le tabernacle possède également des niches à statuettes représentant St-Pierre et St-Paul.

A gauche, le personnage qui semble danser sur un pied c’est l’ange de l’Annonciation. A droite, la vierge Marie est agenouillée.

Ci-dessous, vue sur une autre partie du plafond et sur les 2 étages de galeries.

En sortant de l’église et en retrouvant la lumière du jour et le soleil, je ne peux m’empêcher d’aller revoir les stèles discoïdales que j’aime tant…

A bientôt pour d’autres découvertes du Pays Basque .

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Voyage, voyage: Pays Basque (10), Sare

Sare (Sara en basque), village de près de 2 500 habitants, est classé parmi les “plus beaux villages de France”.

Le village, entouré de montagnes (dont La Rhune à 905m) et enclavé dans la Navarre espagnole avec 32 Km de frontière, est situé à 14 Km de la mer (source).

Deux lieux sont incontournables quand on visite Sare:

1) L’église Saint-Martin

Une des plus belles églises du Labourd, située au coeur du village. L’église Saint Martin a été rehaussée au XVIIème siècle sous la cure d’Axular. Majestueuse avec sa tour à cinq étages, et à ses pieds l’ancien cimetière. A l’intérieur, trois étages de galeries en chêne sculpté, et leurs balustres en bois tourné.
Le cadran solaire porte l’inscription : Oren guziek dute gizona kolpatzen azkenekoak du hobirat egortzen (toutes les heures blessent l’homme, la dernière l’envoie au tombeau).(source)

 

2) Galtzada (voie médiévale)

La voie médiévale traverse Sare du Nord (Saint Jean de Luz) vers le Sud (Frontière : Zugarramurdi – Navarre). Autrefois, route incontournable pour accéder chez nos voisins; Aujourd’hui, sentier de loisir où démarrent de nombreuses randonnées en boucle pour découvrir la commune et les alentours. (source)

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Voyage, voyage: Pays Basque (9), Zugarramurdi

Bon, je m’étais un peu égarée dans d’autres endroits bien plaisants en période de fête mais je vais cette fois vous emmener à nouveau dans ma région préférée de France. J’ai nommé, le Pays Basque évidemment.

Je vous ai déjà montré différents endroits de la région mais cette fois nous allons changer carrément de style puisque je souhaite vous faire découvrir la “grotte des sorcières” qui nous fait traverser la frontière franco-espagnole, mine de rien, en marchant au milieu des rochers.

La Grotte est un impressionnant tunnel karstique où la nature et la mythologie se retrouvent. Ici se tenaient des fêtes et rituels pour rendre hommage aux forces de la nature, autant de célébrations que l’Inquisition a jugé de culte démoniaque…(source)

Pour y arriver, rien de plus facile puisque il suffit de suivre le sentier du pottok bleu. Pour les distraits, je rappelle que le pottok est une race très ancienne de poney du Pays Basque où on les rencontre souvent en liberté sur les chemins (ne soyez pas étonné si les vrais ne sont pas bleus).

Le parcours commence dans un très bel environnement boisé…

…mais on commence à apercevoir l’entrée de la grotte…

…où tout est mis en place pour nous faciliter la visite sans risque…

…les endroits sombres sont même éclairés pour notre confort…

 

Si vous ne connaissez pas cet endroit mais appréciez les lieux ayant une histoire à raconter, ne ratez surtout pas cette balade agréable dans un site inhabituel.  

Et, si l’histoire des sorcières du Pays Basque vous intéresse, allez vite voir par là: mythologie basque et sorcières

Au cas où vous auriez des craintes, voici quelques méthodes qui m’ont été fournies à Zugarrarmurdi pour éviter les sorcières

  • placer à la porte de la maison une croix faite de deux petites branches de frêne et du laurier béni à côté,
  • si la sorcière est malgré tout entrée dans la maison, jeter une poignée de sel dans l’âtre,
  • si on se trouve face à une sorcière il faut se signer et dire “Puyes” ou tracer une croix avec les deux index et dire “Jésus”,
  • ne pas sortir entre l’angélus du soir et celui du lever du jour.

La légende raconte aussi que, tentant de faire disparaître les sorcières, les habitants de Zugarramurdi allèrent en procession aux grottes un 15 août. Le curé répandit une poignée de moutarde pour que les sorcières disparaissent pendant autant d’années qu’il y avait de grains de moutarde… Apparemment ça a fonctionné puisque depuis on n’en a jamais plus vu! 

Pour continuer dans le même sujet mais puisqu’il est interdit d’y photographier, je vais simplement vous conseiller la visite des grottes d’Isturitz et Oxocelhaya. Pour ma part, j’ai fait cette découverte avec la préhistorienne Aude Labarge il y a déjà quelques années et j’ai trouvé cette plongée dans l’histoire de nos ancêtres fort intéressante.

Pour que vous voyiez un peu de quoi il s’agit, je vous invite à regarder le film ci-dessous.

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Balade à Maastricht (NL)

Un avantage à habiter près des frontières est qu’on peut profiter des avantages de chaque pays sans parcourir de longues distances…
Aujourd’hui nous irons donc nous promener à Maastricht. Oui, oui, c’est bien là qu’a été signé le Traité de Maastricht et qu’est né le violoniste André Rieu.

Cette petite ville conjugue avec goût les constructions modernes et les petites rues anciennes pleines de charme où on trouve de nombreuses décorations sur les façades des maisons. Le moyen de déplacement principal est bien sûr le vélo comme partout aux Pays-Bas mais les piétons ont beaucoup d’espace à leur disposition également.

Les soldes commencent ici bien plus tôt que dans les pays voisins et le marché de Noël est toujours en place ainsi que les manèges de la fête foraine, il y a donc beaucoup de monde dans les rues mais, malgré cela, l’ambiance est sereine au pays des “Bataves”.

Je vous invite à regarder le montage qui suit en vous rappelant que vous pouvez cliquer sur les photos pour les voir en grand et que les termes soulignés sont des liens donnant plus de détails. Il suffit d’un petit clic sur

Balade à Maastricht

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Voyage, voyage: Vienne en Autriche (8)

On le sait maintenant, à Vienne les bâtiments sont grands, les repas également ainsi que les décorations de Noël. Ce qui m’a aussi étonnée c’est le nombre impressionnant de statues et leur taille. Que ce soit sous forme de statue classique, de cariatide ou d’atlante, il y en a partout où mes yeux se posent  Je n’avais jamais vu de tels géants, de quoi me sentir toute petite, une mini Photonanie en somme… 

Vous ne me croyez pas? Regardez-donc ce qui suit…

Gutenberg
Ne croirait-on pas qu’ils comparent leurs ventres?
Tandis que ces deux-ci se disputent…

Arrête de pagayer, t’es dans une rue! Partie de la fontaine Donner du nom de son créateur Georg Raphaël Donner
L’ange et ses potiches…

C’est con, ils ont oublié leur slip! Et ceux de la photo suivante également 

Ici, pour soutenir, c’est “la tête et les bras”

Ce n’est pas la Porte de Brandebourg, même si ça y ressemble, c’est une partie du toit de la Bibliothèque nationale autrichienne

Egalement sur le toit de la bibliothèque nationale autrichienne, tout le poids du monde et pas moyen de bouger les mains…

Un éléphant sympa devant le Musée d’Histoire naturelle

Ah, au moins un atlante et une cariatide, peut-être verrons-nous des petites statues à notre prochain passage ;-)
Aucune idée de ce que ça représente, peut-être une crèche de Noël moderne :-)

Cette grande sculpture en aluminium est une création de Bruno Gironcoli.

Tiens, des gamins dodus  pudiques et un lion ailé qui l’est moins…

Cette fois la série d’articles sur Vienne est bien finie…mais il reste de nombreuses destinations à explorer ensemble bien sûr 

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Voyage, voyage: Vienne en Autriche (7)

Aller à Vienne sans aller voir le château de Sissi, l’Impératrice Elizabeth de Bavière, est inconcevable évidemment. Schönbrunn est quand même  la plus grande attraction touristique de Vienne!

L’entrée se fait par la cour d’honneur du château. On aperçoit directement l’énorme bâtiment de teinte ocre (le jaune Marie-Thérèse dont étaient colorés tous les bâtiments de la monarchie) où, du temps de l’Impératrice, environ 1000 personnes occupaient le château et ses dépendances.

Ci-dessous, la scène représentée sur un des plafonds.

Dans la photo suivante on devine la Gloriette là-haut sur la colline, dans l’axe du château.

La serre aux palmiers

Vue depuis la route sur le Palais impérial de Schönbrunn et sur la plantureuse sphinge qui se prélasse à l’avant.

Il reste encore bien d’autre merveilles à voir dans cette ville impériale étonnante mais j’espère avoir au moins suscité en vous l’envie d’y aller vous-même…

Ces dernières photos attireront à coup sûr ceux qui ont gardé une âme d’enfant 

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Voyage, voyage: Vienne en Autriche (6)

Jusque là j’ai montré différentes facettes de Vienne sans toutefois montrer les bâtiments les plus majestueux et les plus cités dans les guides touristiques.

Si vous avez déjà visité la capitale autrichienne, vous les connaissez à coup sûr et pouvez zapper cet article, si ce n’est pas le cas, je m’en voudrais de les passer sous silence et je vais vous en faire découvrir quelques-uns.

La Hofburg, ce palais était jusqu’en 1918, le coeur de l’empire des Habsbourg. 

L’Ecole d’Equitation espagnole de Vienne est la seule institution au monde qui conserve et cultive, sans le transformer, l’art équestre classique de la Haute-Ecole, de la Renaissance à nos jours.

La Cathédrale Saint-Etienne de Vienne (Stephansdom) de style gothique mais au centre d’un quartier baroque.

Tiens, des grenouilles de bénitier si je ne m’abuse…

Ci-dessous, le reflet du Stefansdom dans la Maison Haas: le contraste entre l’ancien et le moderne.  

   

L’église Saint-Charles-Borromée, construite après l’épidémie de peste de 1713,  est une des plus jolies églises baroques de Vienne.

L’Horloge Ankerr, construite entre 1911 et 1917 sur les plans du peintre Art nouveau Franz Matsch. A midi, le Prince Eugène, l’impératrice Marie-Thérèse et d’autres automates défilent pour nous offrir un charmant spectacle.

Le Musée Albertina est situé près de la Hofbburg. Sa collection d’arts graphiques est aujourd’hui une des plus riches du monde.

Le musée d’Histoire de l’Art, considéré comme l’un des premiers musées d’art ancien au monde

Le musée d’Histoire naturelle, un des plus grands musées autrichiens

Le MUMOK, musée d’Art moderne, abrite près de 7000 oeuvres d’artistes des 20ème et 21ème siècles: des œuvres d’Andy Warhol, Claes Oldenburg, Pablo Picasso, Yoko Ono, Günter Brus et Gerhard Richter invitent à .une confrontation avec l’art contemporain (source).

Le Museum Quartier  est un complexe culturel, installé dans les anciennes écuries impériales. C’est l’un des plus grands complexes culturels au monde (90 000 m2).

Le Théâtre Ronacher

Le Burgtheater, inauguré en 1888

L’église orthodoxe grecque que Theophil von Hansen a remaniée en 1861 dans le style néobyzantin. Toujours en activité, elle est réservée à la communauté grecque orthodoxe de Vienne.

Bon,  je possède encore des dizaines de photos d’autres bâtiments mais je crois que vous êtes suffisamment convaincus du gigantisme des bâtiments viennois et de l’intérêt de prendre son temps pour visiter cette ville.

En ce qui nous concerne, nous y avons passé une semaine et je pense qu’on aurait pu y passer bien davantage de temps sans jamais nous ennuyer. Pour nous guider au mieux, j’ai utilisé le guide “évasion” (Hachette) de Vienne (publicité entièrement gratuite de ma part )

Je vous parlerai encore un peu du Prater et comme prévu de Schönbrunn avant de quitter Vienne pour une destination à taille plus humaine et plus proche de la nature.

 

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