Aujourd’hui nous irons nous balader avec bonheur du côté de Saint-Jean de Luz. Cette très jolie ville de la côte basque est très (trop?) touristique mais mérite quand même qu’on s’y balade.
Un bout de la plageSur le front de mer, les maisons ont des passerelles au-dessus de la rue pour gagner la plage sans soucisDes façades basques typiques
Les Basques sont très festifs et quand on se trouve à Saint-Jean de Luz au moment des fêtes de la Saint-Jean, on s’en rend compte et on en profite 🤗
La Maison de L’Infante se situe face au port de la ville de Saint Jean de Luz. On la remarque de suite car elle attire l’œil par son architecture, mais aussi par son histoire! Elle fut construite vers la fin du XVIème siècle
Non, sans blague, vous avez cru que j’allais faire un article sur Céliiiine? 😂
Non mais je rappelle qu’il n’y a pas qu’elle qui s’appelle Dion quand même
Moi je vais vous emmener aujourd’hui visiter le site archéologique de Dion au pied du Mont Olympe. Nous partirons de Thessalonique et ferons quelques petits arrêts en chemin.
Une charmante petite chapelle vue en cheminBon, là on n’a pas le choix: il faut s’arrêter et laisser passer ces demoiselles
Une autre chapelle très décorée comme on en voit beaucoup en GrèceComme un p’tit coquelicot…
Une rue dans le village de Dion
Nous voilà enfin dans le site archéologique en lui-même.
Histoire du site de Dion : L’apogée de la cité commence avec le règne du roi macédonien Archelaos (414-394 av. JC.). Il y réalisait des jeux-concours sportifs et culturels à chaque fois d’une durée de 9 jours à l’honneur de Zeus (dieu des dieux d’Olympe), et des neuf muses. Ces jeux s’appelaient « in Dio Olympia ». Par la suite, le roi macédonien Pillippe II et son fils Alexandre le Grand fêtaient à Dion les victoires territoriales glorieuses des Macédoniens. Avant son expédition vers l’est, Alexandre le Grand, devenu roi de Macedoine, a organisé des sacrifices et des jeux en l’honneur de Zeus et a fait installer dans le temple de Zeus les statues de ses pairs tombés à la bataille de Granikos en 334 av.J.C. Après l’occupation romaine en Grèce, Dion devient une colonie appelée Colonia Julia Augusta Diensis et ce site connait une seconde période de prospérité dans le 2ème siècle.après J.C. (source)
J’espère vous avoir fait découvrir un endroit intéressant hors des sentiers battus de la Grèce touristique…
Je vous emmène cette fois dans une ville de Grèce moins connue que de nombreuses autres. Si ceux qui connaissent Athènes et ses ruines sont nombreux, plus rares sont ceux qui visitent Thessalonique qui est pourtant la deuxième ville la plus importante du territoire national ainsi que l’ouverture naturelle vers la Méditerranée pour les Balkans.
L’aéroport: il faut vous y faire, de nombreuses inscriptions sont uniquement en alphabet grec, y compris dans les transports en commun et sur les menus des restaurants
L’un des monuments les plus emblématiques de Thessalonique est, sans conteste, la Tour Blanche, bâtie à la fin du quinzième siècle à la place d’une tour byzantine. Haute de 33,90 mètres, elle a porté au seizième siècle le nom de Tour du Lion. Elle deviendra au dix-huitième siècle la Tour de Kalamaria, puis Tour du Janissaire. Au dix-neuvième siècle, devenue une prison pour longues peines, elle sera appelée Tour du Sang. En 1890, un condamné chargé de la blanchir en échange de sa liberté a justifié la nouvelle appellation de Tour Blanche qui lui est restée jusqu’à ce jour. (source)
Le long des rues on trouve des petits kiosques où on peut acheter un peu de tout pour se dépanner. Ceux-ci s’installent sans perturber les arbres présents 😉L’agora, des fouilles en plein milieu de la ville moderneLa rotonde Saint-Georges:
Cet édifice fut à l’origine un mausolée romain qui était destiné à accueillir la dépouille de Galère. Mais l’empereur, touché par la gangrène en Dacie, fut enterré sur place. Cette tombe fut transformée en église sous Théodose I, c’est aujourd’hui l’église Saint-Georges.
(source)
Une oeuvre vue en passant, je pense qu’il pourrait s’agir d’Orphée mais je n’ai aucune certitude. Si quelqu’un peut m’éclairer sur le sujet…Le front de mer
Et si vous cherchez un resto original, pas cher, très agréable et où on mange bien, je vous propose d’aller voir du côté d’Ouzou Melathron
Son adresse: Karipi 21 | Center, Thessalonique 546 24, Grèce
Ainsi se termine, pour le moment, la présentation des girouettes d’activités humaines. Mais je n’ai aucun doute sur le fait que j’en trouverai d’autres, dans le futur, lors de mes voyages au gré du vent…
Les Teutons ont la bonne habitude de peindre sur leurs murs extérieurs. Ce ne sont pas des graffitis mais des peintures élaborées et colorées pour la plupart.
Cette décoration reprend toutes les particularités de la commune d’Elzach dont je vous parlerai probablement un jour …
Celui-ci est moins élaboré mais met de la vie dans un endroit assez désertEt bien sûr, celui-ci est mon préféré et j’essaye de suivre son conseil le plus souvent possible
Moi je ne les mets pas en scène mais je les vois comme je vous vois…enfin, comme je pourrais vous voir. Je parle bien sûr de mes hallucinations qui me font voir des faces humaines ou pas, n’importe où… Souvenez-vous, je vous en ai déjà montré quelques-unes.
Par contre, certains mettent en scène différents objets de la vie de tous les jours pour y voir des “faces”, c’est le cas d’Olaf Breuning qui déborde d’imagination. Je vous conseille aussi d’aller zieuter du côté de son compte Instagram, il s’y trouve des choses assez amusantes.
J’aime bien ce gnome qui essaye de se fondre dans l’écorceOn se sent réellement épié par ces fenêtresLà j’imagine bien un mignon suricate……et ici un E.T. tristounet.Une grosse tête de poisson peut-être?Une tête d’animal, au choix (veau, chien,…)Une grenouille monstrueusement grosse, presque plus qu’un bœuf!Des yeux qui louchent sur des mouches agaçantesVoyez-vous cette énorme sorcière qui a la tête dans les nuages?
Celui-ci vous fait un grand sourire, comme moi
Avez-vous aussi ce genre de délires devant certaines formes? Pensez-vous que ce soit grave et que ça se soigne? Parce que moi je vis très bien avec
PS: Je viens faire un petit ajout après un passage chez Géhem, où j’ai appris qu’en fait je suis atteinte de pareidolie (voir ici) mais que ce n’est pas trop grave, même si ça ne se soigne pas… Ouf!!!
Ben oui, ça fait partie de notre vie à tous mais c’est rarement un sujet de conversation de salon.
Mais vous le savez, rien ne m’arrête et j’ai donc décidé de consacrer un article à cet endroit bien utile et qui a évolué au cours du temps. Pas de crainte à avoir il n’y a aura rien de dégoûtant chez moi mais j’ai juste envie de vous montrer les différences d’approche dans quelques endroits où je suis allée.
Et pour vous mettre dans l’ambiance, si j’ose dire, quoi de mieux que la chanson de Vincent Baguian: C’est un petit coin tranquille… (clic sur la flèche de démarrage ).
Avant, c’était comme ça…Dans certains pays il n’y a pas d’égouts alors…il y a une poubelleEt puis, il y a ceux qu’on doit amuser pour qu’ils visent bien (vu en Allemagne)
Ou ceux qui sont très clairs sur leur fonction..
Il y a aussi les panneaux indicatifs différents suivant les pays:
Et puis, il y a les très gros modèles pour les très gros besoins
Il y a aussi ceux qui se soulagent n'importe où...
Quoi qu’il en soit, parfois
J’espère vous avoir fait découvrir quelques curiosités et surtout avoir comblé Géhem qui cherche toujours le pipi-room au château de Vendeuvre 😉
Les jeunes femmes d’aujourd’hui l’ignorent mais les ménagères n’ont pas toujours eu une machine à lessiver et un sèche-linge électroniques à la maison 😉
Pour nos aïeules, le jour de la lessive était souvent l’occasion d’un travail très physique
Le linge était lavé à la main avec du savon (de Marseille ou Sunlight), en pain ou en paillettes, battu, frotté sur une planche à lessiver et souvent étendu sur l’herbe pour sécher et retrouver sa blancheur.
Les ménagères se retrouvaient alors au lavoir public du village (rien à voir avec les laveries automatiques actuelles) et je pense que ces constructions ont dû entendre bien des secrets et des commérages…🤨
Je me souviens que, quand j’étais gamine, il existait un lavoir près de chez mes grands-parents mais il a malheureusement été démoli comme beaucoup d’autres témoignages de la vie passée.
Heureusement, ce n’est pas le cas partout et les responsables du patrimoine ont maintenant entrepris de protéger et restaurer les lavoirs encore debout.
Mais de quoi qu’elle nous parle la vieille Photonanie, pensent les plus jeunes? 😂
Je précise directement pour les curieux que non je n’ai pas connu les dinosaures dans mon enfance mais c’est clair que je vous parle d’un temps que les moins de 20 (voire plus) ans ne peuvent pas connaître 😉
Un lavoir est un bassin alimenté en eau généralement d’origine naturelle qui a pour vocation première de permettre de rincer le linge après l’avoir lavé. Il est le plus souvent public, gratuit ou payant selon les communes, mais peut être privé, attaché à une seule maison ou une seule ferme et pouvant être mis à la disposition de voisins moyennant une redevance.
Contrairement à une représentation très répandue, les lavandières ne s’y rendaient le plus souvent pas pour laver le linge, mais pour l’y rincer. Le passage au lavoir était en effet la dernière étape avant le séchage. Comme le lavage ne consommait que quelques seaux d’eau, il pouvait avoir lieu dans les habitations ou les buanderies où le linge s’accumulait avant la « grande lessive », mais le rinçage nécessitait de grandes quantités d’eau claire, uniquement disponible dans les cours d’eau ou dans une source captée. Il existe cependant des lavoirs avec plusieurs bassins, le bassin en amont servant de rinçoir, ceux en aval de lavoir (lavage du linge proprement dit) voire d’abreuvoir. (source)
J’ai eu aujourd’hui envie de partager avec vous quelques photos de ces installations dans lesquelles j’entends parfois des voix venues du passé mais peut-être n’est-ce que le souffle du vent…
Domme
Bussy-aux-Bois
Labastide-Clairence
On voit sur celui-ci des planches pour frotter le linge
Fontvannes
Betbezer d’Armagnac
Les Vans
Bien sûr ce ne serait plus compatible avec la vie actuelle mais avouez quand même que ça avait du charme non?