Découverte: la tour d’Eben-Ezer

Il y a quelque temps j’ai lu un article sur une construction étonnante dont je n’avais jamais entendu parler et qui se trouve à peine à 1/2 heure en voiture de chez moi: la tour d’Eben-Ezer dans la commune de Bassenge (B) 

Mais que signifie ce nom?
ében-ézer (= pierre du secours en Hébreu), est la pierre commémorative dressée par Samuel, pour marquer le lieu où Dieu aida Israël à mettre en déroute les Philistins, au nord de Jérusalem.
La tour, dans sa globalité, représente le Genre Humain, symbolisé dans l’Apocalypse par la Jérusalem céleste. Les références bibliques sont légions à l’intérieur de la tour.

Le dépliant fourni à l’entrée dit ceci:

Un site exceptionnel d’harmonie, d’unité, de poésie et d’interpellation.
Une atmosphère où se mêlent le symbolisme des oeuvres, des idées, le réalisme du travail et le charme de l’environnement.
Un espace dédié à la fraternité entre les peuples, qui ouvre ses portes afin de partager les découvertes archéologiques, paléontologiques, historiques et la pensée universelle de Robert Garcet.
Une incitation à la détente, l’amitié et la sympathie.

Première vue de l’édifice, le ton est donné

Cette tour de 33 mètres de haut, sur un puits profond également de 33 mètres, est formée de 7 niveaux, formé d’un grand quadrilatère de 12 mètres de côté et il est soutenu par 4 tours.
L’escalier monumental est constitué de 4 paliers, séparés entre eux par 7 marches. Toutes les mesures sont symboliques.
La construction est en pierre de silex du pays et est située dans une ancienne carrière. On y trouve d’ailleurs un Musée du silex.

Apprêtons-nous à entrer dans  cette tour étonnante…

Au rez-de-chaussée, 4 chérubins soutiennent l’édifice sur leurs ailes étendues (le Taureau,  l’Homme,  le Lion et l’Aigle).

Au sommet de la tour, 4 animaux à l’image des Chérubins sont dressés aux 4 vents.

À la base de la tour, un cromlech dresse ses douze stèles entre les taillis; chaque pierre dressée est distante de l’autre de 3,33 mètres.

A l’intérieur, la scène du livre a été ébauchée en 1958 et s’est terminée en 1968. L’écriture du livre a été réalisée par le pinceau d’un ami imprimeur.

En haut de la tour, on trouve de nombreux symboles dont voici quelques exemples:

Vous l’aurez compris, il est impossible en quelques mots de transmettre tout ce qui se trouve dans cette tour qui évolue encore de nos jours.
Je veux simplement dire que c’est vraiment étonnant à voir en plein milieu de nulle part et qu’on peut y passer un certain temps à découvrir les idées de Robert Garcet très bien expliquées sur des panneaux ou sur des PC’s mis à disposition sur place lors de la visite.

Si vous voulez encore d’autres informations vous pouvez cliquer ici.

Continuer la lectureDécouverte: la tour d’Eben-Ezer

Découverte: les Hautes Pyrénées

Quant on parle des Hautes Pyrénées, on pense plutôt stations de ski mais on peut aussi apprécier l’endroit en été, ce que j’ai fait.
Partant de la petite ville de Saint-Lary-Soulan, on peut rejoindre un des plus beaux villages d’Espagne nommé Ainsa (province d’Aragon), en empruntant le tunnel transfrontalier d’Aragnouet-Bielsa qui relie la haute vallée d’Aure à la vallée de Bielsa.

La découverte d’Ainsa

La première chose qui nous impressionne est la Plaza mayor, vaste place trapézoïdale bordée de maisons à arcades des 12ème et 13ème siècles.

On a vraiment l’impression de faire un bond dans le passé en arrivant dans ce bel endroit 

Le restaurant que nous avions choisi nous a maintenus dans cette ambiance résolument ancienne.

La construction de l’église locale, de style roman, a commencé à la fin du 11ème  siècle et s’est terminée dans la seconde moitié du 12ème siècle.

Si on est courageux, on peut monter dans la tour afin de profiter d’une vue intéressante sur le village.

Le cloître a une structure originale: il fallait bien s’accommoder de la place disponible. Pendant très longtemps, il fut enclos de murs et de verrières ce qui lui permettait d’avoir des autels avec leurs retables. Ils disparurent pendant la guerre civile de 1936-1939.

D’autres vues…

De là, on peut profiter d’une vue sur les hautes montagnes qui nous font face…et se sentir tout petit!

En pénétrant un peu plus dans l’Espagne nous arrivons au vieil ermitage de San Urbez au dessus du village de Nocito.

Le moment est venu de reprendre le chemin dans l’autre sens pour regagner la France 

Continuer la lectureDécouverte: les Hautes Pyrénées

Découverte: la ville de Louvain (4)

Comme promis, nous allons aujourd’hui clore la découverte de la ville belge de Louvain (Leuven) par un moment de détente dans le jardin botanique classé dont les bâtiments sont de style néo-classique.

Comme il est un peu excentré, avant d’y arriver, nous admirons encore quelques endroits remarquables de la ville.

De ci de là nous voyons des bacs à plantes qui attirent bien le regard: nous sommes sur la route des mosaïques. Depuis 2017, on a vu fleurir des mosaïques sur des bacs contenant des arbres et une promenade permet de voir toutes les oeuvres de ce projet de ville. Nous ne la ferons pas cette fois puisque nous connaissons déjà notre but et qu’elle nous en écarterait.

 

Encore quelques petites choses remarquées en regardant en haut ou en bas, en cliquant juste ici et comme annoncé, une petite balade bien agréable en regardant cette petite vidéo “Home Made” bien sûr…

Je vous invite à mettre la vidéo en plein écran et à vous laisser guider par la musique 

Nous quittons cette fois Louvain pour d’autres découvertes à venir…

Continuer la lectureDécouverte: la ville de Louvain (4)

Découverte: la ville de Louvain (1)

Louvain (Leuven en flamand) est une ville néerlandophone située en Belgique dans la province du Brabant flamand. Louvain est surtout connu pour être le siège de la KUL (Katholieke Universiteit Leuven) dont nous parlerons en détail dans un prochain article. Les touristes pensent rarement à visiter Louvain, ils pensent que seul Bruxelles, Bruges et Gand valent le détour pour leurs bâtisses à la flamande. J’espère vous montrer que cette ville vaut également le détour tant elle  a de belles choses à partager avec ceux qui prennent le temps de la découvrir.

Je vous invite à me suivre dans la cour de l’office du tourisme…

…et à ouvrir grand vos oreilles pour vous imprégner de la façon de parler de l’endroit.

 

Maintenant que vous êtes bien dans l’ambiance, si on commençait à voir quelques beaux bâtiments qui jalonnent la ville?

Pour cela il suffit de cliquer ici

A bientôt pour la suite de la visite 

Continuer la lectureDécouverte: la ville de Louvain (1)

L’anamorphose paréidolique…🤨

Mais non je ne suis pas atteinte d’une pathologie contagieuse, n’ayez crainte…

En fait j’ai reçu une vidéo sur des oeuvres urbaines que je trouve vraiment très chouettes et j’ai eu envie de les partager ici. Il s’agit de dessins improvisés dans les rues par David Zinn (Michigan) selon un processus appelé «anamorphose paréidolique» ou «paréidolie anamorphique». Zinnart, vous avez dit Zinnart? Comme c’est étrange…

Vous ne m’en voudrez pas si ni la vidéo ni les photos qui la composent ne sont de moi. Mais bon, on sort à peine de la période fatigante des fêtes de fin d’année alors on va s’y remettre doucement si vous  le voulez bien. 😊

En guise d’introduction, je vous propose simplement une traduction approximative des écrits trouvés à propos de cet artiste.
David Zinn embellit les rues par son art: ses créatures imaginatives sont toujours improvisées et réalisées à partir de craies colorées, de fusains et d’objets trouvés dans la rue elle-même.
Ses seules limites: son imagination et la taille du trottoir.
David Zinn a fait le tour du monde avec son art époustouflant qui fait sourire les passants.

En fait, il voit simplement le monde différemment et chaque fissure est un début unique pour une œuvre d’art impressionnante.
Ces grands dessins sont généralement emportés par la pluie … mais (heureusement!) les photos les capturent pour l’éternité.

Jean de la Fontaine a dit “Pour me rendre heureux, un sourire peut suffire”, j’espère que mon partage aura au moins provoqué le vôtre…

Continuer la lectureL’anamorphose paréidolique…🤨

Si je vous dis pop-up…

…vous allez peut-être penser “ah ouais, ces fenêtres surgissant sur l’écran de mon PC et qui me cachent une partie de ce que je voudrais voir!

Vous croyez vraiment que je vais vous parler de ça le lendemain de Noël? Vous pensez que c’est un sujet qui vaut la peine que je vienne clavarder dessus? 

Mais non, voyons, je veux juste partager mon admiration pour l’expo artistique de Philippe Ug, découverte un peu par hasard à Béthune ce week-end. On y apprend que

le pop-up est l’art de la forme et de la couleur.

Jolie définition!

Le créateur, très sympa, était justement présent et animait un atelier à destination des petits mais surtout des grands enfants. Tous étaient très concentrés sur ce qui n’a pas l’air simple du tout à réaliser proprement 

Je vous montre ci-dessous les réalisations qui m’ont le plus impressionnée dans la chapelle Saint-Pry de Béthune (je reviendrai sur la ville et son marché de Noël tout bientôt).

Il suffit de cliquer

ici

Continuer la lectureSi je vous dis pop-up…

Voyage, voyage: l’Albanie

Quand j’ai partagé les photos du site de Butrint, je me suis dit que c’était dommage de ne parler que de ruines en Albanie.

En fait, je n’ai pas vu grand chose de ce pays (on y allait essentiellement pour le site archéologique) et ce que j’y ai vu ne m’a pas vraiment donné envie d’y retourner…mais c‘est une excursion souvent proposée quand on est à Corfou vu que la distance entre les côtes grecque et albanaise est très faible.
Nous avons donc embarqué assez tôt le matin direction Saranda. Vous voyez, ci-dessous, le bateau que nous avons pris au port de Corfou. La traversée dure un peu plus d’une heure.

Le port de Corfou

Il existe également des “fast ferries” impressionnants à voir qui font la traversée en 35 minutes seulement. C’est fascinant de les voir se déplacer, on a l’impression qu’ils “marchent” sur l’eau! Et dire que je me suis longtemps demandé, enfant, si les petits bateaux avaient des jambes 

Premières vues de la côte albanaise: le pays est montagneux et a l’air peu construit.

En nous approchant, nous voyons quelques gros immeubles typiques d’un bord de mer et pas très harmonieux.

Il faut dire que la moitié de la population vit encore de l’agriculture. Le pays essaye de se relever des accidents de l’histoire et de son régime politique qui fut parmi les plus durs de la région. C’est un pays qui est en plein développement mais le tourisme peine à convaincre. Les infrastructures y sont de mauvaise qualité et la population locale est très pauvre.
Arrivés à Saranda on découvre qu’il y avait probablement un chemin plus court mais l’organisateur de l’excursion doit avoir ses raisons je suppose…

A peine débarqués, nous sommes sollicités par des femmes et des enfants qui veulent nous vendre des fruits. Quelqu’un leur demande le prix…qui est vraiment prohibitif! Comme souvent, les personnes pensent que les touristes sont millionnaires et donc qu’on peut leur demander n’importe quoi.

Tout le long du bord de mer, nous voyons des femmes qui vendent leurs ouvrages: napperons, chaussons (improbables!) pour bébés. La discussion est difficile, la barrière de la langue et la monnaie du pays, le lek, ne facilitent pas les choses.

En poursuivant la promenade au bord de la mer Ionienne, nous voyons de jolies sculptures en marbre qui ont l’air un peu incongrues vu le décor ambiant, un peu comme si elles avaient été posées là sans réflexion aucune… C’est joli mais par exemple il n’y a aucun transat, aucun banc pour s’asseoir sur la plage de gravier. On n’y trouve que ce qu’on y apporte apparemment.

S’il y a une chose que j’ai aimé dans ce pays, à part le site archéologique?
Oui, heureusement vu la chaleur ambiante 

Continuer la lectureVoyage, voyage: l’Albanie

Voyage, voyage: Louhans

Louhans, cette petite ville “à la campagne” joliment fleurie est située dans la plaine de Bresse. Les habitants se dénomment les Louhannais et les Louhannaises. Le surnom familier pour désigner les habitants de la région est le joli terme fleuri de «ventres jaunes»

Pendant de nombreuses années, le surnom de « ventres jaunes » était donné aux habitants de la Bresse. Plusieurs histoires l’expliquent… Autrefois, lors de la vente de poulets et autres volailles, les Bressans cachaient leurs pièces d’or dans une grande ceinture en toile, entourant le ventre. D’autres voisins de la Bresse pensaient que les Bressans avaient naturellement le ventre jaune, à force de ne manger que des gaudes, recette à base de maïs. La moins connue des raisons a comme origine le moustique, qui s’était installé dans les lacs et bocages bressans, propageant une maladie… qui jaunissait la peau ! (source)

Une des premières visions qu’on a en arrivant dans la petite ville aux 157 arcades est cette tour.

La Tour Saint-Pierre est un bastion militaire défendant le rempart nord de la ville, depuis 1570.
Sauvé de la ruine en 1995 et restauré en 1998 par une initiative privée et associative, ce Monument Historique est devenu un centre culturel animé par l’Association pour la Reconnaissance des Témoignages à Sauvegarder (A.R.T.S.). L’ensemble du bâtiment se compose de la Tour militaire qui conserve ses mystères, suivie d’un ancien atelier de bourrelier et d’une cour intérieure, transformés en espace d’expositions temporaires.(source)

La tour St-Paul, actuellement en mauvais état,  a été construite ou re-construite à la fin du XVIIe siècle à l’occasion de la restauration de la muraille en place depuis la fin du XIIIe siècle.

Une autre curiosité a attiré mon regard, et pour cause, vous savez que j’aime regarder en l’air et que j’aime les beaux clochers colorés de préférence. Je ne pouvais donc qu’apprécier le toit de l’église Saint-Pierre et son clocher de tuiles vernissées de Bourgogne.

Musée de l’imprimerie

Le musée municipal partage ses murs avec une des antennes thématiques de écomusée de la Bresse bourguignonne : l’imprimerie du Journal l’Indépendant.
En effet lorsque le journal « L’Indépendant du Louhannais et du Jura » ferme ses portes en 1984, écomusée crée un musée retraçant le processus de production d’un journal. Les machines sont conservées en état de fonctionnement (linotypes, rotative, presses …). Cette antenne constitue aujourd’hui l’unique exemple français de conservation d’un atelier de presse complet avec fabrication au plomb.
En septembre 2016, a été inaugurée une nouvelle salle de consultation des archives du journal de l’Indépendant du Louhannais et du Jura.(source)

Les arcades qui font la renommée de la ville

D’autres façades anciennes

La maison du bailli

Pour terminer j’ai choisi de vous montrer ce qui sert probablement de point de rencontre à de nombreuses personnes: le grand coq. Et comme vous avez beaucoup de chance que je sois passée jour de marché, vous pouvez même le voir avec et sans pantalon 

Continuer la lectureVoyage, voyage: Louhans

Voyage, voyage: la ville de Toul

Je n’ai fait qu’y passer un court moment en descendant dans le Jura mais cette ville  lorraine , nichée dans une boucle de la Moselle, m’a suffisamment intéressée pour que je lui consacre un petit article.

C’est que j’aime bien sortir des sentiers battus et que Toul n’est pas vraiment une destination de vacances pour nous donc j’ai trouvé sympa de s’y arrêter en allant ailleurs  

Et je n’ai pas été déçue si ce n’est par le temps qu’on a pu y passer: j’aurais aimer en voir davantage mais nous étions attendus dans le Jura…

Mais ce n’est pas pour rien que Toul est reprise dans “les plus beaux détours de France“! Il faut dire que c’est la seule ville lorraine à conserver une enceinte Vauban fortifiée.

Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la cathédrale de Toul se trouve ici et les détails sur la maison bleue proviennent de .

Je sais que ce n’est pas complet comme description de la ville mais peut-être que ça suffira à vous donner envie d’aller voir par vous-même 

Continuer la lectureVoyage, voyage: la ville de Toul

Découverte: l’expo universelle de 1958 (du 17 avril au 19 octobre)

Le 17 avril 1958, Bruxelles ouvre les portes de l’Expo 58. Si aujourd’hui cette exposition peut paraître le reflet d’une Belgique disparue, l’événement avec sa dimension humaniste et encyclopédique, a été majeur.
Sur le site du plateau du Heysel, c’est plus de 110 pavillons qui s’étendent et tentent de réunir la culture mondiale en un seul lieu. Les styles de ces pavillons varient des démonstrations de prouesses architecturales à des styles plus traditionnels. Une des constructions retient plus l’attention, l’Atomium, symbole de l’Expo 58 et très vite de Bruxelles, emblème des Sciences servant l’Humanité, soulignant l’ambition de l’exposition, le Bilan du monde pour un monde plus humain. Pendant près de 200 jours, c’est environ 42 millions de personnes qui foulent le site de l’Expo 58 qui accueille tous les jours plusieurs dizaines de milliers de visiteurs venus de tous les continents.(source)
Pour fêter le cinquantième anniversaire de cette expo, un nouveau pavillon appelé “Pavillon du bonheur provisoire” est construit en face de l’Atomium. Il est composé de 40.000 bacs de bière. .
L’ensemble ressemble à un bunker jaune, éventé par les poignées des casiers, savamment réparties par les ingénieurs architectes. L’intérieur fait penser à une église car des colonnes apparaissent pour soutenir le toit, colonnes qui se rejoignent en composant des voûtes. (source)

60 ans plus tard, que reste-t-il de cette exposition 58?

Dans le parc des Expositions de Bruxelles les cinq palais emblématiques (aujourd’hui Palais 5, 4, 6, 2 et 10) situées autour de la pièce d’eau (face à l’Atomium) sont l’héritage de l’Exposition universelle de 1935 et érigés en style Art Deco. 
Le site du Heysel fut gardé pour l’exposition universelle de 1958. Cependant, il a nécessité quelques réaménagements. Par ailleurs, il fut décidé de l’agrandir et drainer les bâtiments. Œuvre de l’Art Déco, le Grand Palais ne correspondait pas avec l’épanouissement des années 50, durant lesquelles régnait un climat d’internationalisation, de joie et de vivacité. (source)
Le palais 5 vu du haut de l’Atomium
Le Palais 5
 Vue du site depuis la plus haute sphère de l’Atomium:
Le pavillon américain
Ce pavillon était l’une des plus grandes constructions circulaires du monde: 364 m de circonférence, 116 m de diamètre, 30 m de haut.
Ses dimensions étaient approximativement celles du Colisée de Rome. 
L’exposition qui y était présentée reflétait la vie aux Etats-Unis. Elle était centrée sur l’«humanisme américain» et montrait “l’effort continu que font les Etats-Unis pour une amélioration du mode de vie”. (source)
60 ans plus tard, sous la présidence de Donald Trump, on est en droit de se poser des questions… 
Nous terminons cette petite découverte de Bruxelles par deux bâtiments incongrus dans le paysage bruxellois: le pavillon chinois et la tour japonaise, sans liens avec l’expo. Pour avoir une idée de leurs fonctions cliquer ici
La tour japonaise:  d’autres infos
Après avoir célébré le 100ème anniversaire de la fin de la première guerre mondiale, le moment me semblait bien choisi pour célébrer le 60ème anniversaire de cette exposition internationale qui a marqué bien des Belges.
Continuer la lectureDécouverte: l’expo universelle de 1958 (du 17 avril au 19 octobre)