Voyage, voyage: Lyon (2)
Nous allons aujourd’hui nous intéresser à la colline de Fourvière qui domine le centre de Lyon. Ce qui nous a paru le plus facile pour y accéder a été d’emprunter le funiculaire appelé Ficelle de Fourvière.
Dans son ouvrage inachevé “Le Banquet” (1879), l’historien français Jules Michelet surnomme la colline de Fourvière la montagne mystique.
Le plus ancien lieu d’occupation de Lyon nous entraîne dans les pas des Romains pour y découvrir 2000 ans d’histoire. Nous verrons cela plus tard, l’article du jour se focalisant sur la basilique de Fourvière qu’on voit presque de partout quand on circule dans la ville. Ce n’est pas pour rien qu’on surnomme également cet endroit la colline qui prie.
Deux choses sont marquantes quand on arrive au sommet: la grandeur de la basilique et le panorama géant que l’on découvre.
Ci-dessous un petit montage que j’ai réalisé sur la mosaïque de Saint-Jacques de Compostelle.
Pour terminer, je vous propose un extrait d’un auteur que j’apprécie:
Une vraie église, ça doit être vieux, ça doit être la plus vieille chose d’un village. ça sert à rien, c’est juste là, comme un bibelot sur une cheminée. ça décore! C’est comme un souvenir de famille qui se refile de génération en génération. (Michel Bussi, “Gravé dans le sable”)